Derniers Avis : 10 jours sans maman - Page 14

Sujet amusant sur le renversement des rôles hommes femmes. Les jeunes comédiens sont pas mal , quelques situations amusante , pas la comédie de l’année mais un divertissement sans prétention correct.

Basé sur un remake (une fois de plus) et en même temps sur quelques productions abordant au sens large un peu sur la même idée générale au niveau de la trame. On va dire que sa sonne un peu déjà vu par moment. avec des péripéties, ou l humour passera ou non. Mais ou Dubosc joue comme il le fait habituellement ( d ailleurs a prix un coup de vieux). Donc on passera sur l originalité total meme si l ensemble assez familiale, se laisse regarder. quelques longueurs ou moment un peu longuet. le reste tient de justesse mais si on le prends comme un film basique ou l on attends pas grand chose. Cela passe facilement. L idée de base a déjà été traité mais on arrive a ce que cela ne soit pas trop lourd, trop clichés ... concernant le film dont il est le remake, je ne le connais pas donc ne peut pas le comparer. Mais dans l ensemble pour passer un petit moment sympa sans prise de tete. pourquoi pas. Mais pas extraordinaire non plus

Ni mal ni bien juste pour passer 2 h en famille avec les enfants deja vu mieux de franck dubosc qui a toujours le même jeu d'acteur ....il doit nous faire rire ....

😡 les enfants joue très mal les rôle très déçu
Un film.pas top. Dommage 😡😡🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬🤬

Difficile de se faire un avis sur '10 jours sans maman', le fond de l'histoire (un homme macho ordinaire pense que s'occuper d'une famille de 4 enfants est une chose facile) est bien pensée avec des vraies situations de vie que toute famille a déjà vécue. Sur la forme, c'est bien cadré avec le soleil de la cote d'azur. C'est souvent drôle.
Mais plusieurs problèmes viennent entacher ces bons arguments.
Malgré toute ma sympathie pour lui, Franck Dubosc n'est pas un grand acteur, ses expressions sont soit prévisibles soit sur-jouées. L'histoire en plus sur le magasin "briconaute" et ses employés (le stéréotypé DG et son acolyte Di Caprio) font passer cette comédie sociale vers une comédie lourdingue comme on en voit beaucoup dans le cinéma français (Clavier, Bourdon en tête de gondole). Dommage car le sujet pouvait vraiment faire un superbe film, la matière était là.
A noter la bonne performance de Aure Attika.

'10 jours sans maman' reste une comédie familiale qui avec plus de subtilité aurait certainement fait une grande comédie.

Je ne comprends pas la note globale.
10 jours sans maman et proprement affligeant. Les running gags sur le pipi caca ne sont pas drôles (bien que celui sur Di Caprio soit pire), le personnage joué par Dubosc est totalement antipathique (et même franchement détestable), et, qui plus est, extrêmement mal joué par Dubosc... Les enfants ne sont pas en reste, tout aussi antipathiques.
Il n'y a aucune réalisation, c'est laid, plat, nul.
Mais surtout, surtout, c'est bruyant, stupide, minable, bas du front.
Nul. Mais nul à un point... proprement affligeant...

Moment très très agréable... Et surtout des fous rires !
J'avais la crainte que ce scenario soit "facile", mais le jeu a été juste et intelligent.
Comédie familiale à voir !

Super marrant Toute la famille a adoré, on s’est bien amusé. Franck Dubosc joue très bien merci beaucoup

le film n ' est pas hilarant mais il se laisse regarder avec plaisir , les enfants rient de bon coeur , ce qui n ' est pas si mal ! bien sûr , Franck Dubosc subit les critiques habituelles alors que je le trouve excellent dans un registre plus sobre et en se montrant émouvant à certains moments , les enfants sont excellents et Alice David est une révélation pour moi !

Le thème de ce type de scénario se prête particulièrement bien à la comédie familiale sur le couple, la famille, les enfants, l’éducation avec une extension ici sur le milieu professionnel. Le spectateur y trouvera donc peu ou prou sans trop de difficulté ni de mauvaise surprise ce qu’il est venu y chercher. Occasion pour quelques pitreries supplémentaires sur grande écran de Franck Dubosc, spécialiste du genre (qui doit bien pourtant savoir faire autre chose). Force est de constater qu’on réussit encore à en rire ou sourire ici ou là. Sympathique, grand public. Mais ne pas en attendre quelque chose d’exceptionnel.

Un papa de quatre enfants, dont la femme ne travaille pas depuis des années afin de gérer le quotidien de cette grande famille (en dépit d'études d'avocate), va se retrouver 10 jours seul à la maison à devoir tout assumer, après que sa conjointe ait décidé de partir en vacances avec sa soeur.
C'est alors l'occasion pour lui de tenter de faire concilier ambition professionnelle et fibre paternelle.
Il est vrai que cette comédie familiale ne vole globalement pas très haut d'une manière générale et que si l'on n'aime pas Franck Dubosc (ce n'est pas mon cas), cette tartuferie risque d'être difficile à digérer.
Il n'empêche, l'énergie formidable (et usante !) de ces quatre "charmants" bambins (allant de 2 à 16 ans) permet finalement au film de garder un dynamisme et un comique d'assez bonne facture, malgré un scénario prévisible pouvant tenir sur un confetti.
J'ai souri, j'ai ri, j'ai été attendri aussi : nous sommes loin d'une oeuvre marquante, mais l'efficacité de ce divertissement est réelle.
Assez amusant.
Site www.cinemadourg.free.fr

Ça ne casse pas 3 pattes à un canard, mais ça se laisse aisément voir. Pas assez corrosif par contre.
Dubosc fait le taf, et est heureusement plus sobre que dans le désastreux All Inclusive.
Mention à Alice David, qui surnage dans les seconds rôles du film.

Les acteurs sont bons, notamment les enfants mais sinon ce film est comment dire, quelqu'un peut m'aider ? Complètement con ? Oui c'est ça ! Ce film est complètement con. Mais comme y a Dubosc dedans ça doit être génial.

La comédie se divise en 2 catégories de films : ceux qui tentent des trucs et ceux qui les ratent. Le problème en France, c'est que les mauvaises expériences occultent très souvent les bonnes séances. Question de ratio, et c'est malheureux.
Alors qu'est ce qui cloche avec les mauvais élèves ? Généralement la même chose. Ils sont bardés de bonnes intentions mais les font passer de la plus mauvaise façon : histoire écrite par un automate, clichés à tous les étages, direction artistique en deçà du seuil de pauvreté.
Bref, toutes les tares qu'on peut dénicher dans les téléfilms miséreux disponibles sur...certaines chaines (soyons gentils).
10 jours sans maman obéit à cette triste définition. Quand bien même le postulat de départ n'a rien de fascinant (une mère au foyer part en vacances, laissant son DRH de mari s'occuper de la marmaille), il y avait bien un moyen d'en tirer quelque chose de comestible.
La série Malcolm parvenait à dynamiter ce genre de thématiques avec un humour ravageur et une vision libertaire rafraichissante. Elle fait toujours infiniment mieux en 20 minutes que le film de Ludovic Bernard en 90.
Au lieu de jouer avec les attentes en les retournant, le long-métrage se refuse à la moindre tentative de subversion. Vous aurez donc droit à du sous-calibré, avec tout ce que ça implique de souffrance. En premier lieu, une écriture abominable qui se déleste de toute forme de crédibilité et répète sans honte certains gags ad nauseam ! (cf. les séquences impliquant l'Assistant Google, d'une atrocité insoutenable). Même le thème principal est complètement sabordé à coups de rebondissements abêtissants/illogiques/répétitifs, rendant toute l'entreprise inopérante.
Sur le plan technique, il y a quelques jolis plans. Je les compte sur les doigts d'une seule main. Le reste est saturé d'ignominies : scène réalisée en 15 plans quand 3 suffisent, faux-raccord de tous les côtés, photographie plate.
Du côté des comédien.ne.s, c'est également problématique. Les plus jeunes ne sont pas aidés par le script qui ne sait pas quoi en faire (adolescents en pleine crise, garnements à gifler), donc on va dire qu'ils ne peuvent pas faire grand chose.
Pour les adultes, on va dire que Franck Dubosc est en cabotinage automatique et c'est gênant. Surtout après son premier et beau film Tout le monde debout. Les seuls moments de répit dans cette symphonie du désastre ont été offerts par Alice David, qui apporte un peu de justesse. Malheureusement ça ne représente que 10 minutes où la consternation a été mise en pause. Le pire avec 10 jours sans maman, c'est que même en jouant la carte de la sécurité, il aurait pu être regardable. Et même ça, il ne le fait pas, préférant s'enfoncer dans une abime du néant scénaristique.
Une fois arrivés à la fin, on ne sait même pas comment nos personnages ont fait pour évoluer puisque rien (mais vraiment RIEN) n'a eu d'importance.
Après tout peu importe, tant que les lumières se rallument et que la séance s'achève.

On peut reprocher au film de mettre encore en scène une famille de la classe moyenne supérieure (notez bien que si c'était chez les travailleurs pauvres ou les chômeurs, les producteurs auraient immanquablement fait glisser l'humour vers la grosse farce, mais passons). Heureusement, cet aspect est -timidement- contrebalancé par le personnage d'Alice David, victime des méthodes du personnage de Franck Dubosc, aliéné par son travail. Sans être LA comédie du XXIème siècle, on rit pas mal et Dubosc montre qu'il sait jouer d'autres personnages.