Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Anthony Hopkins joue de sa propre vieillesse, de sa vulnérabilité, de sa fragilité, de ses questions face à la maladie de la mort. À ce jeu vrai, démasqué, sans art d’artifice, l’acteur octogénaire est bouleversant et magistral.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Labyrinthe mental bouleversant, The Father est une expérience viscérale et proprement époustouflante de la déliquescence humaine. Un très grand premier film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Ce huit clos poignant et déchirant restera longtemps dans nos mémoires.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Refusant le naturalisme, Florian Zeller utilise les techniques du cinéma pour illustrer ce chaos mental et le faire ressentir au spectateur et envelopper son huis clos d’une angoisse presque polanskienne. Terrible et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un grand et beau film sur la fin de vie.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Magistral.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un récit bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Un film sombre et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Du très grand cinéma.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Une flèche qui va droit dans notre coeur de spectateur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un très beau film.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Florian Zeller impressionne avec un premier film subtil, tenu de bout en bout et remarquablement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Charlotte Marsal
Une plongée dans la démence sénile qui flirte avec le thriller.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Alex Masson
À ce huis clos intime mais épique entre un condamné et son cerveau de plus en plus assailli par la maladie, s’ajoute celui voulu par la mise en scène de Zeller, qui transforme un appartement en terrain meuble et en piège sensoriel.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Deux Oscars saluent son talent et celui d'Anthony Hopkins, si fort dans sa fragilité face à Olivia Colman qui joue sa fille.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Anthony Hopkins rencontre un de ses plus beaux rôles, et il justifie son Oscar par la sobriété de jeu, avec ses petites folies, et l’ambiguïté qu’il apporte au personnage. Florian Zeller lui destinait le rôle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est un travail sur le fil : d’un côté, Zeller construit un décor oppressant et s’en sert dans un dispositif qui reflète l’état d’esprit de son héros égaré ; de l’autre, Hopkins affiche une pointe d’ironie élégante – c’est sa marque de fabrique – envers ces gens qui lui affirment des choses contradictoires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
En adaptant une pièce au succès international – elle a été jouée dans 45 pays – Florian Zeller fait preuve d’une grande maîtrise formelle et dispose de deux formidables atouts.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
The Father est servi par des comédiens au talent souverain, Hopkins pauvre Roi Lear en pyjama, Olivia Colman bouleversée par les incohérences de son père, véritable abeille contre la vitre, Olivia Williams dont il se demande quel est le rôle, au juste. On ne risque pas de les oublier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film exigeant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
On ressort de ce huis clos avec le sentiment d'une mise en scène habile, pleine d'ellipses et de puissants vertiges, offrant aussi de vrais instants de pure cocasserie.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Un drame poignant, qui traite du vieillissement, de la perte de mémoire qui l’accompagne, des dilemmes posés à l’entourage. Interprétée par un grand acteur qui a l’âge du rôle, l’œuvre recourt à un dispositif narratif complexe, qui vise à faire partager au spectateur le désarroi du personnage.
Première
par Thierry Cheze
L'intelligence de Zeller est d'injecter de la cérébralité dans cet océan d'émotions et d'empêcher ainsi le lacrymal de tout emporter sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dans un effet miroir troublant, le comédien octogénaire livre une performance habitée, vibrante et saisissante, très justement saluée par l’Oscar du Meilleur acteur.
Télérama
par Marie Sauvion
Servi par d’impeccables acteurs, le dramaturge adapte sa pièce sur la maladie d’Alzheimer, dans une mise en scène onirique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un face-à-face aussi poignant que dérangeant, dont on ressort secoué.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre fantastique et drame intimiste, le premier film du dramaturge Florian Zeller déroule avec puissance les ravages de la démence sénile. Saisissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un scénario malin mais parfois vain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Philippe Ridet
D’une histoire simple, l’auteur a su restituer, au théâtre comme au cinéma, le labyrinthe des égarements de la raison ou ce qu’il en reste avec une narration qui s’apparente à une passionnante plongée dans un cerveau en décrépitude.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers le portrait d'un homme vieillissant, Florian Zeller réalise un film d'horreur psychologique angoissant. Le film a reçu l'oscar du meilleur scénario adapté ainsi que celui du meilleur interprète. L'un complète l'autre, tant Anthony Hopkins offre à ce texte un levier puissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Ce récit sur un père perdant tous ses repères est servi par un professionnalisme tout hollywoodien, un grand Hopkins, et une approche superficielle mais très maline.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Sylvain Blandy
The Father ne tranche pas entre un cinéma subjectif et l’explicitation constante de son propos au moyen de lourds symboles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Sandra Onana
The Father voudrait s’en tirer avec tous les honneurs : celui de la performance prête-à-primer, de l’émotion, de la mise en scène comme tour de force ostentatoire, adossée à la sûreté de son dispositif de théâtre mental.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le maniérisme de The Father expose les limites d'Anthony Hopkins, comme dans le plan éprouvant où il fait des claquettes. On pouvait espérer meilleur testament que cette absence de rythme et de poésie.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Comment peut-on réaliser aujourd’hui un film si artificiel, si calculé, si empesé, si vieillot enfin ?
Dernières Nouvelles d'Alsace
Anthony Hopkins joue de sa propre vieillesse, de sa vulnérabilité, de sa fragilité, de ses questions face à la maladie de la mort. À ce jeu vrai, démasqué, sans art d’artifice, l’acteur octogénaire est bouleversant et magistral.
Ecran Large
Labyrinthe mental bouleversant, The Father est une expérience viscérale et proprement époustouflante de la déliquescence humaine. Un très grand premier film.
Elle
Ce huit clos poignant et déchirant restera longtemps dans nos mémoires.
La Voix du Nord
Refusant le naturalisme, Florian Zeller utilise les techniques du cinéma pour illustrer ce chaos mental et le faire ressentir au spectateur et envelopper son huis clos d’une angoisse presque polanskienne. Terrible et déchirant.
Le Dauphiné Libéré
Un grand et beau film sur la fin de vie.
Le Journal du Dimanche
Magistral.
Le Parisien
Un récit bouleversant.
Le Point
Un film sombre et magnifique.
Ouest France
Du très grand cinéma.
Télé Loisirs
Une flèche qui va droit dans notre coeur de spectateur.
20 Minutes
Un très beau film.
Bande à part
Florian Zeller impressionne avec un premier film subtil, tenu de bout en bout et remarquablement interprété.
CNews
Une plongée dans la démence sénile qui flirte avec le thriller.
CinemaTeaser
À ce huis clos intime mais épique entre un condamné et son cerveau de plus en plus assailli par la maladie, s’ajoute celui voulu par la mise en scène de Zeller, qui transforme un appartement en terrain meuble et en piège sensoriel.
Femme Actuelle
Deux Oscars saluent son talent et celui d'Anthony Hopkins, si fort dans sa fragilité face à Olivia Colman qui joue sa fille.
Franceinfo Culture
Anthony Hopkins rencontre un de ses plus beaux rôles, et il justifie son Oscar par la sobriété de jeu, avec ses petites folies, et l’ambiguïté qu’il apporte au personnage. Florian Zeller lui destinait le rôle.
L'Obs
C’est un travail sur le fil : d’un côté, Zeller construit un décor oppressant et s’en sert dans un dispositif qui reflète l’état d’esprit de son héros égaré ; de l’autre, Hopkins affiche une pointe d’ironie élégante – c’est sa marque de fabrique – envers ces gens qui lui affirment des choses contradictoires.
La Croix
En adaptant une pièce au succès international – elle a été jouée dans 45 pays – Florian Zeller fait preuve d’une grande maîtrise formelle et dispose de deux formidables atouts.
Le Figaro
The Father est servi par des comédiens au talent souverain, Hopkins pauvre Roi Lear en pyjama, Olivia Colman bouleversée par les incohérences de son père, véritable abeille contre la vitre, Olivia Williams dont il se demande quel est le rôle, au juste. On ne risque pas de les oublier.
Marianne
Un film exigeant et émouvant.
Marie Claire
On ressort de ce huis clos avec le sentiment d'une mise en scène habile, pleine d'ellipses et de puissants vertiges, offrant aussi de vrais instants de pure cocasserie.
Positif
Un drame poignant, qui traite du vieillissement, de la perte de mémoire qui l’accompagne, des dilemmes posés à l’entourage. Interprétée par un grand acteur qui a l’âge du rôle, l’œuvre recourt à un dispositif narratif complexe, qui vise à faire partager au spectateur le désarroi du personnage.
Première
L'intelligence de Zeller est d'injecter de la cérébralité dans cet océan d'émotions et d'empêcher ainsi le lacrymal de tout emporter sur son passage.
Télé 7 Jours
Dans un effet miroir troublant, le comédien octogénaire livre une performance habitée, vibrante et saisissante, très justement saluée par l’Oscar du Meilleur acteur.
Télérama
Servi par d’impeccables acteurs, le dramaturge adapte sa pièce sur la maladie d’Alzheimer, dans une mise en scène onirique.
Voici
Un face-à-face aussi poignant que dérangeant, dont on ressort secoué.
aVoir-aLire.com
Entre fantastique et drame intimiste, le premier film du dramaturge Florian Zeller déroule avec puissance les ravages de la démence sénile. Saisissant.
L'Humanité
Un scénario malin mais parfois vain.
Le Monde
D’une histoire simple, l’auteur a su restituer, au théâtre comme au cinéma, le labyrinthe des égarements de la raison ou ce qu’il en reste avec une narration qui s’apparente à une passionnante plongée dans un cerveau en décrépitude.
Les Echos
A travers le portrait d'un homme vieillissant, Florian Zeller réalise un film d'horreur psychologique angoissant. Le film a reçu l'oscar du meilleur scénario adapté ainsi que celui du meilleur interprète. L'un complète l'autre, tant Anthony Hopkins offre à ce texte un levier puissant.
Les Fiches du Cinéma
Ce récit sur un père perdant tous ses repères est servi par un professionnalisme tout hollywoodien, un grand Hopkins, et une approche superficielle mais très maline.
Critikat.com
The Father ne tranche pas entre un cinéma subjectif et l’explicitation constante de son propos au moyen de lourds symboles.
Libération
The Father voudrait s’en tirer avec tous les honneurs : celui de la performance prête-à-primer, de l’émotion, de la mise en scène comme tour de force ostentatoire, adossée à la sûreté de son dispositif de théâtre mental.
Cahiers du Cinéma
Le maniérisme de The Father expose les limites d'Anthony Hopkins, comme dans le plan éprouvant où il fait des claquettes. On pouvait espérer meilleur testament que cette absence de rythme et de poésie.
Transfuge
Comment peut-on réaliser aujourd’hui un film si artificiel, si calculé, si empesé, si vieillot enfin ?