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    Possession
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    82 critiques spectateurs

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    Alban M
    Alban M

    3 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mars 2021
    Insupportablement hystérique... irregardable, c'est long et mauvais, pas crédible, Adjani est insupportable comme d'habitude...
    Gustave
    Gustave

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2021
    Berlin avant la chute du mur, un couple se déchire.
    Lorsque Mark rentre chez lui après un long voyage d'affaire, il se rend compte que sa femme Anna ne l'aime plus. Elle a eu pendant son absence une liaison avec un autre homme, mais ce n'est pas tout... Anna dissimule quelque chose de terrible. Ce secret la déconnecte de plus en plus de la réalité, au grand dam de Mark qui, de crises de violence en dépression, va tenter de percer ce secret.
    Ce film à l'ambiance anxiogène possède une poésie lugubre. Les dialogues sont hallucinés, les personnages aussi. On sent que Zulawski a poussé les acteurs dans leurs retranchements, la démence est palpable. Isabelle Adjani est particulièrement intense dans son rôle (la scène dans le couloir du métro est incroyable).
    Un chef d'oeuvre de l'angoisse.
    Shawn777
    Shawn777

    592 abonnés 3 476 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2020
    Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce film mais je ne peux pas dire que j'y ai adhéré non plus. Réalisé par Andrzej Żuławski et sorti en 1981, le film nous présente un couple à la dérive ; lors de son retour à Berlin, Mark s'aperçoit que sa femme le trompe mais avec qui ou plus précisément quoi ? C'est ma première entrée dans le cinéma de Żuławski, je ne suis donc pas habitué à son style et je ne sais d'ailleurs même si le reste de sa filmographie ressemble à ce long-métrage ou non. Mêle si je m'attendais à une œuvre particulière, je dois tout de même avouer que c'est déconcertant et je ne suis d'ailleurs jamais vraiment parvenu à rentrer complètement dans le film ou alors uniquement dans la première partie. Première partie que je trouve d'ailleurs très bonne, le film n'a alors pas encore totalement sombré dans le fantastique ou même l'épouvante, nous sommes simplement au cœur d'une histoire d'amour brisée dont les personnages sombrent de plus en plus dans la folie. Même si ce n'est pas de la folie à l'état pur, je dois dire que certaines scènes sont pourtant impressionnantes (je n'avais encore vu la suite...) et nous mettent profondément mal à l'aise. Il faut aussi savoir que lorsque le réalisateur écrit ce film, il est plus ou moins dans le même état que Mark, la scène de la chambre d'hôtel nous paraissant alors encore plus réaliste ! Par-dessus tout cela, nous avons une critique amère du communisme, le film prenant en plus place dans un Berlin encore divisé par le mur. La mise en scène insiste beaucoup là-dessus, tout est froid, tout est vide, tout est bleu, gris et blanc, bref, rien ne nous donne envie de s'éterniser dans cette ville aux aspects blafards. Jusque là donc tout va bien mais lorsque nous rentrons dans la seconde partie du film, j'avoue que j'ai petit à petit décroché, trouvant le film de plus en plus long. Je trouve qu'à force de vouloir en faire plus, le film se perd un peu dans cette surenchère de folie et de crasse où l'ambiance poisseuse finit par en devenir lassante. Bien-sûr, ce n'est qu'un avis personnel et d'ailleurs le film peut donner lieu à de nombreuses interprétations et analyses. En ce qui concerne les acteurs, j'ai réellement été bluffé par le jeu d'Isabelle Adjani qui se donne vraiment à fond, la scène dans le métro étant terrifiante, même si ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Nous avons également Sam Neill qui excelle dans son personnage. Il y aurait évidemment bien plus de choses à dire sur "Possession" et que l'on aime ou non, c'est en tout cas un film qui ne laisse certainement pas de marbre.
    cinéman
    cinéman

    43 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    Une bouse prétentieuse, incompréhensible, ou qui ne vaut pas la peine d'être comprise, avec une vague histoire de monstre, deux Isabelle Adjani dans deux rôles , des dialogues débiles et pseudo mystiques... Un grand n'importe quoi chiant, aucun intérêt.
    DaftCold
    DaftCold

    21 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mai 2020
    J'ai pas totalement compris la fin... ni même la moitier du film. Mais j'ai l'impression que ce n'est pas ce qui importe. Effectivement le film a l'air bourré de double sens, je ne les ai pas forcément tous saisis, mais rien que l'ambiance, les acteurs, la mise en scène, la réalisation etc font de ce film un excellent film. J'ai trouvé Adjani bluffante, là ou je pensais trouver une actrice un peu fade. J'ai vraiment trouvé le visionnage de ce film fantastique !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 623 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 mai 2020
    Possession est peuplé de personnages dont les actions n'ont aucun fondement dans le monde réel. Est-ce censé être effrayant ? De l'art ? Du Surréalisme ? Tout le monde agit et livre ses répliques comme s'il était dans une pièce de théâtre. Si je veux un film d'horreur prétentieux et surréaliste, je regarderai plutôt un film de David Lynch. Isabelle Adjani doit être en train de crier ou d'être très hystérique pendant environ 75% de ce film. Honnêtement, je ne vois pas pourquoi les gens accordent autant d'importance à ce film. C'est un film auto-indulgent, prétentieux et gonflé d'obscurités qui nuisent à l'intrigue et c'est tout simplement ennuyeux. J'ai détesté tellement le jeu des acteurs et les dialogues sont mauvais. Ce film semble résonner émotionnellement avec beaucoup de gens. Je n'ai rien retiré de cela. Je pense que ce film était trop idiot pour être pris au sérieux...
    Alain D.
    Alain D.

    595 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2019
    Un film peu commun qui ne peut laisser indifférent. Mis en scène et coécrit par Andrzej Zulawski, "Possession" est un drame trouble et violent ou la tension monte irrémédiablement. Son scénario démoniaque démontre une belle progression, nous proposant une histoire fantastique à la fois longue et sanglante. Sur les décors aseptisés de Berlin, l'ambiance houleuse et glaciale est bien soutenue par une musique synthétique de circonstance. Le film nous montre aussi (avec le "monstre ") des effets visuels peu nombreux mais sensationnels.
    Avec le rôle difficile d'Anna, Isabelle Adjani se révèle incroyablement en interprétant des scènes grandioses. Elle a été, à juste titre, doublement récompensée pour ce rôle avec un César et un prix d'interprétation à Cannes. Elle est bien secondée par des acteurs tout aussi performants comme Sam Neill (Marc le mari bipolaire d'Anna) et Margit Carstensen (l'amant toxico d'Anna).
    Chaill
    Chaill

    19 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Totalement trash et barrée, cette allégorie sur la séparation violente d'un couple fut censurée dans bien des pays, la cause à sa violence graphique et de la prestation hallucinée et hallucinante d'Isabelle Adjani, qui lui valut un César mérité. Sam Neill est lui aussi habité par son personnage et prouve qu'il est un des tout meilleurs, trop souvent cantonné à des seconds rôles. Le pitch: Un homme rentre chez lui après une longue mission (semble t-il d'espionnage politique) et découvre que sa femme le trompe; la fait suivre par un détective, puis s'aperçoit que l'affaire est plus complexe que prévue... Les métaphores sont fascinantes entre la guerre froide , le mur de Berlin, le monstre hideux et les doubles gentil/méchant. L'histoire est quant à elle passionnante et sans temps mort grâce à une réalisation nerveuse avec moult effets chocs, à ne pas mettre devant tous les yeux donc.
    Marc L.
    Marc L.

    45 abonnés 1 591 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Ce film, considéré comme le plus mémorable d’une filmographie qui a toujours refusé les facilités et dédaigné l’approbation du public, souffre d’un problème de positionnement, comme s’il ne parvenait pas à être tout à fait ce qu’il ambitionnait d’être. Il faut dire que Zulawski en a écrit le scénario bourré à New York, quelques temps après un divorce difficile et son passage à l’Ouest. Partant de là, il est assez simple de rassembler les indices qui plaident en faveur d’une métaphore fantastique de la désagrégation du couple (ou plutôt d’une double mise en abîme puisque Zulawski la dissimule sous l’apparence des phénomène inexplicables qui gravitent autour de la désagrégation - bien visible celle-là - du couple formé par Mark et Hanna) ou, moins évident, une critique de l’autoritarisme soviétique et de sa capacité à “fabriquer� des fous et des monstres. Pourtant, à l’écran, ‘Possession’ ne semble pas très clair sur ses intentions et cette lecture analytique du film se révèle plutôt a posteriori alors que tout au long de cette plongée dans les abîmes d’une folie qui semble n’épargner aucun des protagonistes, on a plutôt eu l’impression d’assister à quelque chose qui de foncièrement premier degré, entre polar paranoïaque, faux-remake européen de “Body snatchers’ et Thriller psychologique à la ‘Shining’. Bon, on n’est pas non plus obligé de chercher à toute force un signifiant politique dans chaque film….mais là, on retire l’impression que la volonté était bien réelle mais que le réalisateur n’a pas été capable de l’exprimer clairement. Du coup, autant se rabattre sur une lecture au premier degré qui mérite déjà le détour, avec ce faisceau d’éléments bizarres mais tout d’abord insignifiants, qui grandissent en anormalité jusqu’à transformer la réalité en cauchemar éveillé. Les disparitions et réapparitions illogiques de l’épouse, la relation du mari avec une autre femme qu’il est supposé haïr, la mystérieuse ressemblance entre l’institutrice de son fils et l’épouse volage, le comportement erratique de l’amant de cette dernière,...cette contamination du réel, qui estompe progressivement toute norme cartésienne et pousse les personnages à des extrémités incompréhensibles se nourrissent d’une atmosphère lourde et malsaine, avec ce Berlin sinistre et décati, défiguré par l’omniprésence du Mur. Si ‘Possession’ doit une partie de sa réputation, auprès du public des années 80 qui était friand d’oeuvres différentes et radicales, au fait que le concept du dopplegänger était moins fréquent qu’il ne l’est devenu aujourd’hui, il renferme tout de même quelques éléments qui peuvent encore susciter un certain choc à l’heure actuelle, à commencer par l’aspect monstrueux et répugnant, lovecrafto-barkerien pourrait-on dire, de la Créature. Car oui, il y a une créature : le tout est de savoir quelle manière de l’appréhender aura votre préférence Ensuite, le jeu excessif et outrancier des acteurs, d’une démesure dont on ne sait pas s’il faut la considérer avec sérieux ou la tourner en dérision, reste marquant, même compte tenu de l’évolution des normes. Si Sam Neill s’impose (déjà) comme l’un des meilleurs choix possible pour les rôles tordus et complexes, Isabelle Adjani est en surchauffe permanente : elle désavouera d’ailleurs sa prestation par la suite, regrettant la manière dont Zulawski l’avait poussé dans des recoins où elle ne souhaitait pas aller, et qui lui ont valu une réputation persistante d’actrice hystérique pendant de nombreuses années !
    Noé T
    Noé T

    11 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2018
    Un film avec une grosse intensité artistique ! Un début hors du commun, des plans bien distincts, une mise en scène dans les cris, l’horreur qui procure un vrai sentiment d’angoisse !
    L’image est absolument superbe : colorée au début quand tout va bien, puis pâle/fade/sèche/terreuse ensuite quand tout bascule dans la folie pure (sans déconner j’ai jamais vu ça ! La scène dans les couloirs du métro notamment est criante de réalisme !), une esthétique gore et notamment remarquable pour le monstre complètement ignoble sur une toile de fond romantique élément central du film.
    Une perle rare du cinéma thriller/horreur sur fond de romantisme que vous vous devez de voir !
    Eselce
    Eselce

    1 404 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2017
    Très spécial et hystérique, comme film. Un couple qui se chamaille à tout va, des pleurs, des cris, des tromperies et un montage ignoble pour comprendre ce qu'il n'y a rien à comprendre. c'est terriblement fouilli et ennuyeux à regarder aujourd'hui.
    Prométhée
    Prométhée

    4 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 décembre 2017
    Cà crie, çà gesticule, c’est sanglant et hystérique. Possession est tout simplement un OFNI. Les prises de vue et les mouvements de caméra sont géniales, rendant sensible à la fois la froideur, le vide de Berlin, et la folie des personnages. Malheureusement cela ne suffit pas à faire un film: le récit est absent, les dialogues sont creux, et les situations très répétitives. C’est dommage, car Zulawski retranscrit l’un des principaux thèmes du film, le délitement du couple, de manière étouffante et mortifère. C’est de ce point de vue intéressant et cela aurait mérité un traitement plus approfondi et moins hystérique.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    106 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2017
    Tourné dans un Berlin du début des années 80 froid, crépusculaire et fascinant, ce film coup de poing d'Andrzej Zulawski est absolument remarquable à bien des égards. Porté par deux acteurs époustouflants, Isabelle Adjani – dont l'engagement dépasse l'entendement – et Sam Neill, il aborde de manière plus ou moins tacite de nombreuses thématiques. Débutant comme un drame racontant avec volubilité la rupture d'un couple, le long-métrage plonge progressivement dans une atmosphère fantastique de plus en plus angoissante, voire morbide, donnant à son titre toute sa force. Film sur le déchirement conjugal, Possession est également une œuvre sur les ravages des paradis artificiels mais aussi et surtout une terrifiante critique des dictatures, qui transforment les êtres au plus profond de leur identité. Pour développer sa thèse, le cinéaste polonais n'hésite pas à éprouver durement le spectateur à travers des séquences parfois à la limite du supportable. Sa mise en scène est remarquable de fluidité. Surprenant à tous points de vue, ultra-nerveux et simplement génial.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2017
    Le trip très sensoriel sur fond de critique du communisme de Zulawski se rapproche beaucoup du « Répulsion » de Polanski réalisé 16 ans plus tôt. Un film halluciné et hallucinant avec en son centre la lente dégringolade d’une jeune femme vers la folie ; un rôle dévolu sur chaque film à une jeune comédienne française en devenir. Qui est possédé ? Isabelle Adjani est possédé ou plutôt son dilemme cérébral entre rester en couple ou vivre sa vie de femme se traduit à l’image par un personnage double à l’écran : une forme de ying et de yang. Une schizophrénie qu’elle joue avec force tout comme son conjoint ; comme si leurs conflits intérieurs se traduisait par l’apparition d’un double convenable s’opposant à leur double révolté. Le centre du film, c’est eux, un couple au bord de la désintégration. Le traitement de la question est novateur : une approche viscérale proche de l’horreur comme un basculement inexorable vers la folie. Voilà pour le côté névrotique déconcertant. Mais au final d’un trip esthétique envoutant que reste-t-il ? Une impression d’inachevé, de frustration voire de vacuité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    On ne sait pas trop sur quel pied danser avec ce film qui prend systématiquement le spectateur à contre-temps et rebrousse-poil comme si le réalisateur prenait un malin plaisir à faire n'importe quoi effrontément tout en ricanant comme un forcené bon pour l'asile.

    Son film est en effet fortement décousu à la frontière entre le fantastique et le surréalisme : il échoue en vérité sur tous les fronts tandis que ses deux acteurs usent leur talent à faire n'importe quoi et se donnent maladroitement en spectacle.

    Absurde, incohérent et de mauvais goût, Possession s'avère également ennuyeux en plus de se complaire dans le grotesque. Affligeant et sans intérêt.
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