The Power of the Dog
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201 critiques spectateurs

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Abus Dangereux
Abus Dangereux

61 abonnés 113 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 8 janvier 2022
Au tout début du générique de "The power of the dog", une voix off nous dit « Je ne désirais que le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n’aidais pas ma mère. Si je ne la sauvais pas ». Tout est dit dans cette courte introduction. Le film peut commencer et nous raconter l’histoire. Deux frères aux caractères opposés et à la manière de vivre différente, une veuve et son fils seront les personnages principaux de ce drame psychologique sur fond d’homosexualité latente et refoulée. Mise en scène, photographie, cadrage, musique et interprétation font un tout pour un résultat hypnotique et fascinant. Dans une lenteur assumée. Faux western, mais vrai film de cow-boys, "The power of the dog" est un film d’une très grande maitrise. Un must si l'on aime le cinema de Jane Campion.
Yoann Jakomulski
Yoann Jakomulski

17 abonnés 87 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 25 janvier 2022
Mon avis pour une personne n'ayant pas lu le livre dont le film est inspiré, ni vu beaucoup de Western, est assez mitigé (et à prendre avec des pincettes).
La prestation de Benedict Cumberbatch est exceptionnellement bonne, mais je trouve l'intrigue plutôt longue et calme, et la fin sans vrai saveur.
Néanmoins je ne saurais dire pourquoi, je ne l'ai pas trouvé si mauvais, malgré que j'ai piqué du nez, d’où ma note de 3 étoiles.
MSM
MSM

6 abonnés 103 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 9 janvier 2023
Ce film mérite-t-il quatre étoiles, voire plus ? À l'instant même où j'écris ces mots, je me pose encore la question... Il faut d'abord reconnaître à Jane Campion un certain talent pour capter les lumières et un sens aigu du cadrage. Immanquablement et c'est une référence à mes yeux, cela évoque le style de Terrence Malick. C'est donc du lourd de ce côté là ! Quand au sujet même du film, il est simplement résumé dans le préambule: L'enfant veut faire le bonheur de sa mère et va la protéger. Quoi qu'il en coûte. Dès lors, une lutte d'egos va s'installer entre les deux protagonistes principaux, aux caractères et personnalités diamétralement opposées. L'un rude et l'autre -hyper- sensible. Au passage, il faut souligner la REMARQUABLE prestation de Benedict Cumberbatch mais aussi de Kodi Smit-McPhee (désolé, je n'ai jamais été très fan de Kirsten Dunst...). Tous deux, remplissant le film dès la première confrontation d'une dualité presque oppressante et remarquablement bien mise en valeur par la réalisatrice. On pourrait penser que le film est quel que peu manichéen mais à bien y regarder, n'est-ce pas plutôt le triomphe de la culture, du savoir et de la science sur les valeurs plus rudimentaires de l'adaptation "brute" de l'homme à son environnement ?... Sur ce plan là, le film est méthodique et implacable dans la représentation qu'il nous donne du présupposé "fort" et du présupposé "faible". Quatre étoiles, donc !
janus72
janus72

48 abonnés 273 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 avril 2022
J. Campion filme une histoire plutôt charnelle & minérale, avec plein de matière mais aussi des sentiments qu'il faut savoir trouver. Un peu comme un P. T. Anderson aime le faire. Netflix aussi peut produire de bon films
Ghighi19
Ghighi19

73 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 16 mai 2022
Je ne suis pas et très loin de la un inconditionnel de cette réalisatrice mais il faut bien constater que ce film est réussi.
Certe le rythme est lent mais l atmosphère étouffante de la vie de ce fermier renfermé est assez hypnotique. L histoire prend son sens dans la deuxième partie et le rapport entre lui et le fils de la femme de son frère monte jusqu'au final . Étonnant et surprenant.
Stéphane R
Stéphane R

25 abonnés 377 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 16 janvier 2022
Les plans sin bien composés, la lumière est magnifique, les acteurs sont bons. Mais que c'est convenu et peu palpitant en terme de scenario.Et finir sur un petit twist machiavélique est peu heureux. Le piédestal commence à être un handicap pour Jane Campion.
AZZZO
AZZZO

319 abonnés 845 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 février 2022
Comme pour ses précédents films, Jane Campion fait preuve d'intelligence dans le traitement de son sujet et de délicatesse dans sa réalisation. Les personnages de ce western sont inadaptés aux normes sociales de leur époque. Et tous doivent composer avec cette souffrance, soit en la repoussant, soit en la travestissant soit en l'acceptant et en subissant la violence. Les plans sont léchés, la caméra filme ce que les mots ne disent pas et Jane Campion laisse la liberté à chaque spectateur de comprendre l'intrigue comme il l'entend.
Le seul reproche que l'on peut formuler tient au personnage de George, extraordinairement interprété par Benedict Cumberbacht, mais qui passe trop vite du refoulement à l'acceptation, à l'instar de cette scène étrange où il se met soudain à caresser le foulard de son mentor nu dans la rivière à la façon d'un film érotique gay alors qu'il vient juste de cracher sa chique de cowboy viril.
Par delà cette légère critique, cela reste un excellent film sur la différence. A voir.
Isabel I.
Isabel I.

40 abonnés 317 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 12 février 2022
Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre  fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques  indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ».  Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.











Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre  fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques  indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ».  Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.












The Power of the dog
Sur Netflix Enfin vu !
De mon canapé soirée 9 février 2022
Petit clin d'œil @smile_matou les plateformes ont aussi du bon.
Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre  fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques  indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ».  Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.



Le film s'ouvre sur une voix qui déclare : « Après la mort de mon père, je ne voulais qu'une chose: le bonheur de ma mère. Quel homme serais-je si je n'aidais pas ma mère ? » . Ambiance pesante, dès le début on appréhende le moment où tout va basculer.
Trois personnages Phil, Rose, Peter semblent à la limite de la chute, toujours en disharmonie entre leur apparence, leur vie quotidienne et leur pulsion, leur désir, leur vérité... Seul Georges promène un regard placide, témoin naïf ou spectateur scrutateur. Il suit le mouvement alors qu'il est celui qui a bousculé l'équilibre  fragile des rôles bien établies. Que sait il ? Que laisse t'il faire ?
Des paysages majestueux, des plans tout en délicatesse aux couleurs très picturales.
Des cowboys, un saloon, un ranch et même quelques  indiens. Je n'aurais pas parié qu'un western me plairait autant. J'y vois un drame psychologique et familial tourné comme un thriller à la tension grandissante.
Excellente prestation d'acteurs et particulièrement le duo Benedict Cumberbatch et Kodi Smit-McPhee.
Verset d'une prière, le titre est un emprunt au psaume 22:21 : « Protège mon âme contre le glaive, ma vie contre le pouvoir des chiens ! ».  Délivre mon âme, libère ma vie...
C'est le genre de film qui est comme un bon vin.... il décante quelques jours et il en n'est que plus parfumé et puissant : c'est un film de garde.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 7 mai 2022
Nommé pour douze Oscars : on m’avait vendu «The Power of the Dog» comme le grand western révolutionnaire. Après m’être infliger dix minutes du film (je n’ai pu aller plus loin), j’ai décider de prendre la plume et dire ce que je pensais du film. Alors même si il faut être honnête les images sont plutôt belles : le scénario manque clairement d’épaisseur. C’est long, chiant, inintéressant. Les acteurs jouent comme des pieds. Entre un Cumberbach inexpressif, et un Jesse Plemmons qui n’as aucun charisme compliquer d’être embarquer. Une véritable purge qui a connus un succès juste à cause du nom de sa réalisatrice. Mais que dire aussi ici : Jane Campion n’insuffle qu’un souffle de mort à son film. Pourquoi lui a-t-on donner un Oscar pour cette bouze quand des films comme «West Side Story», «Belfast» ou «Licorice Pizza» qui sont de véritables propositions le méritait milles fois. Un film mineur qui souhaite réinventer le western mais tout le monde ne peut-être Sergio Leone. Une balle dans le pied dont on se serait bien passer. Next.
TUTUR29
TUTUR29

37 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 3 mars 2022
C'est je crois le premier film de Jane Campion que je regarde de ma vie et je suis plutôt convaincu ! The Power of The Dog a un rythme assez lent mais la seule présence de Cumberbatch offre une intensité au film qui le rend intéressant à suivre. Son personnage est merveilleusement écrit et interprété, il aspire complètement notre attention à chaque présence et ses interactions avec les autres personnages sont toujours un régal à suivre car il est assez imprévisible. Bref, ce n'est pas le film le plus marquant que j'ai vu mais le personnage de Cumberbatch est tellement incroyable que ça justifie le visionnage de Power of The Dog selon moi. Je recommande !
laurie james
laurie james

18 abonnés 186 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 février 2023
La phrase introductive prononcée par Peter est extrêmement importante ! Je n'en dis pas plus.
Peu importe le genre choisi par Jane Campion car il ne s'agit nullement d'un western mais d'une confrontation entre les quatre personnages principaux : les deux frères physiquement et moralement dissemblables, la veuve et son fils qui s'érige en protecteur. L'histoire est simplissime et pourrait se résumer en quelques lignes mais là n'est pas le propos. Jane Campion nous plonge par touches impressionnistes dans l'être intime des personnages jusqu'à la révélation finale. spoiler C'est cette lente déliquescence qui est fascinante.
Il y a du Terrence Malick dans ce film contemplatif, au rythme lent et à la musique hypnotisante. Il faut accepter de se laisser porter pour que la magie, certes un peu maléfique, opère.
Arthur Brondy
Arthur Brondy

238 abonnés 1 037 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 4 janvier 2022
Jane Campion signe un très beau film disponible sur Netflix. On y questionne masculinité, famille… un western d’époque mais aux sujets très modernes. La photographie et le casting sont absolument délicieux.
Marc L.
Marc L.

48 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 janvier 2022
Pour son grand retour après un éloignement des écrans de plus de dix ans (si on excepte la série ‘Top of the lake’), Jane Campion rompt radicalement avec ses thèmes de prédilections habituels puisqu’après tant des films tournant autour de la quête d’émancipation de figures féminines, elle accorde ici son attention, dans un Montana des années 20 qui n’a pas changé depuis des décennies, à des personnages majoritairement masculins : Phil, riche propriétaire de ranch machiste et brutal, vit très mal le mariage de son frère George, plus raffiné et sociable que lui, et l’arrivée au ranch de sa femme Rose et de Peter, le fils chétif et efféminé de celle-ci. Avec une telle configuration de départ, on s’attend à suivre un film sur la masculinité toxique qui aurait simplement changé de contexte et d’époque et, soyons honnêtes, c’est à peu près ce à qu’on aura droit…mais avec des nuances importantes et surtout, une complexité et une attention portée aux non-dits et aux courants souterrains qui définissent des protagonistes bien moins unidimensionnels que prévu, qui éloignent ‘The power of the dog’ du banal réquisitoire. Evidemment, avec des acteurs de cette trempe, il est de toute façon beaucoup plus simple de concocter quelque chose de brillant, même avec un canevas de départ qui présente toutes les apparences du conformisme et de la prévisibilité, et il y a fort à parier que l’affrontement indirect entre une Kirsten Dunst cabossée par la vie et un Benedict Cumberbatch qui suinte la haine et le mépris envers tout ce qui n’est pas lui n’aurait pas aussi bien fonctionné avec d’autres acteurs. Il y a surtout que ‘The power of the dog’ évolue sur plusieurs dimensions successives et parfois simultanées : le somptueux western immobile de la première demi-heure, le huis-clos mélodramatique anxiogène de celle qui suit, dont on se demande instinctivement s’il ne va pas prendre la forme d’un triangle amoureux contrarié…mais Jane Campion parvient à esquiver les solutions trop évidentes, et la preuve en sera apportée lorsque Phil, après en avoir fait l’incarnation de tout ce qu’il méprise, décide d’utiliser l’arme ultime pour parachever la destruction de sa belle-soeur…et c’est également à ce moment qu’on commence à obtenir confirmation des soupçons qu’on nourrissait sur les sources de la cruauté perverse de Phil. Dans ce film qui progresse à un rythme faussement tranquille vers une conclusion qu’on devine dramatique (même si ce ne sera pas forcément celle à laquelle on s’attend), les différentes alliances se font et se défont, pour de nobles ou d’abjectes raisons, et chaque mot, chaque regard aura son importance dans ce récit qui, pour une fois, assume sa durée assez longue. Tiendrait-on enfin la grande production Netflix 2021 aussi réussie que “si elle n’avait pas été produite par Netflix ?”
Norbert Sautelles
Norbert Sautelles

9 abonnés 567 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 11 mai 2022
Jane Campion a construit un film âpre, hermétique, rempli de longueurs, mais qui prend son sens sur la durée et lors de la révélation finale, ou plutôt surprise finale, qui donne une perspective différente des différents événements qui se sont déroulés avant, et surtout une perspective différente sur certains personnages.
Film d'ambiance et contemplatif, avec une histoire où l'interprétation peu subtile de chacun des personnages maintient l'intérêt, car la progression dramatique fait évoluer les enjeux, car le drame latent entre les deux frères évolue vers un drame latent entre Benedict Cumberbach et le fils de Kirsten Dunst, nouvelle épouse de son frère. Le film commence par établir la relation entre les deux frères, Jesse Plemons, éduqué, chic, qui n'aime pas le bétail et le crottin, et Benedict Cumberbatch, éduqué, mais qui préfère la crasse, les vaches, le crottin, et le cuir qui le fascine, et qui sera à l'origine de sa perte.
Nous avons donc une œuvre qui possède des beautés, des langueurs et des longueurs, mais qui au final prend toute sa saveur.
Mélany T
Mélany T

32 abonnés 590 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 7 janvier 2022
Très beau film, moins poétique que le reste de la filmographie de Jane Campion mais qui reste subtil, intelligent, bien mené et joliment interprété.
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