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    The Father
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    590 critiques spectateurs

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    Delphine M.
    Delphine M.

    3 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Un chef-d'oeuvre... une réalisation époustouflante, des acteurs exceptionnels, une histoire bouleversante de sincérité, de justesse.... sans connaître rien à cette maladie, on en ressent les tourments, les errances, la cruauté, le chagrin et la douleur qu'elle entraine chez le malade et ses proches... une magnifique histoire d'amour entre une fille et son père.. je pleure encore en écrivant cette critique..
    Kana57
    Kana57

    39 abonnés 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Film touchant et bouleversant à la fois, traitant de la maladie D'Alzheimer d'un homme Anthony Hopkins y est magistral, un Drame brillamment interprété et réalisé BRAVO ⭐⭐⭐⭐
    Héloïse Nelaton
    Héloïse Nelaton

    30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2021
    The Father était le film de l'année que j'attendais le plus à la réouverture des cinémas tant sa bande-annonce m'avait touchée. D'incompréhensions en incompréhensions, le point de vu développé est unique et n'échoue pas à nous interpeller et nous émouvoir. Un scénario original et parfaitement bien monté, c'est avec amertume que se termine le visionnage de ce film très réussit. Une immense pensée aux acteurs qui ont incarné un quotidien étrange avec succès !
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    78 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2023
    Décidément, le cinéma n’aura pas mis longtemps pour me faire de nouveau vibrer. Car, THE FATHER a clairement été une ÉNORME baffe aussi bien émotionnelle que cinématographique. La prouesse est d’autant plus forte que Florian Zeller réalise ici son premier film, adapté d’une de ses pièces de théâtre.

    Émotionnelle, car il aborde un sujet tabou mais qui parlera au plus grand nombre : La fin de vie et la place que notre société laisse à ses aînés. Le film traite ça de façon très juste, sans jugement et forcément ça fait réfléchir.

    On y suit un homme de 80 ans, interprété par un Anthony Hopkins bluffant, dont la réalité se brise littéralement sous nos yeux et que sa fille essaie d’accompagner de son mieux. Mais avant tout, le film parlera d’une terrible maladie, Alzheimer, sans que le nom ne soit jamais prononcé. Et il le fait avec justesse et dignité, sans jamais être lourd dans ses propos et pourtant avec une redoutable efficacité.

    Car, la plus grande idée du film, est de faire vivre son histoire via le regard de son protagoniste et non de son entourage. Le film offre un scénario vraiment ingénieux qui est fait de telle sorte, qu’en tant que spectateur, on se sente perdu dans un labyrinthe psychologique. Grace à son écriture, Zeller nous fait vivre la situation plutôt que de nous la montrer. On est plongé dans la tête du héros et on finit par perdre pied avec lui, arrivant même parfois, nous aussi, à douter de ce qui se passe devant nos yeux. Au début, c’est assez troublant, mais finalement terriblement efficace.

    La mise en scène ingénieuse vient enfoncer le clou, avec un énorme travail sur les décors et les cadres, dont je ne peux parler sans trop en dévoiler. Zeller, malgré le huit clos, évite le cliché du théâtre filmé en utilisant le montage qui est au cœur de la construction de son œuvre. Le film empruntera souvent les codes du thriller paranoïaque intensifiant le sentiment de malaise ressenti par le spectateur. Clairement, pour un premier film, ça laisse admiratif.
    L’interprétation d’Anthony Hopkins est fabuleuse et prouve une nouvelle fois qu’il est un des plus grands acteurs que le 7e art ait connu. Le fait qu’on ait grandit avec lui, au fil de sa carrière, et que son personnage porte le même prénom qui lui, donne même un côté film testamentaire, le rendant encore plus touchant.

    Mais quelle palette d’émotion ! Souvent tendre et drôle, parfois exécrable, fragile et vulnérable la plupart du temps, il livre une prestation exemplaire jusqu’à un final qui laisse sans voix…
    Olivia Colman n’est pas en reste. Avec un jeu tout en retenue, elle est bouleversante dans son rôle de fille aimante, mais impuissante, qui voit sombrer son père dans une démence sénile.

    Plus qu’un film, c’est une expérience cinématographique que nous livre Zeller, qui grâce à un casting de haut vol vient toucher le spectateur de plein fouet.

    https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
    Aure L
    Aure L

    23 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    Perturbant au possible, déstabilisant, ce film marque et pousse à la réflexion. Les acteurs sont incroyables et livre une prestation de haute qualité.
    Malo
    Malo

    33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2021
    Un film qui vous fait ressentir la maladie d'Alzheimer commz si vous etiez dans la peau du personnage principal. Un résultat bluffant et marquant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 octobre 2021
    Un formidable jeu d'acteur pour ce huis clos emouvant
    L'originalite tient au fait que les evenements sont vus sous le prisme du malade, ce qui nous plonge dans un malaise et une deroute qui nous immerge nous même dans cet etat dramatique

    Mais le film est livre brut alors qu il aurait eu besoin d un packaging qui l'aurait rendu plus agreable , sans tomber dans la facilite
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 octobre 2021
    Anthony Hopkins est nommé pour l'Oscar du meilleur acteur pour ce film, et c'est amplement mérité.
    The Father est une petite claque venue de Florian Zeller, un réalisateur bien de chez nous, qui mérite lui aussi sa nomination à l'Oscar du meilleur film.
    Flo M
    Flo M

    17 abonnés 638 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2021
    Très beau film qui nous montre avec réalisme toutes les difficultés et peines éprouvées à être confronté à cette maladie. Le scénario nous émeut sans sombrer dans le pataud et le jeu des acteurs est parfait dont bien sûr celui de l'excellent Anthony Hopkins, complètement déchirant dans ce rôle. A voir sans hésitation.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2021
    Adaptant sa pièce qui traite du problème d'Alzheimer, Florian Zeller évité le piège du théatre filmé en livrant sous des abords initiaux classiques, une mise en scène qui se révèle onirique et labyrintique. Mais, les atouts essentiels de ce film restent d'excellents dialoques et des interprètes remarquables.
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Je crois en la loi des séries. En effet, il y avait quand même assez peu de chances que je vois deux films de suite consacrés à la maladie d'Alzheimer au cinéma, moi qui ai dû en voir à peu près autant dans toute ma vie. Par contre, il est peu dire que l'approche envisagée par Florian Zeller est diamétralement opposée à celle de Viggo Mortensen (toutes deux des premières réalisations, en passant). D'ailleurs, j'avoue que je suis resté plusieurs jours assez dubitatif concernant la réussite présumée de « The Father ». Cette musique d'opéra omniprésente est plus pesante qu'autre chose, Zeller a beau s'en défendre mais les origines théâtrales se ressentent fortement, celui-ci jouant un peu trop des ruptures et du « puzzle mental » dans lequel il nous plonge, l'interprétation, principalement d'Anthony Hopkins, étant presque « trop » bonne, trop « Oscarisable » au point d'en manquer de naturel.

    Pourtant, plus j'y pense et plus je trouve le résultat fort, troublant. Je pense que c'est la première fois qu'une œuvre ose se plonger aussi radicalement dans l'esprit d'un homme atteint de cette maladie, presque toujours en focalisation interne. Toute notre perception est ainsi modifiée : l'appartement devient une sorte de labyrinthe, le rapport au temps est bouleversé, les visages ne sont pas forcément ceux qu'on croit, toute phrase peut prêter à confusion, dispute, incompréhension... Tout cet aspect, le réalisateur le rend remarquablement, lui donnant, pour le coup, une vraie dimension cinématographique, notamment à travers un montage assez savant, offrant plusieurs scènes très fortes, à l'image d'un dénouement auquel il est difficile de rester insensible... Il y a de l'intelligence, du talent, inégalement exploités, mais il y en a. Un film qui, sans échapper à quelques pesanteurs et maladresses en surjouant la gravité, se place clairement comme l'un des titres importants de cette année 2021, aussi singulière soit-elle.
    Les plaisirs des mots
    Les plaisirs des mots

    5 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2021
    The father est un film intense. Plongés dans les perceptions d'Anthony, il nous est impossible de démêler le réel de l'illusoire, le souvenir de l'hallucination et le temps présent du passé. L'histoire nous donne donc l'impression de se construire telle une énigme : où se trouve Anthony ? Qui sont ces gens qui l'entourent ? Se joue-t-on de lui ou est-ce son propre esprit qui le berne ? Bien qu'il soit facile de simplement s'en remettre à la maladie d'un vieil homme, on ne peut s'empêcher de s'interroger et de chercher à comprendre.

    En miroir de ma propre expérience auprès de ma grand-mère, qui sans avoir eu Alzheimer, perdait également peu à peu la mémoire et la plupart de ses facultés cognitives... je trouve ce film incroyablement juste. La réalisation est magnifique et chaque scène m'a semblé criante de vérité. Les souvenirs qui se superposent, les événements qui s'emmêlent, se décrochant peu à peu de la réalité, pour prendre doucement le chemin de l'hallucination. Nous vivons ce que vit Anthony. Ce film permet de comprendre à quel point les personnes âgées se retrouvant dans cette situation sont perdues et vulnérables, victimes de leur esprit et impuissantes face à leur mémoire qui ne fonctionne plus.

    J'ai aimé aussi que le film ne cherche pas à culpabiliser l'entourage. Bien sûr, on a tous entendu des histoires sordides d'enfants qui ne voulaient pas s'occuper de leurs parents et les envoyaient en "hospices", comme on dit, de façon tout à fait précoce. Mais dans ce contexte-ci, ça n'a rien à voir. La mémoire et les facultés s'effacent mais le corps vit malgré tout. Cela peut durer des années... où il n'est malheureusement pas possible de faire grand-chose. Chaque moment partagé est oublié, les visages ne sont plus reconnus où se mélangent... inéluctablement. La famille, le corps médical et enfin le ou la malade sont simplement impuissants.

    J'ai également été fascinée par le travail sur l'image dans ce film. Tous les lieux se ressemblent, offrant une esthétique soignée et qui montre à merveille la confusion qui règne dans l'esprit d'Anthony. Son appartement, celui de sa fille, l'hôpital... chaque espace est calqué sur les mêmes éléments esthétiques, parfois les mêmes meubles, les mêmes tons de couleurs. J'ai trouvé ça réaliste et percutant.

    Enfin, je terminerais par dire que j'ai été profondément émue par les personnages. Anthony Hopkins interprète à merveille ce vieil homme suspicieux, en colère, délirant, qui subit les événements tout en essayant de se persuader qu'il en est encore maître... le déni, la peur, l'incertitude. Cette palette d'émotions pour essayer de surnager dans les limbes de son présent. Olivia Colman n'est pas en reste, elle est cette fille qui fait ce qu'elle peut et essaie d'être présente alors même qu'elle disparaît peu à peu de la réalité de son père... J'en ai été émue aux larmes à plusieurs reprises. Rarement j'ai eu l'impression de voir un film aussi juste dans son récit.

    En tout cas, je recommande chaudement ce film, qui permet de comprendre précisément ce qui arrivent à ces personnes âgées qui se retrouvent perdu dans leur propre esprit.

    Lien vers l'article du blog : https://www.lesplaisirsdesmots.fr/the-father/
    Luc O
    Luc O

    2 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2021
    Un film très perturbant mais c'est le but recherché. On comprends mieux la maladie...ce que recent les personnes atteintes. Anthony Hopkins fait du Anthony Hopkins. Une performance énorme.
    Paul B
    Paul B

    45 abonnés 990 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Un film incroyable, original, beau, juste et intelligent.

    Que demander de plus ? Anthony Hopkins joue admirablement bien, il n'y a rien à jeter le film est splendide.
    CinemaxGhinozzi
    CinemaxGhinozzi

    13 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2021
    Encore un film où Anthony Hopkins brille! L'acteur octogénaire ne cesse d'impressionner par son immense talent. Sa performance a été récompensé par l'Oscar du meilleur rôle et c'est pas volé. C'est la première fois que je ressens ça pour un personnage au cinéma mais c'est un protagoniste qu'on va à la fois détesté pour son comportement odieux envers sa fille, Anne, et un protagoniste qu'on va aimer, ou plutôt qui va nous émouvoir dans cette incroyable scène finale, spoiler: il est totalement perdu, il agonise à cause de cette foutue maladie.
    Ce métrage parle de la maladie d'Alzheimer, et là où Florian Zeller est très fort, c'est que nous, spectateurs, sommes également atteint par cette maladie. On est comme piégé dans une boucle temporelle, où les plans, les séquences et les dialogues se croisent et se ressemblent. L'ambiance et le ton du film en général est assez anxiogène, c'est très réussi, je me suis parfois retrouver "gêner" comme dans un film de genre, comme si on entrait dans l'intimité de ces gens, je pense aux dialogues suivants : spoiler: Paul : "Est-ce que vous allez faire chier le monde encore longtemps?", suivi de plusieurs claques données à Anthony ; Anthony "C'est Lucy, ma fille préférée" devant sa fille Anne.
    De plus, ce côté anxiogène est accentué par des teintes très froides (bleu omniprésent dans l'appartement) et surtout que l'oeuvre se déroule à 100% en intérieur. Enfin, je vais applaudir cette mise en scène fantastique, ces plans-séquences répétés â l'identique avec des personnages différents qui lisent un même texte dans une même posture, c'est juste somptueux.
    Je vous recommande vraiment ce film qui est un petit bijou qui peut parfois faire penser à un Nolan à petit budget.
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