Mon compte
    Une histoire d'amour et de désir
    Note moyenne
    3,8
    962 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Une histoire d'amour et de désir ?

    85 critiques spectateurs

    5
    12 critiques
    4
    34 critiques
    3
    29 critiques
    2
    5 critiques
    1
    3 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Isabel I.
    Isabel I.

    38 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2021
    Une histoire d'amour et de désir

    Vu hier soir le 5 septembre 2021 au ciné de mon quartier #@espace1789 et le plaisir d'être présente au débat lors du riche et sympathique échange avec la réalisatrice #leylabouzid.
    J'avais un doute en lisant l'affiche de voir à nouveau un film traitant de "la banlieue " (terme banalisé et plein d'aprioris du coup ! ). Un film comme  @Gagarine @Bonne mère @Fragile @De bas étages @ibrahim ...par exemple ), films vus parfois très aimés parfois moins. 
    Non "Une histoire d'amour et de désir " parle surtout et déjà de littérature, de sensualité , d'un érotisme poétique ... tout est désir les mots murmurés, les regards ou même les  "non regards" en fuite. Le choix des plans photo , le choix des deux comédiens  sont magiques et magnifiés. Bien sure en filigrame Ahmed est issu de l'immigration politique algérienne et habite une cité où ses potes  "tiennent les murs ",  bien sure Farah vient de Tunis pour étudier en France mais la réalité du film c'est l'éveil amoureux d'un jeune homme timide et romantique idéalisant l'objet amoureux "sa muse"  ; c'est l'apprivoisement du désir, du plaisir.
    C'est l'acceptation de l'amour des corps au-delà de celui des âmes.
    Un film délicat qui sait se saisir de la sensibilité du spectateur  séduit.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    Ce film a été reconnu et apprécié dans les festivals. Alors qui suis-je ici pour faire la fine bouche ? Eh bien, un spectateur lambda. Avant moi, les notes d’une et deux étoiles n’ont été assorties d’aucun commentaire. Comme s’il n’y avait rien à dire ? Alors qu’y a-t-il dans ce film ? Le joli minois de Zbeida Belharjamor dans le rôle d’une étudiante en littérature arrivée de Tunis « qui n’est pas le bled » et où « tout le monde parle français », maîtrisant par contre parfaitement en parallèle la culture et l’écriture arabe. Une « bourge » pour son camarade de fac, français de souche algérienne, qui lui ne connait pas la langue de ses géniteurs. Il interrogera d’ailleurs son père à ce sujet. Lequel lui répondra que « ça ne lui aurait servi à rien ». Gêné par ce qu’il découvre de cette culture, il va rester coincé dans des interdits face à la jolie Farah. Oui et alors ? Comment tout ça va se décanter ? De manière soporifique. Le sujet et le thème sont là mais l’abord hautement littéraire prive le spectateur d’actions et d’interactions. Même pas la petite morale ou leçon qui signe souvent ce type de réalisation. Le scénario d’un film, ce n’est pourtant pas un livre ! L’immersion n’est pas la même.
    India
    India

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    rien de plus secret, de plus impossible, et rien de plus exposé, de plus fragile… la grâce et la force de la première fois comme une dernière
    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    Un film d'une grande finesse et d'une grande beauté sur la sensualité aujourd'hui souvent mise de côté dans la culture arabe, et donc sur les conflits que cela engendre chez et entre les jeunes issus de cette culture. La mise en scène est troublante de désir, le couple d'acteur est merveilleux, le scénario intelligent car il évoque le malaise des jeunes hommes arabes. Tout est juste et sensible et loin des clichés sur les banlieues et l'immigration. Le malaise de la génération des parents et en particulier du père du héros est également évoqué avec tendresse et subtilité. Les autres acteurs, la bande-son et la lumière concourent également à la réussite du film. Intelligence et émotion.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2021
    Avec un titre pareil, on s'attendrait à une romance à la française avec son flot insipide de belles paroles. En réalité, "Une histoire d'amour et de désir" fait rencontrer deux destins dans l'univers feutré de l'université de lettres de la Sorbonne, à savoir un jeune-homme des cités normalement promu à une certaine forme d'exclusion, et une jeune tunisienne normalement victime de la pauvreté et de l'errance des migrants. En fait, le film prend le contre-pied de tous nos pires stéréotypes et s'invite dans le cœur de ces deux jeunes-gens, à travers un cours de littérature comparée où il est question de l'impertinence érotique de poèmes anciens arabes.

    Rarement, on n'aura vu au cinéma un scénario aussi bien écrit. Les mots coulent dans une poésie profonde mais jamais orgueilleuse. Le récit cherche à comprendre dans ces deux personnages sensibles, les empêchements culturels qui les tiennent à distance l'un de l'autre. La réalisatrice réécrit le mythe souvent vu au cinéma des amours impossibles, mais cette fois par le filtre de la culture lettrée et sociologique du Maghreb. Les deux comédiens s'adonnent avec beaucoup de délicatesse et de pudeur dans la psychologie de ces personnages, confrontés à l'imaginaire de leur culture, la difficulté à trouver leur place dans une société à la fois française et arabe. La famille d'Ahmed est magnifique dans les traits notamment d'un père de famille qui a du renoncer à sa carrière intellectuelle et se soumettre aux besoins de main d’œuvre de la France.

    "Une histoire d'amour et de désir" est un véritable enchantement. On se perd avec délectation dans cette éducation sentimentale où pour une fois, les banlieues sont présentées de façon ouverte et généreuse. Pour autant, le récit ne cède pas à la facilité ou à la mièvrerie. Au contraire, la mise en scène choisit la complexité pour donner chair à ces deux êtres beaux et amoureux.
    romain p.
    romain p.

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2021
    Les thèmes du vin, de la bonne chère, de l'érotisme, des femmes, sont très présents dans la littérature arabe (et persane) d'il y a quelques siècles (voire plus récemment en Iran d'avant la révolution islamique), ce qui semble souvent incongru au vu de la situation et des moeurs dans ces régions du monde. Comme le dit d'ailleurs un personnage algérien déclassé depuis son arrivée en France : "c'était la belle époque". Le film s'aventure sur ce terrain glissant avec une intelligence et une grâce qui laissent pantois. Il se hasarde à mêler cette dérive sociale et de contrôle des moeurs sexuelles de la jeunesse, y compris avec les émigrés établis en France, avec d'autres thèmes très contemporains sur le contrôle social, le racisme, le déracinement des deuxième ou troisième génération d'immigrés. L'habileté, la justesse et la délicatesse avec lesquelles la réalisatrice mène son histoire, portée par une mise en scène sobre mais plus complexe qu'il n'y paraît, sans effets superflus, sont bluffants. Un thème passionnant et traité avec le talent qu'il méritait. On ne boude pas son plaisir !
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    80 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Un joli thème ambitieux: découvrir l’Amour à l’université, en même temps que la littérature érotique arabe (contes des Mille et une nuits?)

    La réalisatrice a fait preuve d’audace en traitant la sexualité, parallèlement à la découverte de la littérature orientale. Elle réussit à approfondir les thèmes abordés.

    Un garçon d’origine algérienne coincé entre ses deux cultures ? Mais, est-il vraiment si amoureux ? J’ai aimé le beau personnage du Père, journaliste algérien brutalement dévalorisé à son arrivée en France
    Une jeune fille épanouie, tellement différente...
    C’est un fait, je me suis ennuyé et je l’ai trouvé davantage « cérébral » que « sensuel »
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Une histoire d'amour et de désir est construit selon des contrastes et des oppositions : pudeur et sensualité, ouverture et préjugés, peur (masculine) et audace (féminine), mots et silence, écrit et oral ... L'exercice pourrait être scolaire mais grâce au talent de Leyla Bouzid, dont le premier long-métrage, A peine j'ouvre les yeux, était mieux qu'une promesse, il devient solaire, tout en grâce et en retenue intense. Le film, merveilleusement fluide et empli d'empathie, raconte une naissance des sens au masculin, cristallisant une situation romantique où la virilité se traduit autrement que par des clichés. Patience et langueur de temps, Une histoire d'amour et de désir n'oublie pas de situer précisément ses deux héros du point de vue social et de donner corps à d'autres protagonistes (le père, la sœur, les amis ...), personnages périphériques importants de la rencontre amoureuse. Au passage, Leyla Bouzid témoigne de la pluralité de la communauté maghrébine, loin des poncifs, là encore, et rappelle la richesse de la littérature arabe de l'âge d'or, enivrée de vin et d'étreintes. Le film est cérébral et poétique, deux qualités en l'occurrence, dès lors qu'il manifeste une une bienveillance douceur (douleur, parfois) permanentes. Une histoire d'amour et de désir possède le charme, presque indicible, des premières fois et des parcours initiatiques. Il en est donc rare et immédiatement précieux. Et universel, aussi, tant qu'il y aura de l'amour sur terre.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Voilà un très beau film qui relate de l'éveil de la sexualité et la naissance d'un amour. Entre pudeur et poésie, retenue et impulsions, Leyla Bouzid vise en plein dans le mille avec son deuxième long-métrage. On rencontre Ahmed, un jeune homme de 18 ans d'origine algérienne habitant dans une cité, qui entame un cursus de littérature arabe sur les bancs de La Sorbonne. Il y fait la rencontre de Farah, une tunisienne venue spécialement en France pour ses études. Le courant passe, et quelque chose naît. Mais dans une société où la sexualité se vit de façon décomplexée, le jeune homme, hésitant et timide, n'arrive pas à laisser libre cours à son désir bouillonant. Avec une délicatesse et une sensualité enivrantes, la réalisatrice érotise le corps masculin et met en scène le chemin de sa première fois, de ses blocages à ses lâcher-prises. C'est si bien joué, filmé et riche d'enjeux qu'on en oublie la simplicité du récit. En effet, Sami Outalbali est parfait, tout comme sa partenaire Zbeida Belhajamor. Alors que le premier semble être en contrôle permanent, guidé par ses valeurs et la peur d'être jugé et rejeté, la seconde est libérée dans l'expression de ses sentiments. Il y a presque ici une mise en parallèle de la culture algérienne et de la culture tunisienne. La première est une culture forte de traditions tandis que l'autre est plus "occidentale", moderne et apaisée. J'ai trouvé fascinant d'observer ces différences qui ne me parlent pas de prime abord mais qui constituent toute la force du récit. L'autre point qui m'a séduit, c'est la place qu'occupe la littérature dans l'éveil des sens et des plaisirs de la chair. Par le biais de scènes de cours avec une professeure passionnée mais autoritaire, la littérature devient le ciment qui imbrique les différentes scènes intimes entre elles. D'ailleurs, ces séquences sont très belles, notamment celle où Ahmed lit des poèmes arabes érotiques dans sa chambre. Enfin, le scénario de "Une histoire d'amour et de désir" a le mérite de casser les idées reçues en figurant une culture arabe ouverte au monde, au plaisir et au corps. Il y a aussi une volonté de montrer une génération à la croisée de deux cultures, frustrée d'une transmission incomplète et condamnée à l'échec juste parce qu'elle est issue de la banlieue. Enfin, les quelques personnages féminins sont forts, déterminés et indépendants ; de la soeur rebelle à la mère compréhensive et aimante, en passant par la copine fêtarde qui sait ce qu'elle veut... Ça en dit beaucoup sur la jeunesse, la différence mais aussi sur le standard de la virilité chez les hommes arabes, où l'amour et la tendresse ne semblent avoir que peu de place...
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2021
    Une mise en scène subliment sensuelle, un récit subtil et intelligent et des acteur.trice.s excellent.es. dont l'alchimie crève l'écran. Il est cependant dommage que le protagoniste soit encore un garçon et l'objet du désir, la muse, la femme qui ici n'a aucune voix, cela aurait été tellement plus passionnant de renverser les rôles, dommage.
    Charles-Antoine Bertaux
    Charles-Antoine Bertaux

    63 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Bravo Sami Outalbali (que j'ai découvert dans Sex Education et que j'ai hâte de retrouver dans Novembre sur le 13 novembre 2015) et Zbeida Belhajamor, LA révélation de 2021 à mes yeux ! Magnifique chronique étudiante, contée au cœur de Paris et de la Sorbonne, sur le désir et l'Amour ❤️
    Domnique T
    Domnique T

    65 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Une extraordinaire ambition de dépeindre plusieurs sujets (trop ?) prégnants dans notre société multiculturelle. Une jeune tunisienne qui possède les codes d’une jeunesse « libérée » voit son amour adolescent pour Ahmed, jeune banlieusard d’origine algérienne, contraint par les codes de la banlieue, de la famille, de la religion. La musique, parfois grinçante, accompagne les frictions sentimentales et érotiques de ces 2 amants qui peinent à s’accorder. L’étude de la littérature érotique arabe des lumières donnent un éclairage troublant sur l’héritage oublié de la culture arabo-musulmane.
    Le chemin intérieur d’amour et de désir des deux protagonistes (superbement interprétés) n’est, hélas, pas toujours bien suivi, manque souvent de liant et de cohérence. Dommage, le sujet est superbe.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Ahmed, 18 ans, est français d’origine algérienne. Il a grandi en banlieue parisienne. Sur les bancs de la fac, il rencontre Farah, une jeune Tunisienne pleine d’énergie fraîchement débarquée de Tunis.

    C’est la seconde réalisation de Leyla Bouzid qui en a aussi écrit le scénario.

    Drame Français sortie dans l’ombre d’un Marvel et d’une comédie avec Kad Merad, Une histoire d'amour et de désir a des qualités indéniables mais malheureusement reste seulement pas mal.

    Il est clair et net qu’Une histoire d'amour et de désir se démarque des autres films dans le genre par son traitement bien particulier de sa thématique principale. On va parler ici de désir aussi bien d’un point de vue amoureux mais aussi charnel. J’ai apprécié que pour une fois on ne tombe pas tête la première dans le graveleux en se contentant de symboliser cela par des scènes de sexe à gogo sans aucun fond. La réalisatrice a pris l’option de joueur sur le côté poétique et le non-dit afin de symboliser cela. Que ce soit une parole douce, ou un regard perdu, on va beaucoup mieux ressentir l’excitation des personnages que en fonçant dans le tas.

    Pour cela, le film va beaucoup tourner autour de littérature arabe du XIIème siècle. Celle-ci est totalement méconnu en France et à ma plus grande surprise, elle contient de l’érotisme. On va donc bousculer les idées reçus. Cette prise à contre pieds va être symbolique du personnage de Ahmed. Ce jeune homme ne connait pas grand-chose à la culture de ses parents, et pensait qu’il allait apprendre des notions aussi prudes que ce dernier est mal à l’aise avec le sexe Au lieu de cela, cet étudiant qui n’a encore jamais connu de relation physique, va être déstabilisé va à ces textes.

    C’est ce fameux Ahmed qui va plomber totalement ce drame. En effet, j’ai trouvé ce personnage extrêmement mal écrit. Ce qui est dommage et ressort encore plus quand tout le reste est réussi. Cependant, à lui seul il plombe tout. Alors que la thématique est traitée de manière fine, ce protagoniste va être très caricatural. Il ne fait que les mauvais choix et ça en est parfois presque ridicule et agaçant. On savait que si une situation se présentait à lui, forcément il aurait la mauvaise réaction. Pourtant, on se doute qu’étant étudiant à la Sorbonne, il devrait avoir assez de jugeotte pour prendre quelques bonnes décisions. Que ce soit en amour mais aussi socialement quand va s'opposer son ancienne vie dans son quartier et sa nouvelle sur Paris.

    Le plus étonnant est que les autres personnages sont vraiment réussis. Je pense notamment à Farah joué par Zbeida Belhajamor. Celle-ci va envouter Ahmed par sa beauté et sa douceur. Sa construction est intéréssante car même si elle aussi est magrébine, elle ne va pas avoir le même schéma intellectuel que Ahmed. Une bonne manière de montrer la pluralité des pensés. J’ai aussi beaucoup aimé l’apport de Samir Elhakim dans le rôle du père. A première vue on pourrait penser qu’il va être inactif dans le récit, mais finalement il a une grande profondeur. Enfin je tenais à saluer le jeune Diong-Keba Tacu qui met de bien belle manière sa pierre à l’édifice avec de bonnes apparition, à l’image sa prestation dans FRAGILE (2021).
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    " Une histoire d'amour et de désir" présenté cette année au Festival de Cannes(semaine de la critique) plébiscité par la critique est une romance qui se regarde. En effet même si il manque quelque chose à ce film pour en faire un bon film, le point fort de celui-ci est l'interprétation de Sami Outalbali et Zbeida Belhajamor qui forme un beau duo, dans un récit qui évoque le désir de deux êtres l'un pour l'autre partagé entre tradition culturelle et religieuse et émancipation.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2021
    Un second long métrage très subtil sur les thèmes croisés de la littérature, du désir et de l'intégration de la jeunesse musulmane. Beaucoup de sensibilité et des dialogues au diapason. Le jeune acteur est formidable.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top