Sans maman ? Mais surtout sans intérêt ! Scénario tenant dans le synopsis pour le reste c est à l avenant ; jeu d acteurs limites, mais surtout aucune crédibilité dans cette comédie avec des enfants demeurés et des parents pas plus évolués… à éviter tout simplement
spoiler: C'est l'histoire d'un papa qui renvoi bobonne au boulot et devient père au foyer pour s'adonner à sa passion : la cuisson des chippos au barbecue.
- Cette critique contient des spoilers -
J’aurais jamais pensé écrire ça un jour, mais Franck Dubosc est le meilleur acteur du film.
"10 jours sans maman" est une plongée en enfer esthétique, morale et cinématographique tout court. Au-delà de l'humour pathétique (je sauve le gamin dans l'aquarium), l'apologie de la consommation et de la bagnole, les bons sentiment à base de "les mères au foyer ont du mérite" et "la famille c'est important", les décors excessivement laids, la réalisation plate et l'univers bourgeois c'est le manichéisme et surtout l'artificialité de chaque plan, chaque situation, chaque réaction qui m'a insupporté.
L'absence de réalité qui habite le film de Ludovic Bernard est symbolisé par son héro, un imbécile fini alors qu'il est DRH et en course pour le poste de DG. Un film fait par des mecs qui n’ont vraisemblablement jamais bossé en entreprise et qui, s'ils ont une famille, parviennent à en donner une vision totalement factice. C'est affligeant et la scène de remerciement des subordonnés est la scène la plus ridicule que j'ai vu depuis longtemps.
Très franchement, on pourrait mettre 0 ou mettre 5. Ce genre de film est apprécié différement selon l'humeur qu'on a. J'ai décidé de mettre 3, ce qui correspond à "pas mal" J'ai trouvé ça pas mal parce que j'étais dans une humeur où j'avais besoin de voir un truc comme ça.
Ce que j'ai aimé et pourquoi : Malgré plein de défauts, 10 Jours sans maman n'est pas dénué de charme. On retiendra la performance énergique de Franck Dubosc, qui se donne corps et âme à son rôle de père dépassé. L'humour, bien que souvent grossier, est parfois efficace et certaines situations cocasses parviennent à arracher plus qu'un sourire. Mais aussi, le film met également en avant l'importance de la famille et du partage, un message positif qui résonnera chez certains spectateurs. La bande originale, rythmée et entraînante, contribue à donner un certain dynamisme au film. On retiendra aussi que Aure Atika y est sublime et on aimerait la voir plus longtemps.
Au final, si vous êtes dans l'humeur qui convient, 10 Jours sans maman est un film divertissant, sans grande prétention, qui plaira aux amateurs de comédies familiales légères et bon enfant. Ne vous attendez pas à un chef-d'œuvre, mais laissez-vous porter par la bonne humeur communicative des enfants.
Encore une fois, je me suis fait avoir par la tête d’affiche Franck Dubosc, ce film est une vraie daube, ils sont incapables de faire une vraie comédie. Il faut à tout prix qu’ils y intègrent du drame familial, de l’émotion à deux francs, les jeunes qui jouent le rôle de ses enfants sont de très mauvais acteur, notamment la jeune fille, qui, dès le début n’invite pas à la sympathie, c’est le moins qu’on puisse dire, même les sketches et les blagues sont peu crédibles… On ne rigole pas vraiment… Et on s’ennuie un peu
« Je donnerais tout pour être à ta place. » Isabelle prend son mari Antoine au mot et décide de le laisser seul avec leurs enfants pendant qu'elle part en vacances. Une petite vengeance, car elle en a marre du manque de considération pour son travail de mère au foyer ou d'entendre qu'elle a toute la journée de libre pour faire ce qu'elle veut une fois les enfants à l'école... Alors qu'il avait très bien commencé avec le très bon "L'ascension", Ludovic Bernard propose un remake insipide et affligeant du film argentin "Mamá se fue de viaje". C'est simple, il n'y a rien qui fonctionne. Un humour navrant, des gags qui ne font jamais mouche, une histoire prévisible et une mise en scène poussive. Bref, il n'y a rien à sauver dans cette comédie ennuyeuse et jamais drôle.
Je ne m'attendais certainement pas à rire autant et à mettre une telle note ! Tout est pourtant téléphoné, le scénario est on ne peut plus classique,... mais Dubosc est tellement bon dans son rôle qu'il sauve le film à lui seul. Qu'est-ce que j'ai ri !
Une idée de scénario déjà exploitée et qui ne n'apporte rien de nouveau malheureusement. Dubosc fait du Dubosc avec un peu plus de sobriété qu'à l'accoutumée mais le soucis c'est qu'il s'agit d'une comédie et que je n'ai pas ri une seule fois. Alors évidemment, il y a un brin d'émotion et le personnage principal finit par comprendre ses erreurs, et tout cela termine en happy end mais toujours sans rires par ma part. Ça se laisse regarder mais ça manque clairement de gags !
Franck Dubosc à la plage dans la première scène, c'est logique, on se dit que c'est un clin d'œil à Camping. Puis très vite on oublie la comparaison pour découvrir un personnage de DRH qui passe sa vie a gérer des hommes sans même connaître ses enfants. L'univers lui a prévu un petit parcours d'obstacle dont il a le secret. Tout commence avec le départ en congés de sa femme Isabelle, incarnée sans grand talent par Aure Atika qui ne semble pas trop à sa place dans ce rôle de mère modèle. S'ensuit des gags qui provoquent de bons éclats de rire, tout en faisant évoluer le héros vers une prise de conscience de son attitude. Il manque un peu de liant pour en faire une bonne comédie. Comme si le montage avait été fait dans la précipitation. Ça tient, mais c'est fragile. Petit moment délicieux de ce DRH parlant d'un collaborateur qu'il souhaite à tout pris éviter : "Le responsable syndical ? Oui, celui qui dit courriel et intranet". Se rappeler des prénoms, la première étape vers la considération de l'autre.
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2,5
Publiée le 12 avril 2023
Quand Franck Dubosc passe dix jours sans sa femme, ça donne une comèdie sympathique avec un acteur en total burnout parental! Dix jours c'est une èternitè surtout quand la maman prèpare à manger, s'occupe des enfants, et que le papa ne se rend pas compte de tout ça parce qu'il travaille beaucoup! Un nouveau rôle burlesque pour Dubosc qui trouve un rôle sur mesure, et qui admet dans une interview que ce sont les mamans qui s'impliquent plus que les papas dans cette affaire là! Pas certains qu'ils se fassent que des amis, mais bon le film se laisse gentiment regarder un vendredi soir sur M6 et en plus ça permet de retrouver le sourire en ces temps de crise! Le succès de cette comèdie familiale ne pouvait que prècipiter une suite, "10 jours encore sans maman" (2023) qui se passe cette fois à la montagne! Rien de bien nouveau mais de la bonne humeur et des situations amusantes spoiler: (cf. le merdeux qui se prend pour DiCaprio en portant le même nom, le ballon de marche gonflable gèant qui dèvaste tout sur son passage...) .
Un film avec Franck Dubosc qui est bourré de clichés et de stéréotypes. Le papa prit par son travail et qui ne connaît pas ses enfants, avec la morale à la fin rien ne vaut la famille. Mouais, des gags pas terribles, plutôt gentils et ennuyeux. Le film où on connaît la fin avant d'avoir vu le début. Sans grand intérêt.