Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
L’art de l’amour, l’origine de la violence et la science de la vengeance, chez l’humain, réunis dans le nouveau film inouï de Jane Campion, n’ont qu’un seul but : révéler les forces et, surtout, les faiblesses de l’homme. Avec une minuscule.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La maîtrise du cinéma est absolument totale.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli & Vincent Nicolet
Un film fascinant, complexe et exigeant, une œuvre dense et parfaitement maîtrisée, signant le retour en grâce d’une réalisatrice plus que jamais à part dans l’histoire du cinéma contemporain, renouant magistralement avec la veine la plus ambitieuse de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La réalisatrice de « La Leçon de piano » revisite le western à sa façon à travers une histoire d'obsession et de mort… « The Power of the Dog » est à la fois un drame claustrophobique et un grand spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
Ce western tout en oscillations, tremblements sublimes et sensualité sourde est l’un des plus beaux films offerts par cette fin d’année.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Cette fable cruelle, sidérante de beauté et de sensibilité, remet en question la masculinité et la virilité traditionnelle à travers l’interprétation puissante de Benedict Cumberbatch.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Jane Campion autopsie le masculin dans un faux western et vrai puzzle ténébreux, qui ne révèle son monstrueux visage qu'à mesure que l'horreur se referme sur le magnétique Benedict Cumberbatch.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un beau western.
L'Obs
par Sophie Grassin
Cette élégie superbe, à la fois machiavélique et délétère, prend le temps qu’il faut pour nous mener sur la piste de pulsions homoérotiques refoulées, mais pas que…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Éblouissant et interprété de façon sidérante par Benedict Cumberbatch, « The Power of the Dog » révèle, une fois de plus, l’étendue du talent de Jane Campion (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Derrière ce western flamboyant, on se laisse surprendre par la poétique autopsie de l'âme humaine. Et l'on en ressort subjugué.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le Pouvoir du chien ne raconte rien d’autre que la façon dont deux personnages en apparence fermés l’un à l’autre vont progressivement s’ouvrir, accepter d’être bouleversés par l’expérience de l’autre et s’apprivoiser, dans une dynamique mêlant érotisme et mutation du désir de domination en une forme d’amour refoulé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans The Power of the Dog, Jane Campion dynamite les codes du western et, comme dans ses meilleurs films antérieurs (La leçon de piano, Portrait de femme, In the Cut), met en scène avec une inspiration constante les ambiguïtés féroces d’un personnage et ses troubles identitaires et sexuels.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
De façon beaucoup moins aboutie et moins fine que Kelly Reichardt dans First Cow ou La Dernière Piste, Campion lie la colonisation d’un territoire à des rapports de genre. Flamant rose égaré dans le monde des garçons vachers, Pete réveille chez Phil des pulsions enfouies et finit de remettre en cause le virilisme ambiant.
Première
par Pierre Lunn
Ce n’était pas évident au départ, mais ce drôle de western revisite bien les grands thèmes qui innervent sa filmo - l'adolescence meurtrie, la monstruosité, le regard des autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Esthétiquement sublime, un film étonnant, puissant, même si les non-dits assèchent un peu l'émotion.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Le plus gros du long-métrage n’échappe pas à la pesanteur du huis-clos familial, alternant les épisodes sadiques et quelques instants de tendresse ou de volupté à l’imagerie finalement assez pauvre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un drame calibré et sans surprise sur une masculinité toxique.
Bande à part
L’art de l’amour, l’origine de la violence et la science de la vengeance, chez l’humain, réunis dans le nouveau film inouï de Jane Campion, n’ont qu’un seul but : révéler les forces et, surtout, les faiblesses de l’homme. Avec une minuscule.
CinemaTeaser
La maîtrise du cinéma est absolument totale.
Culturopoing.com
Un film fascinant, complexe et exigeant, une œuvre dense et parfaitement maîtrisée, signant le retour en grâce d’une réalisatrice plus que jamais à part dans l’histoire du cinéma contemporain, renouant magistralement avec la veine la plus ambitieuse de sa carrière.
Les Echos
La réalisatrice de « La Leçon de piano » revisite le western à sa façon à travers une histoire d'obsession et de mort… « The Power of the Dog » est à la fois un drame claustrophobique et un grand spectacle.
Libération
Ce western tout en oscillations, tremblements sublimes et sensualité sourde est l’un des plus beaux films offerts par cette fin d’année.
Positif
Cette fable cruelle, sidérante de beauté et de sensibilité, remet en question la masculinité et la virilité traditionnelle à travers l’interprétation puissante de Benedict Cumberbatch.
Ecran Large
Jane Campion autopsie le masculin dans un faux western et vrai puzzle ténébreux, qui ne révèle son monstrueux visage qu'à mesure que l'horreur se referme sur le magnétique Benedict Cumberbatch.
Elle
Un beau western.
L'Obs
Cette élégie superbe, à la fois machiavélique et délétère, prend le temps qu’il faut pour nous mener sur la piste de pulsions homoérotiques refoulées, mais pas que…
Le Parisien
Éblouissant et interprété de façon sidérante par Benedict Cumberbatch, « The Power of the Dog » révèle, une fois de plus, l’étendue du talent de Jane Campion (...).
Le Point
Derrière ce western flamboyant, on se laisse surprendre par la poétique autopsie de l'âme humaine. Et l'on en ressort subjugué.
Les Inrockuptibles
Le Pouvoir du chien ne raconte rien d’autre que la façon dont deux personnages en apparence fermés l’un à l’autre vont progressivement s’ouvrir, accepter d’être bouleversés par l’expérience de l’autre et s’apprivoiser, dans une dynamique mêlant érotisme et mutation du désir de domination en une forme d’amour refoulé.
Marianne
Dans The Power of the Dog, Jane Campion dynamite les codes du western et, comme dans ses meilleurs films antérieurs (La leçon de piano, Portrait de femme, In the Cut), met en scène avec une inspiration constante les ambiguïtés féroces d’un personnage et ses troubles identitaires et sexuels.
Cahiers du Cinéma
De façon beaucoup moins aboutie et moins fine que Kelly Reichardt dans First Cow ou La Dernière Piste, Campion lie la colonisation d’un territoire à des rapports de genre. Flamant rose égaré dans le monde des garçons vachers, Pete réveille chez Phil des pulsions enfouies et finit de remettre en cause le virilisme ambiant.
Première
Ce n’était pas évident au départ, mais ce drôle de western revisite bien les grands thèmes qui innervent sa filmo - l'adolescence meurtrie, la monstruosité, le regard des autres.
Télé 7 Jours
Esthétiquement sublime, un film étonnant, puissant, même si les non-dits assèchent un peu l'émotion.
Critikat.com
Le plus gros du long-métrage n’échappe pas à la pesanteur du huis-clos familial, alternant les épisodes sadiques et quelques instants de tendresse ou de volupté à l’imagerie finalement assez pauvre.
Le Monde
Un drame calibré et sans surprise sur une masculinité toxique.