Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Figaro
par Etienne Sorin
L’Irlandais Kieron J. Walsh a choisi une édition particulière de la Grande Boucle, celle du scandale de l’affaire Festina. Il en fait le cœur d’une fiction très crédible à travers le portrait d’un "porteur d’eau" chargé de ravitailler les équipes. Édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Dopé d’énergie et de générosité, L’équipier devrait n’avoir aucun mal à se hisser en haut du podium des bonnes surprises de cet été.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En filmant l’hyper-virilité et le culte du corps sec, le cinéaste anglais évoque le dopage, les rivalités entre sportifs et la pyramide hiérarchique qui structure cette discipline. Et il montre bien le sacrifice absolu ce héros de la petite reine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S’y greffe une romance un peu superflue, mais l’ensemble, fort de sa mise en scène efficace et de sa connaissance du milieu, figure dans le peloton de tête des films sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un récit convenu et une mise en scène tape-à-l’œil n’empêchent pas qu’affleure une (très vague) mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jérémie Couston
Avec le souci de rester accessible au néophyte, mais sans froisser les connaisseurs avec des reconstitutions hasardeuses — point faible du film de Frears —, le réalisateur fait le choix de la pure fiction et concentre habilement son récit sur un personnage secondaire à plus d’un titre, le fameux équipier (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Kieron J. Walsh montre l’envers du décor, l’amertume d’un coureur relégué aux seconds rôles, et choisit de raconter la fameuse année 1998 minée par le scandale du dopage. Très vite, le cinéaste semble hésiter entre le portrait de l’équipier et le film à sujet, avec ses tests EPO impromptus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Mais tout ça finit par pédaler un peu dans le vide : le film peine à changer de braquet pour apporter suspense et intérêt au fil d’un récit qui finit par ressembler à une longue étape de transition sur le Tour de France.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Malheureusement, ce qui aurait pu faire un film efficace et sans prétentions est plombé par des personnages caricaturaux (le soigneur-dealer ultrapatibulaire, à la limite de la parodie) et des situations qui flirtent volontiers avec le grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Dommage cependant que le récit, nerveux, se perde dans les méandres d’une banale et peu utile histoire d’amour entre ce cycliste et une médecin et y abime l’originalité de son point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
L’Irlandais Kieron J. Walsh a choisi une édition particulière de la Grande Boucle, celle du scandale de l’affaire Festina. Il en fait le cœur d’une fiction très crédible à travers le portrait d’un "porteur d’eau" chargé de ravitailler les équipes. Édifiant.
aVoir-aLire.com
Dopé d’énergie et de générosité, L’équipier devrait n’avoir aucun mal à se hisser en haut du podium des bonnes surprises de cet été.
L'Obs
En filmant l’hyper-virilité et le culte du corps sec, le cinéaste anglais évoque le dopage, les rivalités entre sportifs et la pyramide hiérarchique qui structure cette discipline. Et il montre bien le sacrifice absolu ce héros de la petite reine.
Le Journal du Dimanche
S’y greffe une romance un peu superflue, mais l’ensemble, fort de sa mise en scène efficace et de sa connaissance du milieu, figure dans le peloton de tête des films sur le sujet.
Les Fiches du Cinéma
Un récit convenu et une mise en scène tape-à-l’œil n’empêchent pas qu’affleure une (très vague) mélancolie.
Télérama
Avec le souci de rester accessible au néophyte, mais sans froisser les connaisseurs avec des reconstitutions hasardeuses — point faible du film de Frears —, le réalisateur fait le choix de la pure fiction et concentre habilement son récit sur un personnage secondaire à plus d’un titre, le fameux équipier (...).
Le Monde
Kieron J. Walsh montre l’envers du décor, l’amertume d’un coureur relégué aux seconds rôles, et choisit de raconter la fameuse année 1998 minée par le scandale du dopage. Très vite, le cinéaste semble hésiter entre le portrait de l’équipier et le film à sujet, avec ses tests EPO impromptus.
Le Parisien
Mais tout ça finit par pédaler un peu dans le vide : le film peine à changer de braquet pour apporter suspense et intérêt au fil d’un récit qui finit par ressembler à une longue étape de transition sur le Tour de France.
Libération
Malheureusement, ce qui aurait pu faire un film efficace et sans prétentions est plombé par des personnages caricaturaux (le soigneur-dealer ultrapatibulaire, à la limite de la parodie) et des situations qui flirtent volontiers avec le grotesque.
Première
Dommage cependant que le récit, nerveux, se perde dans les méandres d’une banale et peu utile histoire d’amour entre ce cycliste et une médecin et y abime l’originalité de son point de vue.