Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Gaspar Noé mêle habilement fiction et réalité.
20 Minutes
par Caroline Vié
L’ improvisation à laquelle se livrent les comédiennes est d’un naturel époustouflant.
CNews
par La rédaction
Usant de la stroboscopie lumineuse (déconseillée aux épileptiques) pour rendre compte du chaos ambiant, le cinéaste inclassable ose jouer avec le cadre et l’image, ce qui plongera les spectateurs dans un état hypnotique.
CNews
par La rédaction
Usant de la stroboscopie lumineuse pour rendre compte du chaos ambiant, le cinéaste inclassable ose jouer avec le cadre et l'image, ce qui plongera les spectateurs dans un état hypnotique.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une étrange et passionnante récréation pleine de style.
Ecran Large
par Simon Riaux
Trip méta, hallucination, expérimentation en roue libre... "Lux Æterna" est un peu de tout cela. Mais derrière le vernis du gadget arty, l'expérience demeure un des gestes les plus obsédants, ramassés, et ravageurs de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une œuvre exigeante et puissante, au service d’un discours nécessaire et contemporain : "Lux Aeterna" montre le cinéma au travail, pour préparer celui de demain. Renversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
On est bien chez le réalisateur d’« Irréversible », à qui l’autodérision et le format court réussissent plutôt bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Lux Æterna" est étonnamment réflexif, bardé de dialogues à la volée qui, avec une rare acuité dans son cinéma, parcourent autant de thèmes que la féminité, la croyance et surtout le rôle du réalisateur laissé indécis entre sa fantaisie romantique et sa nécessaire prise de pouvoir.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Bref, ça secoue fort, et on le déconseillera donc au grand public. A contrario, cinéphiles et amateurs du réalisateur d'"Irréversible", eux, pourront apprécier. Car, au-delà de son propos sur les sorcières, "Lux Æterna" constitue un essai remuant et vibrant sur le cinéma et les difficultés de fabriquer un film, qui montre que les cinéastes travaillent parfois dans l'adversité…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Cet essai de trois quarts d'heure s'avère à la fois hilarant et fascinant.
Positif
par Philippe Rouyer
POUR : Il y a chez Gaspar Noé un appétit de cinéma qui lui permet de s’emparer de commandes pour en faire un terrain d’expérimentation ludique et personnel.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce que Noé semble mettre sur le bûcher, ce sont les coulisses du cinéma, et c’est vraiment réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Thomas Bécard
Avec cette Nuit américaine catastrophe, le réalisateur italo-argentin fait preuve d’un humour mordant et oublie enfin de se prendre au sérieux. Tout en conservant intacts son sadisme et son goût de la manipulation. Nous voilà rassurés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Fascinant et jubilatoire, une nouvelle fois le film de Gaspar Noé fait le pari de l’expérimentation et des excès, au risque parfois de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Le film repose sur une dichotomie savamment construite entre, d'un côté, une éclatante maîtrise formelle et, de l'autre, un goût manifeste pour l'improvisation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Le bien nommé "Lux Æterna" fonctionne comme une incantation, lente mais explosive, à l’art lumineux. Intriguant strip-tease formel où le film se déshabille progressivement de tous ses effets pour atteindre l’abstraction frontale la plus pure d’images et de sons, le pourquoi la foule a acheté son billet.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Gaspar Noé pratique la mise en abyme avec jubilation, travaille la forme avec sa virtuosité habituelle, dans un décor infernal qui lui inspire des images stroboscopiques où le rouge, sa couleur fétiche, prédomine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Fidèle à sa singularité plastique, le cinéaste brosse un inquiétant portrait de groupe.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Tout ceci est parfaitement inconséquent mais pile dans l'ère du temps (puisqu'y sont convoqués les thèmes de la sorcellerie et de la féminité persécutée avec grand final sur le bûcher...) et exécuté avec tant de mauvais esprit et de dérision qu'on ne peut qu'applaudir à la plaisanterie qui a le mérite d'ajouter quelques grains d'ambiguïté au débat public.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Lux aeterna démarre pour de bon avec la séquence suivante, hilarant dialogue entre Charlotte et Béatrice où cette dernière « slamme les anecdotes comme une Serge le mytho revenue des enfers », écrivait-on en mai 2019 en sortant de la projection – un peu assommés, mais définitivement ravis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
par Hélène Robert
Essai sur la création cinématographique doublé d’une mise en abyme avec tournage d’un film sur la sorcellerie, ce moyen-métrage de Gaspar Noé est aussi appétissant qu’indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Gaspar Noé réalise un court métrage commandé par la maison de couture Saint Laurent. En résulte une expérience visuelle qui s’inscrit dans la lignée des précédents film du réalisateur. Dommage que le “film dans le film” s’enlise dans la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
On en réchappe à la fois lessivé et guère plus convaincu que ce cinéma de sensations fortes doive nécessairement envisager son spectateur en cobaye.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film compte une cinquantaine de minutes. On a l'impression qu'il en dure trois fois plus.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Gaspar Noé dépeint des personnages hystériques, s'adonne à diverses expérimentations formelles, multiplie les citations et signe un « petit » film qui, au final, ne séduira que ses fans inconditionnels et les aficionados (indulgents) des actrices principales.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
[...] l’entreprise rêvée du cinéaste est surtout animée par un surplomb théorique qui n’est là que pour asseoir le génie de son auteur et sa prétendue transgression.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
CONTRE : Une coquille creuse et arty sous perfusion Saint Laurent.
Ouest France
Gaspar Noé mêle habilement fiction et réalité.
20 Minutes
L’ improvisation à laquelle se livrent les comédiennes est d’un naturel époustouflant.
CNews
Usant de la stroboscopie lumineuse (déconseillée aux épileptiques) pour rendre compte du chaos ambiant, le cinéaste inclassable ose jouer avec le cadre et l’image, ce qui plongera les spectateurs dans un état hypnotique.
CNews
Usant de la stroboscopie lumineuse pour rendre compte du chaos ambiant, le cinéaste inclassable ose jouer avec le cadre et l'image, ce qui plongera les spectateurs dans un état hypnotique.
CinemaTeaser
Une étrange et passionnante récréation pleine de style.
Ecran Large
Trip méta, hallucination, expérimentation en roue libre... "Lux Æterna" est un peu de tout cela. Mais derrière le vernis du gadget arty, l'expérience demeure un des gestes les plus obsédants, ramassés, et ravageurs de son auteur.
Franceinfo Culture
Une œuvre exigeante et puissante, au service d’un discours nécessaire et contemporain : "Lux Aeterna" montre le cinéma au travail, pour préparer celui de demain. Renversant.
L'Obs
On est bien chez le réalisateur d’« Irréversible », à qui l’autodérision et le format court réussissent plutôt bien.
La Septième Obsession
"Lux Æterna" est étonnamment réflexif, bardé de dialogues à la volée qui, avec une rare acuité dans son cinéma, parcourent autant de thèmes que la féminité, la croyance et surtout le rôle du réalisateur laissé indécis entre sa fantaisie romantique et sa nécessaire prise de pouvoir.
Le Parisien
Bref, ça secoue fort, et on le déconseillera donc au grand public. A contrario, cinéphiles et amateurs du réalisateur d'"Irréversible", eux, pourront apprécier. Car, au-delà de son propos sur les sorcières, "Lux Æterna" constitue un essai remuant et vibrant sur le cinéma et les difficultés de fabriquer un film, qui montre que les cinéastes travaillent parfois dans l'adversité…
Mad Movies
Cet essai de trois quarts d'heure s'avère à la fois hilarant et fascinant.
Positif
POUR : Il y a chez Gaspar Noé un appétit de cinéma qui lui permet de s’emparer de commandes pour en faire un terrain d’expérimentation ludique et personnel.
Sud Ouest
Ce que Noé semble mettre sur le bûcher, ce sont les coulisses du cinéma, et c’est vraiment réjouissant.
Télérama
Avec cette Nuit américaine catastrophe, le réalisateur italo-argentin fait preuve d’un humour mordant et oublie enfin de se prendre au sérieux. Tout en conservant intacts son sadisme et son goût de la manipulation. Nous voilà rassurés.
aVoir-aLire.com
Fascinant et jubilatoire, une nouvelle fois le film de Gaspar Noé fait le pari de l’expérimentation et des excès, au risque parfois de la complaisance.
Critikat.com
Le film repose sur une dichotomie savamment construite entre, d'un côté, une éclatante maîtrise formelle et, de l'autre, un goût manifeste pour l'improvisation.
Culturopoing.com
Le bien nommé "Lux Æterna" fonctionne comme une incantation, lente mais explosive, à l’art lumineux. Intriguant strip-tease formel où le film se déshabille progressivement de tous ses effets pour atteindre l’abstraction frontale la plus pure d’images et de sons, le pourquoi la foule a acheté son billet.
Le Journal du Dimanche
Gaspar Noé pratique la mise en abyme avec jubilation, travaille la forme avec sa virtuosité habituelle, dans un décor infernal qui lui inspire des images stroboscopiques où le rouge, sa couleur fétiche, prédomine.
Le Monde
Fidèle à sa singularité plastique, le cinéaste brosse un inquiétant portrait de groupe.
Paris Match
Tout ceci est parfaitement inconséquent mais pile dans l'ère du temps (puisqu'y sont convoqués les thèmes de la sorcellerie et de la féminité persécutée avec grand final sur le bûcher...) et exécuté avec tant de mauvais esprit et de dérision qu'on ne peut qu'applaudir à la plaisanterie qui a le mérite d'ajouter quelques grains d'ambiguïté au débat public.
Première
Lux aeterna démarre pour de bon avec la séquence suivante, hilarant dialogue entre Charlotte et Béatrice où cette dernière « slamme les anecdotes comme une Serge le mytho revenue des enfers », écrivait-on en mai 2019 en sortant de la projection – un peu assommés, mais définitivement ravis.
Bande à part
Essai sur la création cinématographique doublé d’une mise en abyme avec tournage d’un film sur la sorcellerie, ce moyen-métrage de Gaspar Noé est aussi appétissant qu’indigeste.
Les Fiches du Cinéma
Gaspar Noé réalise un court métrage commandé par la maison de couture Saint Laurent. En résulte une expérience visuelle qui s’inscrit dans la lignée des précédents film du réalisateur. Dommage que le “film dans le film” s’enlise dans la caricature.
Libération
On en réchappe à la fois lessivé et guère plus convaincu que ce cinéma de sensations fortes doive nécessairement envisager son spectateur en cobaye.
Le Figaro
Le film compte une cinquantaine de minutes. On a l'impression qu'il en dure trois fois plus.
Les Echos
Gaspar Noé dépeint des personnages hystériques, s'adonne à diverses expérimentations formelles, multiplie les citations et signe un « petit » film qui, au final, ne séduira que ses fans inconditionnels et les aficionados (indulgents) des actrices principales.
Les Inrockuptibles
[...] l’entreprise rêvée du cinéaste est surtout animée par un surplomb théorique qui n’est là que pour asseoir le génie de son auteur et sa prétendue transgression.
Positif
CONTRE : Une coquille creuse et arty sous perfusion Saint Laurent.