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27 critiques presse
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Rien dans ce film n'est laissé au hasard, et pourtant c'est un cinéma de kamikaze, prêt à sauter dans le vide. Ou prêt à y renoncer pour un cri d'amour. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari et Frédéric Mercier
Le cinéma de Lapid malmène le spectateur pour l’emmener dans des zones troubles où il est confronté à l’état du monde mais également à sa propre vérité, sa propre ambivalence.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
A l'absence d'un film irréalisable, dont il s'approprie le titre, Le Genou d'Ahed substitue sa présence mat et paradoxalement muette. Loin des indignations consensuelles, Nadav Lapid touche ici aux limites de la colère, à son point d'idiotie, et à son essentielle énergie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Nadav Lapid a quelque chose d’Ingmar Bergman dans la manière de se saisir du cinéma comme seul langage possible à ses obsessions et à sa vision du monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans la poussière d’un désert de western, un cinéaste hurle sa colère, sa rage, son désespoir, dénonçant avec force les baillons sur des artistes réduits au silence.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par David Ezan
Il y a bien une force cosmique à l’œuvre, dont Le Genou d'Ahed est la meilleure illustration ; pas seulement car le désert de l’Arava est lunaire, mais parce qu’on tente d’y absorber ce qui fait l’Israël contemporain, autrement dit l’état d’âme d’un pays aux mille paradoxes, terreau d’un déchaînement de passions contraires.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un déchirant film d'adieu.
Le Parisien
par La Rédaction
Nadav Lapid, le cinéaste, en est un vrai, qui manie l’émotion et l’intelligence sans aucune lourdeur, nous prenant dans la spirale inattendue de son scénario. Qui aurait pu être récompensé à Canne. Le réalisateur a obtenu celui du Jury, bien mérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Avec ce film à la mise en scène audacieuse, et hostile à toute concession, Nadav Lapid et son personnage furibard mettent les pieds dans le plat et règlent leurs comptes avec Israël.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Nerveux et intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
C’est cette métamorphose permanente et toujours imprévisible qui constitue le plus fascinant du Genou d’Ahed, ce plaisir de Nadav Lapid à constamment chiffonner la scène, la tordre, lui faire prendre par la grâce, en effet, du style, une toute autre direction que celle promise par un scénario qui se tient longtemps sur son fil minimal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Autoportrait sans concession — parfois excessif mais visuellement virtuose — du réalisateur et de son pays, ce Prix du Jury du Festival de Cannes est aussi l'hommage émouvant d'un fils à sa "mère morte".
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un peu bavard et autocentré sur l'artiste, mais ça reste intéressant sur le fond.
Première
par Thierry Chèze
Du cinéma vécu comme un sport de combat, récompensé du Prix du Jury dans le palmarès cannois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Un cri de rage, qui ne laisse pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
Parabole sur les dilemmes et les contradictions d'Israël, manifeste humaniste et universel, plaidoyer pour une Nation autre, Nadav Lapid n'hésite pas à forcer la dose démonstrative et parfois outrancière au risque de la caricature. Il n'empêche, la rage intérieure et la saine révolte qui l'animent sont portées avec brio par les acteurs Avshalom Pollak et Nur Fibak.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Josué Morel
Si Lapid se rêve en cinéaste plus déstabilisant qu'il ne l'est vraiment, le film finit par émouvoir par sa tristesse larvée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si le discours politique est limpide dans ses tenants et aboutissants, Le Genou d'Ahed et sa poétique militante de l’image et du sens peut laisser le spectateur distant ou indifférent. Reste un film exigeant et révélateur du malaise que traverse la société israélienne aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Traversé de fulgurances, comme la très belle scène d’ouverture suivant une jeune femme à moto sous la pluie, ce film réalisé dans un « sentiment d’urgence » est à la mesure des relations complexes qu’entretient Nadav Lapid avec son pays. Tendu de bout en bout, parfois déplaisant, à l’image de son personnage (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Hormis une long monologue de dénonciation dont le film aurait pu se passer (pour le coup trop souligné et moraliste), Le Genou d’Ahed fait mal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
"Journal d’un photographe de mariage" (2016), court métrage [...] de 2016 possède un raffinement pervers qui manque au "Genou d’Ahed".
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
S’il n’a pas l’étoffe d’une Palme d’or, le nouveau film de Nadav Lapid livre une critique très féroce du gouvernement israélien, avec rage et efficacité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Mais pourquoi avoir adopté ce style difficilement supportable ? La caméra filme les pieds du visiteur, bascule vers le ciel, traîne dans le désert, fait des virevoltes et transforme un thème politique en récit maniériste exaspérant. Derrière les chichis, il y a cependant un vrai film, et il faut faire un effort pour le découvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cette logorrhée narcissique fatigue. L'acteur est à baffer. Les gogos trouvent ça rugueux, abrasif, confondant film et pierre-ponce. À fuir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Après « Synonymes » en 2019, indigeste portrait d'un jeune Israélien en exil à Paris, il déçoit encore avec « Le Genou d'Ahed », une fiction complaisante et confuse où, dans le bruit et la fureur, il met en scène les errances d'un créateur et tire à boulets rouges sur les puissances liberticides, voire dictatoriales qui, selon lui, menacent la liberté d'expression en Israël.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Culturopoing.com
Rien dans ce film n'est laissé au hasard, et pourtant c'est un cinéma de kamikaze, prêt à sauter dans le vide. Ou prêt à y renoncer pour un cri d'amour. Magnifique.
Transfuge
Le cinéma de Lapid malmène le spectateur pour l’emmener dans des zones troubles où il est confronté à l’état du monde mais également à sa propre vérité, sa propre ambivalence.
20 Minutes
Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d’aujourd’hui.
Cahiers du Cinéma
A l'absence d'un film irréalisable, dont il s'approprie le titre, Le Genou d'Ahed substitue sa présence mat et paradoxalement muette. Loin des indignations consensuelles, Nadav Lapid touche ici aux limites de la colère, à son point d'idiotie, et à son essentielle énergie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Nadav Lapid a quelque chose d’Ingmar Bergman dans la manière de se saisir du cinéma comme seul langage possible à ses obsessions et à sa vision du monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans la poussière d’un désert de western, un cinéaste hurle sa colère, sa rage, son désespoir, dénonçant avec force les baillons sur des artistes réduits au silence.
L'Humanité
Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée.
La Septième Obsession
Il y a bien une force cosmique à l’œuvre, dont Le Genou d'Ahed est la meilleure illustration ; pas seulement car le désert de l’Arava est lunaire, mais parce qu’on tente d’y absorber ce qui fait l’Israël contemporain, autrement dit l’état d’âme d’un pays aux mille paradoxes, terreau d’un déchaînement de passions contraires.
Le Monde
Un déchirant film d'adieu.
Le Parisien
Nadav Lapid, le cinéaste, en est un vrai, qui manie l’émotion et l’intelligence sans aucune lourdeur, nous prenant dans la spirale inattendue de son scénario. Qui aurait pu être récompensé à Canne. Le réalisateur a obtenu celui du Jury, bien mérité.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce film à la mise en scène audacieuse, et hostile à toute concession, Nadav Lapid et son personnage furibard mettent les pieds dans le plat et règlent leurs comptes avec Israël.
Les Inrockuptibles
Nerveux et intense.
Libération
C’est cette métamorphose permanente et toujours imprévisible qui constitue le plus fascinant du Genou d’Ahed, ce plaisir de Nadav Lapid à constamment chiffonner la scène, la tordre, lui faire prendre par la grâce, en effet, du style, une toute autre direction que celle promise par un scénario qui se tient longtemps sur son fil minimal.
Marie Claire
Autoportrait sans concession — parfois excessif mais visuellement virtuose — du réalisateur et de son pays, ce Prix du Jury du Festival de Cannes est aussi l'hommage émouvant d'un fils à sa "mère morte".
Ouest France
Un peu bavard et autocentré sur l'artiste, mais ça reste intéressant sur le fond.
Première
Du cinéma vécu comme un sport de combat, récompensé du Prix du Jury dans le palmarès cannois.
Télérama
Un cri de rage, qui ne laisse pas indemne.
CNews
Parabole sur les dilemmes et les contradictions d'Israël, manifeste humaniste et universel, plaidoyer pour une Nation autre, Nadav Lapid n'hésite pas à forcer la dose démonstrative et parfois outrancière au risque de la caricature. Il n'empêche, la rage intérieure et la saine révolte qui l'animent sont portées avec brio par les acteurs Avshalom Pollak et Nur Fibak.
Critikat.com
Si Lapid se rêve en cinéaste plus déstabilisant qu'il ne l'est vraiment, le film finit par émouvoir par sa tristesse larvée.
Franceinfo Culture
Si le discours politique est limpide dans ses tenants et aboutissants, Le Genou d'Ahed et sa poétique militante de l’image et du sens peut laisser le spectateur distant ou indifférent. Reste un film exigeant et révélateur du malaise que traverse la société israélienne aujourd'hui.
La Croix
Traversé de fulgurances, comme la très belle scène d’ouverture suivant une jeune femme à moto sous la pluie, ce film réalisé dans un « sentiment d’urgence » est à la mesure des relations complexes qu’entretient Nadav Lapid avec son pays. Tendu de bout en bout, parfois déplaisant, à l’image de son personnage (...).
Paris Match
Hormis une long monologue de dénonciation dont le film aurait pu se passer (pour le coup trop souligné et moraliste), Le Genou d’Ahed fait mal.
Positif
"Journal d’un photographe de mariage" (2016), court métrage [...] de 2016 possède un raffinement pervers qui manque au "Genou d’Ahed".
aVoir-aLire.com
S’il n’a pas l’étoffe d’une Palme d’or, le nouveau film de Nadav Lapid livre une critique très féroce du gouvernement israélien, avec rage et efficacité.
L'Obs
Mais pourquoi avoir adopté ce style difficilement supportable ? La caméra filme les pieds du visiteur, bascule vers le ciel, traîne dans le désert, fait des virevoltes et transforme un thème politique en récit maniériste exaspérant. Derrière les chichis, il y a cependant un vrai film, et il faut faire un effort pour le découvrir.
Le Figaro
Cette logorrhée narcissique fatigue. L'acteur est à baffer. Les gogos trouvent ça rugueux, abrasif, confondant film et pierre-ponce. À fuir.
Les Echos
Après « Synonymes » en 2019, indigeste portrait d'un jeune Israélien en exil à Paris, il déçoit encore avec « Le Genou d'Ahed », une fiction complaisante et confuse où, dans le bruit et la fureur, il met en scène les errances d'un créateur et tire à boulets rouges sur les puissances liberticides, voire dictatoriales qui, selon lui, menacent la liberté d'expression en Israël.