Derniers Avis : Madame Claude - Page 7

J'avoue avoir apprécié cette réalisation. On reproche à la réalisatrice les nombreux "non-dits" que contient ce film. IL faut se replonger dans le contexte de l'époque avec l'affaire Markovic qui sonna le glas de Madame Claude et de son organisation. Certains personnages manquent de relief, des situations sont évoquées mais non approfondie et ce, à dessein . Pour le reste, le décors et l'ambiance 60-70 est bien rendue, y compris la Ste Hypocrisie de certains milieux

Un biopic glacial, totalement dépourvu de rythme, de profondeur et d'émotion, à l'image de la voix off qui nous guide pendant ces deux heures de néant. Les dimensions potentielles du sujet (humaine, sociologique, politique, criminelle...) sont vaguement esquissées mais jamais exploitées. Heureusement, ces dames sont très jolies...

Madame Claude version 2021 présente deux intérêts qui peuvent en justifier le visionnage. D’une part, il change Fernande Grudet en une icône de la cause des femmes et son réseau de prostituées en un espace de domestication du patriarcat. Car susciter le désir de l’homme, le prendre dans les filets de ses charmes pour obtenir son argent et ainsi contribuer à la redistribution des richesses s’avère une relecture audacieuse du plus vieux métier du monde, dans le sillage de ce que proposait le récent Filles de joie (Anne Paulicevich et Frédéric Fonteyne, 2020). La clausule atteste alors l’impasse d’une telle ambition, contrecarrée par une masculinité toute-puissante, et donne lieu à un finale plein d’amertume. D’autre part, le long métrage retranscrit assez bien la détresse intérieure de ladite Claude qui convertit sa déception amoureuse et l’infidélité constante de la gent masculine en une vaste entreprise professionnelle qui vend à des « amis » autant d’illusions aptes à flatter leur égo et ainsi à les prendre au piège de leur faiblesse. Pour autant, la façon dont la réalisatrice, Sylvie Verheyde, s’empare du quotidien de cette famille recomposée, au sein de laquelle les filles obtiennent une protection et une identité, s’avère trop désincarnée et répétitive pour convaincre : les scènes, souvent très courtes, se suivent et se percutent sans s’influencer véritablement, le cadrage souffre d’approximations que tente de corriger un montage charcutier, la dénonciation des sévices corporels infligés aux prostituées ne surgit pas brutalement mais semble précéder la scène elle-même, comme une case à cocher sur la liste des choses à faire. En refusant la sensualité qui définissait l’œuvre de Just Jaeckin (1977), le présent film ne nous permet pas de ressentir la puissance du désir suscité par ces femmes, écartelées entre des postures sexuelles qui ne nous intriguent guère et une histoire personnelle trop accessible. Les personnages secondaires souffrent d’une écriture caricaturale et d’acteurs qui traversent l’image sans jamais l’imprimer, qu’il s’agisse de Roschdy Zem, de Pierre Deladonchamps ou de Benjamin Biolay. Un film qui vaut donc davantage pour les thématiques qu’il aborde que pour leur concrétisation dans une forme satisfaisante.

Inodore, insipide et sans saveur. Et surtout une question : comment rater à ce point un film avec un sujet à ce point intéressant ? Tempo plat, mise en scène clipesque, dialogues insignifiants et comédiens atones. Il ne suffit pas de mettre de mettre des lumières partout et de la musique tout le temps pour avoir un film qui a du rythme et de la gueule. N'est pas Scorsese qui veut et là nous sommes plus prêts de Prisunic que de Casino.

Paris. Fin des années soixante, début des années soixante-dix. Fernande Grudet alias madame Claude (Karole Rocher) dirige d'une main de fer un réseau de prostituées qui ont pour clients l'élite administrative et financière de la France pompidolienne. Elle bénéficie de l'appui de la pègre et de la police qu'elle renseigne régulièrement sur ses habitués. Pour autant, elle vit dans l'angoisse permanente d'être rackettée voire éliminée.
Ses filles viennent souvent d'un milieu modeste. Ce n'est pas le cas de Sidonie (Garance Marillier), sa dernière recrue, issue de la haute bourgeoisie, qui lui devient indispensable. Entre la "maquerelle de la République" et la jeune femme se noue une relation ambigüe qui durera jusqu'à la chute de madame Claude.

Le film de Sylvie Verheyde a débarqué avant-hier, 2 avril, sur Netflix avec tambour et trompette. Le sujet est sulfureux. Mais la réalisatrice, dans les interviews qu'elle a données à la presse, se défend d'en faire un usage racoleur. Au contraire, affirme-t-elle, "Madame Claude" serait un film post #MeToo qui dénonce les violences faites aux femmes.

Il est bien difficile de lui donner tort ou raison tant les obstacles se dressent en chemin avant qu'on puisse remettre en cause la posture qu'elle revendique.

Le premier est à mettre au crédit de ce "Madame Claude". C'est la beauté du corps des filles et le luxe de la reconstitution historique, des décors, des costumes, des moindres extérieurs. "Madame Claude" a coûté cher. On pense au "Casino" de Scorsese. Et le résultat se voit à l'écran qui atteint un résultat contraire à celui que la réalisatrice s'était fixée : rendre glamour une réalité qui ne l'était pas.

Le deuxième est les personnages. Tout tourne autour de madame Claude qui est interprétée non sans talent par Karole Rocher qui, sans être une inconnue, n'est pas le genre de stars bankables sur les épaules de laquelle la réussite du film aurait pu reposer. L'idée, réussie, est d'en faire un gangster au féminin. Face à elle, en miroir, les scénaristes ont inventé le personnage de Sidonie, joué par la jeune Garance Marillier, révélée par "Grave", dont on se demandera durant tout le film ce qu'elle est censée incarner : une disciple ? une rivale ? une victime ? Autour des deux femmes gravite une galaxie d'hommes recrutés parmi les meilleurs acteurs actuels du cinéma français : Roschdy Zem, dans le rôle de Jo Attia, un baron de la pègre qui a pris Fernande/Claude sous son aile depuis qu'elle est montée faire le trottoir à Paris après Guerre, Benjamin Biolay et Pierre Deladonchamps en inspecteurs des RG cauteleux, Paul Hamy en amant infidèle, etc. La liste est longue (j'ai oublié de citer Hafsia Herzi, Mylène Jampanoi et Philippe Rebot). Mais elle se heurte à un écueil : une absence totale d'empathie pour ces personnages, à commencer par les deux principaux.

La faute en est - et c'est le troisième obstacle - au scénario du film. Comme dans tous les "biopics" qui traitent d'une figure publique dont on connaît le destin, on sait déjà comment l'histoire de madame Claude se terminera. Du coup, le suspense en est éventé. Le fil qui tient le film se distend ; pire, il disparaît. Les épisodes se succèdent, sans transition, sans continuité. L'action est censée se dérouler en l'espace de six années - avec un épilogue vingt ans plus tard où Karole Rocher apparaît outrancièrement vieillie tandis que Garance Marillier n'a pas pris une ride - alors qu'elle pourrait aussi bien n'en occuper qu'une seule.

"Madame Claude" est-il un film post #MeToo qui dénonce les violences faites aux femmes ? Si j'étais un féministe militant, j'en douterais. Et j'en douterais d'autant plus que ce "Madame Claude" fonctionne sur un ressort éculé et malsain : promettre au spectateur libidineux - et je serais malhonnête de m'exclure du lot - la perspective de reluquer de jolies pépés dénudées.

Biopic très intéressant , costumes et personnages d'époques des années 60-70 , la reine de la prostitution de luxe sur le monde parisien , milieu brassant entre la Police des mœurs , la Politique , le show buzz , extase.

Franchement vous le gens certains le jaloux Franchement ok chaque sont opinions mais commun un peu respect pour l équipe tournage le film mrs claude franchement pourquoi tellement une haine attention je la défend pas si vous êtes sa place comment réagirais franchement elle même ella a dit voulait pas vie la parfois il faut mange franchement serieux moi deja un bon film français verite aussi bq touche pourquoi mrs claude franchement ella moin j avais le couille excuse moi ma franchise une femme forte intelligent surtout maligne la vérité sérieux fallait hausse aussi un message pour dire dans la vie il n ya tj un choix ok mrs claude paix à sont d ame conscience verite serieux ni haine ni jaloux comme elle dit elle même l état nous nique moi nique l état franchement elle j avais raison franchement commun essaye sortir avec sont determination pour une femme a l'époque fallait respect sa décision aussi un code honneur commun essaye déjà avec ma fille ou sa mère c était pas facile attention je comprends sa fille mais parfois obligé sinon tu laisse faire déjà ete poli honnête education discipline respect pour elle aussi ces filles respecte comme une mère certains filles force pas faire la prostitution pour ca ete correct grâce à elle certains devenu mma ou avocat ou alors juriste ou bien femme business légal commun franchement mrs claude ni fan en mes temps j aime pas mrs claude mais respect sa vie aussi sa décision verite serieux franchement j admire sont courage sa volonté surtout sont l empire verite serieux malgré on critique on peut dire une salope mrs claude 1 femmes indépendante prostitution de luxe ouvert la porte aussi que Marc dorcel ou j&m référence ou inspiré la vérité aussi huguez Hefner ou Larry flynt boss hustlers ou alors cote pornstar femme multiculturelle julia ann ou Lisa ann ou alors julia channel aussi darla crane en mes temps tabatha cash sans oublie Rocco silfredi alors franchement mrs claude sincerement j aimé pas malgré cote froid ou cash je la comprends aussi sortir la pauvreté parfois la mente pour c est protégé pour elle ces filles pour comme une famille regarde bien le film un moment ella pleurer toute l arme sont corps pour montre que te humain on plus une scène aime quand Sidonie ella dit merci franchement c était touchant pour montre que dans la vie savoir reconnaissant on vers les gens ete un peu raciste mais moin ete cash poli honnête façons parle moi je trouve ça mérite un prix ou cesaire ou a deauville ou a la canne parce que un film français surtout le dialogue cote scénario franchement respect idem les acteurs ou les actrice le film mrs claude tous bien joue attention c était pas facile franchement encore bravo svp l équipe tournage le fim mrs claude n oublie pas d ou venez ok svp un conseil franchement waouh un drame familial humain multiculturelle sociale aussi trahison ou mensonge etat pour elle bon bref serieux mrs claude respect la mrs vraiment existe crois moi svp sérieux il faut pas la juger parfois pas tout accepte mais commun essaye pardonne ou sortir la pauvreté ok ciao parfois savoir voyager lire l histoire comprends les gens dommage les gens aujourd'hui avec covid 19 ou metoo ça il faut pas exagéré mrs ok ciao savoir trouve equilibre franchement grd force la réalisatrice le film mrs claude ella fais sont mieux surtout tout sont possible voilà franchement encore de pour la mrs claude franchement bravo et félicitations pour ca attention savoir trouve juste equilibre ok voilà sitot revoir bon week-end mr mrs une question si ete votre fille ou votre fils pour la prostitution maintenant comme fairait alors dialogue ou communication ok ciao un conseil mrs mr ciao que dieu vous bénisse tout l équipe tournage mrs claude franchement encore félicitation bravo peace goodbye revoir merci bq à vous goodbye ciao merci bq peace goodbye revoir

Le film nous fait découvrir le proxenetisme de manière juste, à travers les yeux de madame claude. J’ai apprécié l’ambiance et le jeu d’acteur

film sans aucun intérêt j adore les biopics mais alors là décevant, scénario nul, dire que ce film devait passer au cinéma cette pandémie a du bon quand meme ça nous évite d aller voir ce genre de films au cinéma!!

Aucun intérêt à regarder ce film au scénario pauvre et à la mise en scène terriblement inefficace.

Dommage !

Personnellement j'ai beaucoup aimé ce film. Alors oui il y a à redire sur le casting et le jeu de certains acteurs mais à part ça j'ai trouvé que c'était réussi.

J’ai trouvé le jeu de Karole Rocher et de l’ensemble des acteurs très bien joué.
Karole Rocher est de toutes les séquences et vraiment sans fausse note.
On sent qu’elle se donne vraiment.
Je trouve qu’il y a trop de musique dans le film, c’est parfois contemplatif, ça manque de dialogues/textes.
J’ai trouvé que la réalisatrice passait un peu vite sur la période américaine ainsi que sur le procès français. J’imagine que c’est un parti pris.
Dans l’ensemble on perçoit bien l’ambiance du milieu de cette époque : la mère maquerelle qui dirige ses filles ainsi que le caractère trempé de Madame Claude.
J’ai passé un moment dépaysant et Tous les acteurs jouent très bien ! je recommande 👍🏼

Son prénom d'emprunt épicène, elle y tenait. Comme un symbole de sa volonté farouche de parler d'égale à égal dans un monde où le pouvoir était nécessairement dévolu à la gent masculine. Ce fut Madame Claude, donc, reine des p.... , selon ses propres mots, avec des clients, non pardon, des amis de très haut vol et internationaux dans la politique, les affaires, le cinéma, etc. Il est vrai que Madame Claude cela sonnait mieux que Madame Fernande, le véritable prénom de cette modeste angevine, née Grubet. Devant la caméra de Sylvie Verheyde, il y avait lieu d'attendre un regard féminin et pertinent sur la trajectoire de cette cheffe de PME dont la carrière prit fin peu après l'arrivée de Giscard aux affaires. Autant qu'un portrait de femme, visiblement complexe, c'était celui d'une époque que l'on guignait, avec les liens étroits que la daronne maquerelle avait tissé avec la police (donnant, donnant : confidences sur l'oreiller contre l'assurance de ne pas être inquiétée). Hélas, le film part dans bien trop de directions pour combler nos espérances entre la personnalité de la susdite et sa vie sentimentale, le travail humiliant des filles, le monde interlope des années 70, sans compter quelques sous-intrigues oiseuses. Sur le plan de la réalisation, c'est morne plaine, aucune scène ne se détachant vraiment. Digne d'une honnête réalisation pour France 3, en gros. Karine Rocher, figée et monocorde, n'attire ni haine ni sympathie et le reste de l'interprétation est plutôt neutre y compris avec les quelques pointures sous-employées (Zem, Deladonchamps, Herzi ...). Sulfureux, ce Madame Claude ? Plutôt anodin et inoffensif !

Très mal écrit. Les dialogues sont mauvais. L’actrice principale ne joue pas très bien. Dommage pour un tel casting et un tel potentiel romanesque . A éviter on s ennuie.
On s’ennuie. Est ce que Netflix sait faire des bons films quand ce n est pas un grand réalisateurs américains ?

Le sujet est bien traité avec des scènes de sexe maîtrisées qui ne tournent pas à la pornographie... ni plus ni moins que ce que l'on voit dans toutes les séries actuelles . L'histoire est intéressante et cela suggère les liens qui unissent des puissants de tous milieux au monde glauque de la prostitution .