AlloCiné
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Un film bâclé. C'est dommage le sujet m'intéresse. Le casting est bon, la BO agréable, les costumes au top. Mais l'histoire est tronquée, on a du mal à suivre. Les personnages ne sont pas approfondis. Bref, décevant. Le format mini-série aurait peut être été plus adapté.
Trop faible. Mme Claude en héroïne adorable envers ces Putes en 2021 !!!! Pourquoi aborder l'affaire politique si c'est juste un survol..... Pourquoi 1'25" pour son passage au USA ? pas de budget peut être..... A part le jolie minois de Sidonie, le reste ressemble à un casting d'un film porno de 1975 le sexe en moins.... Raté.
Si vous avez du temps à perdre, vous pourrez regarder ce film totalement insipide, sans aucun scénario et franchement mauvais et même mal interprété. Là NETFLIX se moque carrément du spectateur en proposant pareil navet.
Scénario sans utilité. Traine en longueur pour le seul objectif de mettre du cul à l'écran. Quelle perte de temps, d'argent et de talent.... Un film à la netflix comme d'habitude.
Oh la la ! C'est la curiosité qui m'a poussée à regarder ce film. Très mauvaise idée ! C'est plat, mal joué, les dialogues sont souvent inaudibles. Difficile d'accrocher devant autant de nullité. Pas évident de faire un film sur la prostitution sans montrer des corps dénudés, mais vraiment, c'était plutôt moche et exhibitionniste. Pas d'humour, pas une once d'érotisme, dialogues inintéressants et histoire absolument pas palpitante. Je n'ai pas regardé jusqu'au bout, la torture avait assez duré.
Paris, fin des années 60, Madame Claude est à la tête d'un commerce florissant dédié à la prostituions qui lui confère un pouvoir sur le monde politique et criminel français. Mais la fin de son empire est plus proche qu'elle ne le pense.
C'est une réalisation de Sylvie Verheyde qui retranscrit la vie de Fernande Grudet. Le film devait être initialement diffusé au cinéma mais Netflix à profiter de la fermeture des salles pour racheter les droits. Madame Claude avait déjà connu une adaptation au cinéma par Just Jaeckin en 1977.
Ce biopic ne m'a pas ravi, bien au contraire, par contre je dois lui reconnaitre d'avoir une esthétique très soignée. La photographie est travaillée en voulant nous proposer des plans bien cadré mettant en valeur les différents protagonistes. L'ambiance année 60 est parfaitement reproduite avec les costumes mais surtout la musique. Un voyage nostalgique avec une bande originale qui vise juste. Une alchimie qui nous plonge donc dans l'univers de la prostitution luxueuse de cette époque.
L'envers de la médaille de ce milieu est l'omniprésence de sexe. Je comprends qu'il faille en mettre, mais là c'est trop. Cela casse la dynamique sans rien apporter.
Loin d'avoir une valeur ajoutée, ces scènes charnelles m'ont vite fatigué. Elles sont en fait là pour combler le vide de l'histoire. Au bout de 1h20, j'avais toujours l'impression qu'elle n'avait pas démarré. Suivre une personnalité forte n'est pas suffisant si on n'a pas un vrai fils rouge. Le contexte du mécanisme de son business est mal introduit. Cela aurait été intéressant de voir cela plus en amont. Là, on observe sa chute d'une manière assez molle sans même se rendre compte véritablement de ce qu'on regard.
Mais comment passer au travers d'un tel personnage. De base, j'adore les biopics car on se dit "cela c'est vraiment passer".
Car oui, qu'on soit en phase moralement ou pas avec la vie de Fernande Joséphine Grudet, dite Madame Claude, et son entreprise de prostitution, il faut reconnaitre que cette dame a été quelqu'un. Je sens que son potentiel est tout de même mal exploité. Pour créer cet empire, elle a dû s'y employer. Pourtant, on ne le ressent pas forcément. Je n'ai pas été spécialement fan du jeu de Karole Rocher. Par contre, les rôles secondaires se distinguent plus avec les prestations de Roschdy Zem, Garance Marillier, Pierre Deladonchamps ou encore Benjamin Biolay. Les interactions entre Madame Claude et eux sont cependant limitées malheureusement. Un développement de ces relations aurait apporté un contenu plus riche.
C'est une réalisation de Sylvie Verheyde qui retranscrit la vie de Fernande Grudet. Le film devait être initialement diffusé au cinéma mais Netflix à profiter de la fermeture des salles pour racheter les droits. Madame Claude avait déjà connu une adaptation au cinéma par Just Jaeckin en 1977.
Ce biopic ne m'a pas ravi, bien au contraire, par contre je dois lui reconnaitre d'avoir une esthétique très soignée. La photographie est travaillée en voulant nous proposer des plans bien cadré mettant en valeur les différents protagonistes. L'ambiance année 60 est parfaitement reproduite avec les costumes mais surtout la musique. Un voyage nostalgique avec une bande originale qui vise juste. Une alchimie qui nous plonge donc dans l'univers de la prostitution luxueuse de cette époque.
L'envers de la médaille de ce milieu est l'omniprésence de sexe. Je comprends qu'il faille en mettre, mais là c'est trop. Cela casse la dynamique sans rien apporter.
Loin d'avoir une valeur ajoutée, ces scènes charnelles m'ont vite fatigué. Elles sont en fait là pour combler le vide de l'histoire. Au bout de 1h20, j'avais toujours l'impression qu'elle n'avait pas démarré. Suivre une personnalité forte n'est pas suffisant si on n'a pas un vrai fils rouge. Le contexte du mécanisme de son business est mal introduit. Cela aurait été intéressant de voir cela plus en amont. Là, on observe sa chute d'une manière assez molle sans même se rendre compte véritablement de ce qu'on regard.
Mais comment passer au travers d'un tel personnage. De base, j'adore les biopics car on se dit "cela c'est vraiment passer".
Car oui, qu'on soit en phase moralement ou pas avec la vie de Fernande Joséphine Grudet, dite Madame Claude, et son entreprise de prostitution, il faut reconnaitre que cette dame a été quelqu'un. Je sens que son potentiel est tout de même mal exploité. Pour créer cet empire, elle a dû s'y employer. Pourtant, on ne le ressent pas forcément. Je n'ai pas été spécialement fan du jeu de Karole Rocher. Par contre, les rôles secondaires se distinguent plus avec les prestations de Roschdy Zem, Garance Marillier, Pierre Deladonchamps ou encore Benjamin Biolay. Les interactions entre Madame Claude et eux sont cependant limitées malheureusement. Un développement de ces relations aurait apporté un contenu plus riche.
traversay1
Son prénom d'emprunt épicène, elle y tenait. Comme un symbole de sa volonté farouche de parler d'égale à égal dans un monde où le pouvoir était nécessairement dévolu à la gent masculine. Ce fut Madame Claude, donc, reine des p.... , selon ses propres mots, avec des clients, non pardon, des amis de très haut vol et internationaux dans la politique, les affaires, le cinéma, etc. Il est vrai que Madame Claude cela sonnait mieux que Madame Fernande, le véritable prénom de cette modeste angevine, née Grubet. Devant la caméra de Sylvie Verheyde, il y avait lieu d'attendre un regard féminin et pertinent sur la trajectoire de cette cheffe de PME dont la carrière prit fin peu après l'arrivée de Giscard aux affaires. Autant qu'un portrait de femme, visiblement complexe, c'était celui d'une époque que l'on guignait, avec les liens étroits que la daronne maquerelle avait tissé avec la police (donnant, donnant : confidences sur l'oreiller contre l'assurance de ne pas être inquiétée). Hélas, le film part dans bien trop de directions pour combler nos espérances entre la personnalité de la susdite et sa vie sentimentale, le travail humiliant des filles, le monde interlope des années 70, sans compter quelques sous-intrigues oiseuses. Sur le plan de la réalisation, c'est morne plaine, aucune scène ne se détachant vraiment. Digne d'une honnête réalisation pour France 3, en gros. Karine Rocher, figée et monocorde, n'attire ni haine ni sympathie et le reste de l'interprétation est plutôt neutre y compris avec les quelques pointures sous-employées (Zem, Deladonchamps, Herzi ...). Sulfureux, ce Madame Claude ? Plutôt anodin et inoffensif !
. Le film a été accusé par certains d'un tas de défauts techniques qui ne m'ont pas sauté aux yeux pendant la vision. J'ai pour ma part trouvé l'interprétation de Karole Rocher excellente, j'ai apprécié le soin apporté au décors, des belles images, une bonne bande sonore et une caméra légère à laquelle on s'habitue très bien. Si le film a une faiblesse c'est au niveau de sa narration, certains arcs de scénario s'ouvrent parfois sans qu'on ne sache d'où ils sortent ou sans qu'on sache comment ils vont se conclure, on est parfois carrément dans le déficit d'explication. Je crains cependant que le rejet, allant parfois jusqu'à l'outrance du film par certains soit plus un problème de fond qu'un problème de forme. Oui le film nous parle de prostitution, et il ne tombe jamais dans le misérabilisme, la prostitution n'est jamais qu'un échange sexe contre argent et a à partir de là elle peut se décliner de mille façons différentes. Ici personne n'était contraint, mais la morale hypocrite réprouve, ce qui fait que Madame Claude devait jongler avec la police, les truands, et les soutiens politiques, équation trop fragile pour perdurer quand les personnels changent, une situation bien française, Madame Claude aurait effectué ses activités en Belgique, en Allemagne ou en Suisse, tout aurait été plus simple. Mais le film est aussi l'histoire d'une amitié, les paroles de Garance Marillier dans la cabine téléphonique sont bouleversantes, les souvenirs d'enfance de Claude avec sa chèvre apportent une dose d'émotion qui sans surcharger le film rend le personnage empathique s'il ne l'était déjà. Un film bien plus intelligent que ne le laisserait supposer une vision superficielle.
Le jeu des acteurs est vraiment médiocre et il a fallu placer dans le scénario une histoire d'inceste pour me too et pour donner plus de crédibilité féministe à une femme qui n'était pas autre chose qu'un proxénète c'est fatiguant ces films mainstream
il faut vraiement être à court d'inspiration u d'argent (les belles filles livrées aux phantasmes ça se vend bien...) pour choisir une parvenue qui livre à la haute société de la chair fraîche?
pour eviter les froncements de sourcils on montre les fifilles a Madame, heureuses , sans cervelle et sans coeur(elles sont couvertes de fourrures) avec leurs entrées chez castel ou elles vont se laver au champagne espérant trouver la bouée qui les sortira de ce naufrage ."certaines deviennent actrices ou princesses" nous confie Madame(..Lesquelles ?)
Rachdem Zim fera des envieux dans ce rôle de maquereau gâté par son harem....bien qu'il n'en montre rien avec son regard qui semble toujours scruter les monts de l'atlas.la magnifique Garance a un rôle sur mesure.et Madame claude n'a jamais été aussi tragiquement interpretée.mais quel est l'interêt de ce personnage ?
pour eviter les froncements de sourcils on montre les fifilles a Madame, heureuses , sans cervelle et sans coeur(elles sont couvertes de fourrures) avec leurs entrées chez castel ou elles vont se laver au champagne espérant trouver la bouée qui les sortira de ce naufrage ."certaines deviennent actrices ou princesses" nous confie Madame(..Lesquelles ?)
Rachdem Zim fera des envieux dans ce rôle de maquereau gâté par son harem....bien qu'il n'en montre rien avec son regard qui semble toujours scruter les monts de l'atlas.la magnifique Garance a un rôle sur mesure.et Madame claude n'a jamais été aussi tragiquement interpretée.mais quel est l'interêt de ce personnage ?
Avec ce film il est clair que le cinéma Français s'enfonce encore plus dans la médiocrité, que dire si ce n'est que: NUL, ennuyeux, scénario incompréhensible, mauvais jeu d'actrices et acteurs, pas un pour rattraper l'autre, toute fois la palme à Karole Rocher quelque soit la scène qu'elle joue c'est sur le même ton, pour jouer ce rôle il y aurai fallu une Deneuve par exemple. Heureusement c'était sur Netflix j'ai pu m'éviter pas mal de passage.
On aurait bien voulu entendre ce que disaient les acteurs mais on ne comprenait pas : mauvais micros, trop loin de la bouche des acteurs, parfois, en plus, de la musique inutile. On pouvait avoir recours à la traduction lettrée de Netflix, sauf quand c'était écrit blanc sur blanc.
Ufuk K
" Madame Claude " diffusé sur Netflix est un biopic convenable dans son ensemble. En effet la carte maitresse de ce film est bien sur l'interprétation de Karole Rocher ( dans le rôle de Fernande Grudet devenue la reine des proxénètes de Paris dans les années 1960-1970) très juste dans son rôle avec un casting 5 étoiles (Roschdy Zem,Garance Marillier ,Pierre Deladonchamps et Hafsia Herzi), j'ai beaucoup aimé également l'univers du film avec ses maisons closes et des beaux décors me faisant rappeler les années 1960-1970, c'est dommage que le scénario lui est parfois brouillon me faisant perdre le fil parfois après une bonne première partie, l'histoire s'enlisant peu à peu par la suite dans une histoire avant tout féministe et dénonçant les dangers de la prostitution.
Un très bon film qui aurait dû sortir en salles et qui pour cause de pandémie doit se contenter d une plateforme pour exister. Il mérite le coup d œil au moins pour la comédienne qui joue le rôle titre. Elle y est formidable. Dans le fond le film est bien réalisé sans fioritures on peut juste regretter que la dernière partie celle de la déchéance soit courte par rapport aux autres périodes.
selenie
Biopic sur le plus célèbre proxénète de France, à savoir qu'il s'agit d"une femme, Fernande Grudet dit Madame Claude. La première déception est que Sylvie Verheyde a écrit un scénario remplit de trous, un gruyère où il y a tout et rien à la fois. Il est étonnant que le film s'attarde énormément sur l'affaire Markovicz (une parmi tant d'autres) et occulte par exemple l'affaire du Gavroche alors que Roschdy Zem joue justement un protagoniste central. Les 20 ans au sommet se résument aux années 1968-1972, puis à quelques résumés grossiers ensuite le tout avec une succession de faits anecdotiques plus ou moins faussés dont une Sidonie/Marillier complètement fictive qui ne sert à rien d'autres que de créer une sous-intrigue sans intérêt. De surcroît, si on retire les séquences de cabaret et aux scènes plus ou moins "scabreuses" et gratuites il ne resterait plus grand choses des 110mn du film. Vite vu vite oublié à n'en pas douter.
Site : Selenie
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