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liamsi
18 abonnés
474 critiques
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1,0
Publiée le 8 septembre 2018
Un four tout sans scénario ni fil directeur, les séquences bizzares se suivent sans aucune logique, presque pas de dialogues en plus de ne pas être beau visuellement. Seules quelques musiques sont intéressantes d'où la seule étoile.
Ce film est un ensemble de trois courts métrages. J’ai apprécié les deux derniers, beaucoup moins le premier, je m’explique: Les histoires et l’animation des deux derniers courts sont de très bonne qualité. J’ai aimé l’originalité des scénarios et la beauté du rendu de l’image, avec une préférence pour le tout dernier. La poésie du premier court est plaisante, l’originalité de l’animation aussi, mais l’histoire (qu’on pourrait qualifier d’abstraite) ne m’a vraiment pas intéressé. J’ai eu du mal à rentrer dedans, et j’ai vite fait d’être plus intéressé par mon téléphone (ce qui d’ailleurs ne me ressemble pas). Dans l’ensemble, l’œuvre est de bonne facture et vaut la peine d'être vue, même si je ne suis pas sensible à ce genre de compilation, surtout quand elle contienne des courts qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Mais c'est un film qui plaira aux passionnés du genre.
Voici un indispensable malheureusement méconnu, et qui annonçait, un an avant AKIRA, un intérêt croissant pour un cinéma d'animation japonais adulte et complexe. Chacun des trois segments est une merveille, ma préférence allant à LABYRINTHE, parcouru d'une sensorialité hallucinante, en seulement dix minutes, qui ferait mourir de honte bien des cinéastes s'y essayant sur deux heures. Kawajiri et Otomo, chacun dans leur style, démontrent eux aussi un talent simplement incroyable dans leur narration. Vraiment un classique.
Je viens de voir le DVD et c'était excellent ! Un peu moins bon que Memories à mon gout, mais bien mieux que Robot Carnival ! Dommage que le tout ne durent que 50 min ! Mais je vous le conseille !
Il s'agit de l'ancêtre de Memories ! Nous avons donc 3 courts-métrages de 3 réalisateurs différents qui nous racontent des fables contemporaines. Tout d'abord, le Labyrinthe où une jeune fille espiègle se perd dans un monde imaginaire peuplé de créatures bizarres. Presque sans dialogues. On pense bien sûr à Alice aux Pays des Merveilles, mais en beaucoup plutôt barré! Ensuite, le Coureur, ou l'histoire d'un champion d'une sorte de F1 où les pilotes meurs dans les accidents ou par l'effort inhumain de piloter ce genre de machine. Là encore c'est bien 'space' et presque sordide. Et enfin, l'Ordre d'arrêt du chantier, où un jeune employé japonais doit débrancher des robots travaillants tout seul contre vents et marées, à la fois une satire sociale et une dénonciation de la dépendance à la technologie. Le film reste assez particulier et saura en dérouter plus , pour public avertit.