Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le cinéaste Artemio Benki, décédé hélas en 2020, laisse une œuvre ultime, empreinte d’humanité et de sensibilité où seul l’art est capable de transcender la maladie psychiatrique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Artemio Benki filme ses efforts de réinsertion alors qu’il s’apprête à quitter l’hôpital après quatre ans de soins. Une œuvre pénétrante sur la vie, la mort, la création.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O’Neill
Un portrait authentique avec un côté brut de décoffrage qui n’est pas pour nous déplaire.
Télérama
par François Ekchajzer
Porté de bout en bout par une intense sensibilité, Solo compose le portrait fraternel et poignant d’un être densément humain. On n’est pas prêt de l’oublier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Adoptant tour à tour la proximité et la distance requises pour faire éclore une vérité intime tout en préservant l’aléatoire de l’existence, le film accompagne Martín dans sa quête thérapeutique, très vite indissociable d’un permanent besoin de s’asseoir devant un piano (…).
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Artemio Benki, documentariste aujourd’hui décédé (« The Flower Proof »), suit cette renaissance avec passion, et une profonde empathie. D’où une émotion puissante. Et une question : comment sortir de la folie ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais son protagoniste emporte tout : c'est lui qui impulse au film sa forme brisée, de par la précarité de toute sa personne.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On regrette que le récit pourtant touchant soit encombré par de nombreuses parenthèses musicales, qui cassent la dramaturgie et occasionnent longueurs, répétitions et au final lassitude.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Et pourtant quelque chose cloche, rien qui ne vienne mettre totalement l’édifice mais une propension à vouloir précisément un peu trop compliquer les choses, notamment dans la chronologie du récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Le cinéaste Artemio Benki, décédé hélas en 2020, laisse une œuvre ultime, empreinte d’humanité et de sensibilité où seul l’art est capable de transcender la maladie psychiatrique.
Les Fiches du Cinéma
Artemio Benki filme ses efforts de réinsertion alors qu’il s’apprête à quitter l’hôpital après quatre ans de soins. Une œuvre pénétrante sur la vie, la mort, la création.
Positif
Un portrait authentique avec un côté brut de décoffrage qui n’est pas pour nous déplaire.
Télérama
Porté de bout en bout par une intense sensibilité, Solo compose le portrait fraternel et poignant d’un être densément humain. On n’est pas prêt de l’oublier.
Cahiers du Cinéma
Adoptant tour à tour la proximité et la distance requises pour faire éclore une vérité intime tout en préservant l’aléatoire de l’existence, le film accompagne Martín dans sa quête thérapeutique, très vite indissociable d’un permanent besoin de s’asseoir devant un piano (…).
L'Obs
Artemio Benki, documentariste aujourd’hui décédé (« The Flower Proof »), suit cette renaissance avec passion, et une profonde empathie. D’où une émotion puissante. Et une question : comment sortir de la folie ?
Le Monde
Mais son protagoniste emporte tout : c'est lui qui impulse au film sa forme brisée, de par la précarité de toute sa personne.
Le Journal du Dimanche
On regrette que le récit pourtant touchant soit encombré par de nombreuses parenthèses musicales, qui cassent la dramaturgie et occasionnent longueurs, répétitions et au final lassitude.
Première
Et pourtant quelque chose cloche, rien qui ne vienne mettre totalement l’édifice mais une propension à vouloir précisément un peu trop compliquer les choses, notamment dans la chronologie du récit.