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Luciole123
1 critique
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5,0
Publiée le 30 octobre 2022
Superbe film, beaucoup d'émotion, Monsieur Anthony Hopkins vous êtes toujours un acteur au sommet de son art. Vous êtes incroyable. Merci Monsieur Anthony Hopkins pour tous ces films qui m' ont fait vibrer depuis ma jeunesse. Je vous adore, vous être un acteur exceptionnel
Chef d’œuvre du cinéma. Performance magistrale d’Anthony Hopkins et scénario exceptionnel nous permettant de vivre tant le ressenti de l’intéressé que le ressenti de la famille proche.
Un film fort sur la vieillesse et la perte d’autonomie. En jouant avec les points de vue, Florian Zeller fait ressentir la perte de repères de son personnage devenant sénile. Le sujet est universel et Anthony Hopkins y trouve un rôle à sa démesure.
Le film est un peu lent, mais le résultat est puissant. Il nous permet de ressentir ce que peut vivre spoiler: une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer . Ce n'est pas une simple distraction, mais un véritable moment d'empathie spoiler: envers une grande partie de la population âgée qui traverse des moments difficiles!
scénario simple, mais d'une redoutable efficacité . les situations et les dialogues font mouche a chaque fois . un énorme Anthony Hopkins dans ce film .
Envoûtant... très beau jeu avec les espaces... on se laisse emmener dans la confusion, de façon très subtile, puis on s'en détache pour prendre conscience de la force de la maladie... wow
Ce film est tellement troublant et perturbant, autant dans les émotions (contraires) qu'ils nous procure et dans les scènes qu'ils nous fait voir. On semble aimer un personnage mais peut être l'image qu'on a de lui est faussé, on pense comprendre une situation avant de s'apercevoir qu'elle n'est pas la réalité. On est perdu tout le long, comme le père joué à la perfection par Antony Hopkins. On est dans sa tête ou plutôt à sa place ( comme le dit le titre " The father " ) pendant tout le film. On l'apprécie il nous fait rire, on le déteste il nous énerve, enfin de compte on le comprend puisque on vient de vivre son quotidien pendant plus 1h30, son quotidien d'homme et de père malade victime d'alzheimer. On a de l'empathie, car on comprend au terme d'une scène de fin extrêmement touchante et un peu effrayante ( pour ma part je dois le dire ), que cet homme a peur. De lui même, de ceux qui l'entourent et de cette maladie incurable, qui détruit sa vie et l'homme qu'il est petit à petit en les laissant disparaître dans l'oubli.
gros coup de coeur ! bouleversant, très juste! Les acteurs sont parfaits, Anthony Hopkins en tête et Olivia Colman. Dans les yeux d'Hopkins, j'ai revu le regard de mon père, un peu perdu.
Film très beau et très touchant. L'histoire relate la perte de mémoire d'un homme âgé parfaitement bien joué par Anthony Hopkins. Quelle prestation. A travers ce rôle il nous transmet tellement d'émotions. Le sujet est touchant et on s'attache très rapidement aux personnages. Olivia Colman aussi joue un très beau rôle d'une fille qui se bat pour son père. Ce n'est pas mon style de film préféré mais il faut reconnaître la qualité du film et de ses acteurs. Oscar mérité Monsieur Hopkins.
"The Father", le film de Florian Zeller, adapté de sa propre pièce, aborde le sujet de la vieillesse, et tout particulièrement de la maladie d'Alzheimer. Si le film est parvenu à obtenir tout le succès qu'il a eu avec un sujet aussi difficile, c'est grâce au talent de mise en scène de Zeller, qui parvient à nous montrer le ressenti d'Anthony, un homme de 81 ans, dans une réalité confuse où le spectateur se trouve dans un premier temps aussi perdu que le protagoniste. Puis les scènes s'enchaînent jusqu'à donner un sens à l'ensemble, même si l'intrigue semble finalement assez vaine. Quel meilleur choix que de donner le rôle principal à Anthony Hopkins, qui signe sans aucun doute l'uns de ses plus grands rôles. "The Father" est une belle réussite, sur un sujet particulièrement dur, et rare au cinéma.
Un chef-d'oeuvre, un peu réticent car ayant vécu la maladie avec un proche, je suis très surpris par l'angle utilisé, le scénario est impeccable et les acteurs excellents, avec Anthony Hopkins en tête.
Pour son premier long-métrage, adapté de sa propre pièce de théâtre Le père, l’auteur à succès Adrien Zeller a choisi de poser ses caméras outre-Manche. Porté par un Anthony Hopkins époustouflant – son rôle lui a valu l’Oscar du meilleur acteur en 2021 – The father nous plonge dans le labyrinthe cérébral d’un vieil homme atteint de la maladie d’Alzheimer. Alors que sa fille Anne, interprétée par la formidable Olivia Colman, tente de l’aider du mieux qu’elle peut, la maladie va réveiller dans ce petit foyer de multiples blessures du passé. S’éloignant de tout naturalisme, Florian Zeller joue de manière impressionnante avec les possibilités offertes par le cinéma et les changements de décor en orchestrant un puzzle entre quatre murs tantôt effrayant, tantôt plus léger, qui nous embarque littéralement dans le cerveau et les pensées confuses d’Anthony. Un joli coup de maître.
Dans la catégorie des petits films cloîtrés et bavards, dans ces pièces de théâtre filmées, voici un véritable et exceptionnel chef-d'œuvre. Puissant d'émotion, éprouvant, dur ; le thème abordé ne laissait guère de doute sur ce que le film voulait nous faire subir. J'avais une appréhension, la peur d'un film comme l'était "Amour" de Haneke, où dès lors qu'on avait pris connaissance du thème abordé, on avait droit à un mélodrame bête et méchant, qu'on devrait voir sans subtilité la tristesse et la désolation d'un légume et de son entourage en attendant le moment fatidique de manière prévisible et d'un ennui mortel. Ici, il n'en est rien. Le film réussit la prouesse de nous faire tourner en bourrique, de jouer avec notre cerveau en le transformant en un cerveau vieux et malade, et par la même occasion, de nous faire rentrer comme jamais dans la peau de l'intéressé et de celle de son entourage. Un jeu de questions et de réponses avec soi-même subtilement amené par un montage scénaristique ingénieux et parfaitement mis en scène. Evidemment, nous ne saurions oublier la prestation merveilleuse d'Anthony Hopkins qui est juste parfaite et à qui on veut faire un câlin.
J'avais un petit a priori sur le passage de Florian Zeller derrière la caméra, pour sa propre pièce, et à Hollywood ! Doutes balayés haut la main : le film est dense, maîtrisé, bouleversant, et les acteurs sont tous au sommet de leur art. Une incroyable réussite, et une success story bien méritée pour monsieur Zeller.