Mon compte
    The Father
    Note moyenne
    4,3
    9957 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Father ?

    591 critiques spectateurs

    5
    184 critiques
    4
    262 critiques
    3
    91 critiques
    2
    34 critiques
    1
    15 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    mazou31
    mazou31

    96 abonnés 1 284 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2022
    Voici un film qu’on n’oublie pas, a fortiori si on a plus de 50 ans ou un parent qu’il va falloir assumer ! C’est fort, émouvant et bouleversant. Vous m’excuserez ces lieux communs mais il n’y a guère d’autres mots pour qualifier un tel film qui émeut mais questionne aussi beaucoup vos propres anxiétés. Deviendrai-je ainsi, mes enfants auront-ils le courage d’endosser ?
    Cette adaptation d’une pièce à succès est menée au cordeau, en respectant quasiment les 3 règles de l’unité, est dirigée avec finesse et met en valeur les deux protagonistes principaux qui sont tout simplement fantastiques. Le réalisateur a par ailleurs réussi la gageure d’exprimer les souffrances de la victime qui a une certaine conscience de son état aussi justement que celles de sa fille, abasourdie par la situation.
    Un très très grand film sur la vie, la déchéance, la filiation et la douleur morale.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2021
    Florian Zeller frappe fort et juste avec son tout premier film. D’ailleurs la maîtrise et la maturité avec laquelle il illustre le sujet de la maladie d’Alzheimer est évocateur et promet une belle carrière à ce jeune réalisateur. Pas mal d’œuvres ont traité cette maladie sur le grand écran, que ce soit du côté français avec par exemple « Se souvenir des belles choses » ou du côté américain avec « Still Alice » qui a valu à Julianne Moore l’Oscar de la meilleure actrice. Et c’est peut-être ce qui attend Anthony Hopkins pour « The Father » tant sa prestation est forte, émouvante et juste. Le comédien octogénaire voguait de films en films alimentaires depuis quelques années, n’évitant pas le cabotinage ou les excès de jeu, mais il semblerait qu’il ait décidé de nous offrir une des prestations mémorables et magistrales dont il avait le secret avec ce film. Il est royal, attendrissant et touchant et nous fait parfaitement ressentir toute la détresse d’une personne atteinte de cette maladie. Olivia Colman ne démérite pas mais reste plus en retrait, laissant au comédien toute la place pour exprimer son talent. Il est clair que ce rôle fera date dans sa très riche filmographie et qu’il sonne comme une prestation de fin de carrière, une forme de chant du cygne montrant toute l’étendue de son talent inimitable. Le long-métrage adopte une forme plutôt théâtrale, en huis-clos. On aurait peut-être aimé que « The Father » s’aère un peu plus hors des murs de cet appartement mais cela montre l’enfermement psychologique vécu par le personnage malade d’Anthony et la mise en scène évite tant que faire se peut le surplace et optimise au maximum l’espace confiné de ce lieu. En revanche, encore une fois, cette histoire prend place dans une atmosphère très bourgeoise, comme si la maladie n’existait que chez les riches de ce monde (comme pour « Amour » de Haneke au sujet voisin). Cela en devient parfois gênant.



    Plus original et novateur qu’à l’accoutumée pour ce genre de sujet casse-gueule, Zeller montre la maladie sous un jour nouveau. Plutôt que de se focaliser sur ses conséquences sur l’entourage du personnage principal, le film choisit d’entrer dans la tête d’Anthony en retranscrivant sa détresse, ses pertes de repères spatiales et temporelles ainsi que ses questionnements quant à la réalité de ce qu’il voit et entend. Au début, on est un peu perdu, voire perplexe, mais petit à petit ce choix narratif s’avère payant et tout à fait adapté. Rarement on avait perçu aussi bien la tristesse de la perte de mémoire. Au point de ne plus reconnaître ses proches, de voir des inconnus chez soi, de perdre des objets ou encore de n’avoir plus notion du temps qui passe et des lieux où l’on se trouve. L’appartement peut se voir comme un mausolée labyrinthique accueillant une personne au crépuscule de sa vie. Les êtres qui l’entourent ne sont plus que des inconnus ou des ombres. L’émotion n’est pas toujours prégnante mais elle n’est jamais non plus forcée, le film évite ainsi le pathos dégoulinant qu’un tel sujet aurait pu autoriser. Mais certains moments sont déchirants, notamment la scène ou le personnage de Colman craque devant les errements de son père ou à la fin quand Anthony pleure comme un bébé, retrouvant une mentalité enfantine. Une scène qui fend le cœur, simplement, sans forcer. On prend bien conscience des ravages d’Alzheimer sur le malade comme sur ses proches. « The Father » est à la fois simple et efficace dans sa manière d’aborder le sujet mais réussit à le rendre aussi plus compréhensible de l’intérieur et ce n’était pas chose aisée. Pas un chef-d’œuvre mais en tout cas un beau film, empli de pudeur, sur le sujet et un rôle magnifique pour Hopkins.



    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 373 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2021
    “The Father” est l’adaptation de la pièce de théâtre écrite par le réalisateur Florian Zeller. L’histoire raconte la lente descente d’un homme de 81 ans atteint de la maladie d’Alzheimer. Sa fille l’héberge chez lui et tente au mieux de lui faciliter la vie. Récompensé par l’Oscar du meilleur acteur, Anthony Hopkins révèle un jeu bouleversant. Zeller a fait le choix d’aborder son histoire du point du vue du vieillard, nous laissant ainsi dans un labyrinthe de sentiments brouillés et de questions sans réponses. Olivia Colman apporte elle aussi, la justesse nécessaire pour nous toucher en voulant protéger son père tout en tentant de conserver son mariage, mais est aussi, le point d’ancrage de la réalité dont ont besoin les personnes atteintes de sénilité. Oeuvre douloureuse et sincère, “The Father” offre une perception coup de poing sur la démence.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    532 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Pour sa première réalisation, le dramaturge Florian Zeller adapte sa propre pièce Le Père, qui narre l'inexorable décrépitude d'un vieil homme assailli par la maladie d'Alzheimer. Zeller va pourtant au delà de la simple transposition et opte pour une mise en scène adoptant le point de vue d'Anthony. The Father est un huis-clos à double-titre puisqu'on passe les 95 minutes dans un appartement mais aussi dans la tête de son héros. À vrai dire, le foyer est l'allégorie d'un cerveau en train de se délabrer. La forme fusionne avec le fond : les plans fixes reflètent les images résiduelles qu'Anthony conserve, l'aménagement de son réduit varie de manière plus ou moins imperceptible, les repères affectifs ou temporels (la métaphore de la montre perdue) sont brouillés et la barrière entre souvenirs et inventions est poreuse.
    Jusque dans son écriture, Zeller éparpille des bribes de dialogues déjà échangés pour rappeler la perturbation constante subit par le personnage principal. Le procédé fonctionne si bien que l'effet de stupéfaction se répercute sur les spectateurs. Les plus attentifs essaient forcément de remettre un semblant d'ordre dans le chaos mémoriel, mais la tâche s'apparente à reconstituer un puzzle en perpétuelle mutation. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne pourra y trouver un sens mais la prudence est de mise. Mais le vrai effet spécial du film demeure son comédien principal, Anthony Hopkins. Fort d'une expérience qui ne souffre aucune comparaison, l'acteur octogénaire livre une partition de la dissonance phénoménale. Le moindre de ses mouvements, de ses expressions ou de ses changements de tons retranscrivent avec subtilité l'état d'Anthony. Je me demande malgré tout si la plus grosse surprise n'est pas à chercher du côté de l'incroyable Olivia Colman qui vous met le cœur au bord des yeux. Rufus Sewell, Imogen Poots et Olivia Williams complètent parfaitement le casting avec des prestations tour à tour solaire, frigorifique ou ambivalente.
    Comme beaucoup de films à concepts, The Father se montre plus intéressant sur la manière de raconter que dans le propos en lui-même. Bien sûr que la finalité ne faisait aucun doute avant même que le long-métrage débute. Mais puisque la marche funeste était annoncée, n'y avait-il donc pas la possibilité d'opérer un virage imprévu afin d'emmener ses personnages vers autre chose (même temporairement) ? Cela aurait pu permettre de briser la routine sans renoncer à cette approche frontale de la maladie. Quelles auraient pu être les options, je ne saurais dire. Mais l'idée de souvenirs/cauchemars faisant intrusion dans l'esprit d'Anthony (comme dans le très inégal Capone) aurait pu être creusée d'avantage. Toutefois, le film de Zeller reste un geste fort, dans sa conceptualisation et son incarnation. Pas du tout le prototype de film à Oscars qui rassure et fait pleurer dans les chaumières. Ici, les émotions sont brutes et sincères. Elles font mal mais c'est aussi bien comme ça.
    Ufuk K
    Ufuk K

    520 abonnés 1 478 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2021
    " The Father" de Florian Zeller qui a obtenu 6 nominations au oscar cette année dont 2 victoires est un drame britannique qui secoue le spectateur. En effet en dépit de quelques confusions durant le récit de cette histoire peut être une volonté du réalisateur de mettre le spectateur dans la tête d'une personne souffrant de la maladie Alzheimer brillamment interprété par Anthony Hopkins (oscar du meilleur acteur cette année) bien accompagné par la splendide Olivia Colman, certaines séquences m'ont bouleversé devant la déchéance d'un homme et de sa fille voyant disparaitre peu à peu son père.
    Loïck G.
    Loïck G.

    337 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2021
    C’est un film aussi complexe que le cerveau perturbé de son héros. Ce que le réalisateur traduit par une mise en scène quasi immersive dans laquelle le spectateur se retrouve totalement impliqué. Où les affres de la vieillesse heurtent une conception de la vie qui nous parait jusqu’alors presque logique. L’interprétation exceptionnelle d’Anthony Hopkins surligne cet état de fait : sans être dans la peau du héros, on ressent ses tourments, on les vit. On parle donc d’une fin de vie, de la malade d’Alzheimer ( jamais citée ) mais aussi d’amour qu’une jeune femme entretient pour son vieux papa malade. L’un et l’autre ne se comprennent plus vraiment, mais c’est encore la vie nous dit Zeller qui la transcende jusqu’au point de non-retour. Celui des rides et de la fatigue sénile, ce dégradé de sentiments, cette perte irraisonnable. Un premier film quasi sans rature, adapté d’une pièce de théâtre du même auteur. Pour voir ça , on méritait d’être déconfiné
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    pierrre s.
    pierrre s.

    435 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2021
    La construction du film est brillante et nous plonge dans les yeux du personnage d'Anthony afin de mieux nous faire comprendre cette terrible maladie. De plus les comédiens sont tous très convaincants. Voilà pour la forme. Concernant le fond, on peut se demander si la vie a encore un sens lorsque l'on est si gravement malade et si ça vaut la peine de continuer... Mais c'est un autre débat.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    169 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2021
    Rien d'étonnant à ce que The Father ait rencontré un tel succès cette année. Le film traite d'un problème qui concerne tout le monde, qu'on soit directement touché dans sa famille, anxieux à l'idée de l'être ou de vivre intérieurement ces troubles de la mémoire ou compatissant pour notre entourage qui endure les conséquences de ces troubles. Le début, assez classique, déroute car il ne semble pas justifier une critique presse et spectateur aussi dithyrambique. Mais la stratification des couches de passé et de présent, de réel et d'imaginé, de perçu et de souvenu, dans lequel on s'engage sans s'en rendre compte (et dont ne peut rien dire sans spoiler...) emporte à peu près tous les spectateurs légitimement. Anthony Hopkins restera dans l'histoire du cinéma pour ce rôle-ci aussi (au-delà du Silence des agneaux) ; il mérite amplement son Oscar (à moins qu'il ait lui-même la maladie d'Alzheimer... ;-)). Tout personnel soignant d'un EPHAD, tout proche d'une personne âgée ayant des troubles de la mémoire auront intérêt à voir ce film, tant il nous laisse pressentir (voire nous immerge) dans l'expérience vécue par les patients. On devine l'apport médical que peut permettre un tel film en incitant chacun de reconsidérer son point de vue sur la maladie et ses conséquences. Bref, une œuvre cinématographique inventive, très bien menée et extrêmement utile.
    CH1218
    CH1218

    202 abonnés 2 895 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juin 2021
    Bien plus que d’autres films traitant de maladies, « The Father » propose une plongée unique et bouleversante dans la tête d’une personne atteinte d’Alzheimer. Grâce à la subtilité de la mise en scène de Florian Zeller, servie par une variation des décors et d’un habile montage, la dégénérescence des facultés cérébrales et la vulnérabilité due à l’usure de l’âge sur l’être humain n’ont jamais atteint un tel niveau d’immersion. J’ai été réellement perturbé par la puissance des émotions que ce puzzle intérieur m’a procuré. Cette sensation inhabituelle est également marquée par l’éblouissante performance du grand Anthony Hopkins à laquelle vient s’ajouter celle d’Olivia Coleman. Enveloppé par de beaux morceaux musicaux, ce film est un chef d’œuvre.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2021
    Florian Zeller, dramaturge français, met en image sa propre pièce pour son premier film. Les adaptations de ses pièces précédentes avaient données, des films anecdotiques ; alors pourquoi ne pas passer derrière la caméra ! Bien lui en a pris… Coup d’essai, coup de maître…
    Il garde le huis clos inhérent au théâtre et réinvente tout le reste pour tenter de faire vivre de l’intérieur la déliquescence d’un vieillard victime de la maladie d’Alzheimer. Il illustre à merveille le chaos mental du vieil homme et se sert de l’appartement devenant un environnement mouvant pour le faire ressentir aux spectateurs. Entré dans la salle sur la simple critique positive et l’Oscar de Hopkins, j’ai mis un temps à comprendre quel était le thème du film. C’est fort de se croire dans un film déstructuré, puis dans un thriller, puis d’épouvante psychologique, puis dans un drame ; une expérience cinématographique rendue extrêmement forte par la découverte du film. Le dispositif mis en place par Zeller est déstabilisant, non linéaire et très malin. Les notes d’humour qu’il apporte à de nombreuses reprises, aidé par un comédien exceptionnel l’éloigne de la rigidité froide de « Amour » d’Haneke.
    Dans le rôle de la fille d’Anthony (le vieil homme victime d’Alzheimer), Olivia Colman est d’une justesse évitant tous les pièges du larmoyant. Mais c’est Anthony Hopkins qui éclabousse le film de sa prestation. A 83 ans, il interprète peut être son plus grand rôle, il est magistral entre folie, ambiguïté et fragilité. C’est fou aussi comment il nourrit de deux de ses rôles majeurs ce personnage : le majordome de « Les vestiges du jour » et le serial killer de « Le silence des agneaux ».
    Mon deuxième film depuis la réouverture des cinés et une belle claque…
    tout-un-cinema.blogspot.com
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    102 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2021
    Hopkins magistral. Attention Colman ne démérite pas, mais le film aurait pu s'appeler dans la tête du père, donc c'est lui qui mène la danse. La mise en scène est bonne , il faut l'esprit agile pour démêler le vrai de l'interprétation du père. Du cinéma de haute volée
    7fabcool7
    7fabcool7

    54 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2021
    LA performance d'Anthony Hopkins est exceptionnelle Il faut l'avouer. Mais ce film est déchirant et donne un peu le cafard. Après chacun donnera son avis mais il faut arreter de mettre des critiques de 90 à 100 lignes franchement ça ne donne pas du tout envie de vous lire.... pas besoin d'écrire des romans.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    88 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2021
    Une claque! Hopkins est magistral d'émotion et de justesse, c'est son plus grand rôle avec celui célèbre d'hannibal Lecter. Ici il joue un quadragénaire victime d'alzeihmer. Mais pas de larmoyant, pas de violon tiré larmes ici tout est vu du point de vue du malade et c'est la le coup de génie du film et de la mise en scène. Le film devient un thriller angoissant dans un labyrinthe du quotidien où toute situation banale peut devenir un vertige terrifiant. Grand film !
    Adrien
    Adrien

    85 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2021
    Un très beau film !!! Anthony Hopkins et Olivia Coleman interprètent très bien leurs personnages, les autres acteurs sont très bon, les décors sont beaux, la mise en scène est impeccable et la musique est superbe. Un film vraiment captivant avec de l'émotion et un peu d'humour. Je ne suis pas déçu de l'avoir vu. Il vaut vraiment le coup. Je ne me suis pas du tout ennuyé devant ce film. Aucune longueur, aucun temps morts. Je vous conseille d'aller le voir. Une très belle histoire !!!
    rvrichou
    rvrichou

    101 abonnés 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Qui dira outre la perfection du scénario, de l'interprétation, l'émotion qui saisit le spectateur quand la voix de Nadir célèbre la nostalgie d'un passé qui n'est plus?
    Qui dira la patience des personnels soignants qui se substituent aux proches et le chagrin des proches qui ne peuvent pas donner les soins?
    Un très beau film sur l'isolement, quand notre perception du monde ne se fait plus qu'à travers les écouteurs d'un casque. Se joue alors une musique qu'on ne partage plus, mais qui peut être très belle même si on est seul à l'entendre.
    "O souvenir charmant, folle ivresse, doux rêve,la voix tendre d'un chant de ramier".
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top