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Remake du film argentin "Mama se fue de viaje" d’Ariel Winograd, sorti en 2017, cette comédie familiale aborde avec tendresse et humour, selon le cinéaste, «la rédemption d’un homme, d’un père», qui comprendra qu’il passe à côté de l’essentiel de sa vie.
On rit souvent, on rit parfois. Une comédie qui a au moins l'intérêt de rappeler que les femmes au foyer ont bien du mérite. Mais nous n'en doutions pas.
Remake d'un film argentin, cette comédie grinçante est de celles qui vissent les points sur les i. Mais elle est adoucie par le personnage d'Alice David, en nounou victime du système. Cette huile est bienvenue dans une mécanique qui aurait peut-être pâti, sinon, d'être un peu trop manichéenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Une comédie familiale à grosse ficelles, qui aurait supporté un peu plus de subtilité, dans laquelle Franck Dubosc incarne parfaitement un macho ordinaire et parfois très drôle.
Antoine (Franck Dubosc), DRH soumis à la pression d’un concurrent plus jeune dans une grande chaîne de bricolage, exaspère sa femme Isabelle (Aure Atika), qui décide de lui laisser la conduite du foyer en partant dix jours au soleil avec sa soeur. La suite est écrite comme sur du papier à musique, sur un air ancien.
Le film, limite mignon dans sa façon de sincèrement et benoîtement croire à sa remise en cause des assignations qu'il ne fait pourtant que renforcer, se passe très en deçà de ses acteurs. Embarrassant.
CNews
Remake du film argentin "Mama se fue de viaje" d’Ariel Winograd, sorti en 2017, cette comédie familiale aborde avec tendresse et humour, selon le cinéaste, «la rédemption d’un homme, d’un père», qui comprendra qu’il passe à côté de l’essentiel de sa vie.
Femme Actuelle
On rit souvent, on rit parfois. Une comédie qui a au moins l'intérêt de rappeler que les femmes au foyer ont bien du mérite. Mais nous n'en doutions pas.
Le Parisien
Remake d'un film argentin, cette comédie grinçante est de celles qui vissent les points sur les i. Mais elle est adoucie par le personnage d'Alice David, en nounou victime du système. Cette huile est bienvenue dans une mécanique qui aurait peut-être pâti, sinon, d'être un peu trop manichéenne.
Voici
Une comédie familiale à grosse ficelles, qui aurait supporté un peu plus de subtilité, dans laquelle Franck Dubosc incarne parfaitement un macho ordinaire et parfois très drôle.
Le Journal du Dimanche
Sans être originale, cette comédie familiale se laisse regarder avec ses crises de nerfs et catastrophes domestiques à gogo.
Le Monde
Antoine (Franck Dubosc), DRH soumis à la pression d’un concurrent plus jeune dans une grande chaîne de bricolage, exaspère sa femme Isabelle (Aure Atika), qui décide de lui laisser la conduite du foyer en partant dix jours au soleil avec sa soeur. La suite est écrite comme sur du papier à musique, sur un air ancien.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie un peu trop mécanique mais efficace permet à Franck Dubosc de jouer un père largué pour avoir négligé les RH avec les siens.
Télé 7 Jours
Un peu de finesse aurait été bienvenue.
L'Obs
C’est lent, prévisible, rarement drôle, ça rame.
Les Inrockuptibles
Le film, limite mignon dans sa façon de sincèrement et benoîtement croire à sa remise en cause des assignations qu'il ne fait pourtant que renforcer, se passe très en deçà de ses acteurs. Embarrassant.
Télérama
Verdict : on a beau aimer Franck Dubosc, ces "10 Jours sans maman" font l’effet d’un énième film français sans risque. Et sans cinéma.
aVoir-aLire.com
Réalisation paresseuse, gags potaches : du déjà-vu mille fois, avec l’exaspérant Dubosc. On passe.