Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian et Michel Valentin
Chronique aussi simple que magnifique d'une histoire d'amour entravée par les liens familiaux, « Il était une fois dans l'Est », long-métrage russe sélectionné à Cannes en 2019, séduit par sa beauté formelle, son sens du récit, sa douce amertume et son ton nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Eva Markovits
L'irruption du documentaire et de son lot de personnages anonymes apporte une profondeur inattendue à ce qui semblait être une simple chronique, en ayant la vertu de faire dévier certaines scènes des rails qu'elles semblaient emprunter.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Larissa Sadilova fait preuve d’une jolie écriture dans cette histoire commune qui recèle pourtant bien des originalités.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
[...] tendre et mélancolique [...].
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’originalité de ce film découvert dans la section Un certain regard à Cannes en 2019 tient à sa tonalité douce et ses accents légèrement burlesques, navigant entre la simplicité du quotidien et la poésie que lui confèrent les décors.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Nathalie Simon et Etienne Sorin
Dans cette pagnolade au coeur de la campagne russe, la gravité le dispute à la drôlerie. Toujours bienveillante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Larisa Sadilova s’est inspiré d’une histoire vraie pour concevoir le scénario de ce petit bijou mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Baptiste Roux
Méditation mélancolique sur l’encagement d’un être rattrapé par le patriarcat et la servitude volontaire que revendiquent les babouchkas, "Il était une fois dans l’est" a tout d’une tragédie en mineur, jouée dans les vastes espaces d’une terre dont les horizons infinis, loin d’élever les âmes, rabougrissent les espoirs.
Télérama
par Samuel Douhaire
Ancrée dans la vie quotidienne d’une petite ville russe d’aujourd’hui, la chronique juste, drôle et tendre d’un amour adultère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une ode mélancolique, tout en délicatesse, d’une Russie que l’on ne connaît guère, à travers le portrait de deux couples ordinaires, rompus au mensonge de l’adultère et aux amours tristes. Un regard rare et sensible sur un immense pays dont on n’a en réalité qu’une vision que trop parcellaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Initialement pensé comme une série de courts-métrages organisés autour des saisons, on peut tout de même se demander si "Il était une fois dans l’est" n’aurait pas trouvé là sa forme la plus aboutie. La trame narrative ténue aurait en effet pu donner lieu à un joli conte cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
[...] une comédie sociale certes un peu plan-plan mais qui se refuse à tout débordement grossier.
L'Obs
par François Forrestier
Kristina Shnaider, dans le rôle d'Anna, est lumineuse. Elle donne un supplément d'âme à un film qui en a besoin.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Plus intimiste que ne le suggère son titre, Il était une fois dans l’Est tente sans vraiment y parvenir d’inscrire la petite histoire – les amours clandestines d’un chauffeur routier et de sa voisine - dans la grande - le portrait d’une ville russe contemporaine.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Derrière une intrigue toute simple se dessine une vie rythmée par le poids social, la dureté du quotidien, les rêves inatteignables et les traces de l'histoire.
Le Parisien
Chronique aussi simple que magnifique d'une histoire d'amour entravée par les liens familiaux, « Il était une fois dans l'Est », long-métrage russe sélectionné à Cannes en 2019, séduit par sa beauté formelle, son sens du récit, sa douce amertume et son ton nostalgique.
Cahiers du Cinéma
L'irruption du documentaire et de son lot de personnages anonymes apporte une profondeur inattendue à ce qui semblait être une simple chronique, en ayant la vertu de faire dévier certaines scènes des rails qu'elles semblaient emprunter.
Franceinfo Culture
Larissa Sadilova fait preuve d’une jolie écriture dans cette histoire commune qui recèle pourtant bien des originalités.
La Croix
[...] tendre et mélancolique [...].
La Voix du Nord
L’originalité de ce film découvert dans la section Un certain regard à Cannes en 2019 tient à sa tonalité douce et ses accents légèrement burlesques, navigant entre la simplicité du quotidien et la poésie que lui confèrent les décors.
Le Figaro
Dans cette pagnolade au coeur de la campagne russe, la gravité le dispute à la drôlerie. Toujours bienveillante.
Marianne
Larisa Sadilova s’est inspiré d’une histoire vraie pour concevoir le scénario de ce petit bijou mélancolique.
Positif
Méditation mélancolique sur l’encagement d’un être rattrapé par le patriarcat et la servitude volontaire que revendiquent les babouchkas, "Il était une fois dans l’est" a tout d’une tragédie en mineur, jouée dans les vastes espaces d’une terre dont les horizons infinis, loin d’élever les âmes, rabougrissent les espoirs.
Télérama
Ancrée dans la vie quotidienne d’une petite ville russe d’aujourd’hui, la chronique juste, drôle et tendre d’un amour adultère.
aVoir-aLire.com
Une ode mélancolique, tout en délicatesse, d’une Russie que l’on ne connaît guère, à travers le portrait de deux couples ordinaires, rompus au mensonge de l’adultère et aux amours tristes. Un regard rare et sensible sur un immense pays dont on n’a en réalité qu’une vision que trop parcellaire.
Culturopoing.com
Initialement pensé comme une série de courts-métrages organisés autour des saisons, on peut tout de même se demander si "Il était une fois dans l’est" n’aurait pas trouvé là sa forme la plus aboutie. La trame narrative ténue aurait en effet pu donner lieu à un joli conte cinématographique.
L'Humanité
[...] une comédie sociale certes un peu plan-plan mais qui se refuse à tout débordement grossier.
L'Obs
Kristina Shnaider, dans le rôle d'Anna, est lumineuse. Elle donne un supplément d'âme à un film qui en a besoin.
Les Fiches du Cinéma
Plus intimiste que ne le suggère son titre, Il était une fois dans l’Est tente sans vraiment y parvenir d’inscrire la petite histoire – les amours clandestines d’un chauffeur routier et de sa voisine - dans la grande - le portrait d’une ville russe contemporaine.
Ouest France
Derrière une intrigue toute simple se dessine une vie rythmée par le poids social, la dureté du quotidien, les rêves inatteignables et les traces de l'histoire.