Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
La Croix
par Marie Valentine Chaudon
Une invitation à la contemplation, alors que la beauté des images convoque une foule de questions profondes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Ève Beauvallet
C’est une philosophie de la danse que l’on voit peu sur les écrans, plus occupés quand l’occasion se présente à célébrer la dépense glorieuse des athlètes qu’à dénicher, sous l’ordinaire des corps et l’hyperbanalité des décors [...] la patiente fabrique de l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Le film puise sa force du respect qu’il manifeste pour les corps, parfois maladroits, qui se plient à la chorégraphie, et pour l’œuvre de survie qu’il s’agit de transmettre sans trahir.
CNews
par La rédaction
[un] film à la fois singulier et bouleversant.
Le Figaro
par Ariane Bavelier
Simple et juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bouleversant.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Par un effet de miroir, le cinéma donnant à voir le spectacle vivant, Les Enfants d’Isadora capte l’essence du mouvement, cet instant décisif où, dans l’obscurité, la création crée une tectonique des plaques mentale.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
[L]es fondations sont solides et c’est là tout l’art du cinéma de Damien Manivel que d’accomplir un tour de force qui n’en a jamais l’air, de déborder du cadre appliqué et chapitré de ses assemblages, de court-circuiter l’épure pour y dissoudre un doux venin qui se répand bien après la projection.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
En mettant en scène trois personnages confrontés à un solo composé par Isadora Duncan en hommage à ses deux enfants morts, Damien Manivel parvient, avec beaucoup de pudeur et de sensibilité, à nous faire éprouver la manière dont un corps, peu à peu, se laisse affecter par l’histoire qu’il est chargé de raconter.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ni fiction, ni documentaire, ni spectacle filmé, c’est un film-atelier que propose Damien Manivel. Une gestuelle qui dit l’arrachement, le vide, passe par différents corps et se charge d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
POUR : Derrière une construction apparemment incongrue et un rythme lent, Les enfants d’Isadora constitue un essai lumineux sur la perte d’un enfant et le pouvoir émotionnel de la danse. On en ressort grandi et infiniment apaisé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Sentir la danse d’Isadora Duncan, c’est être alerte aux mouvements du monde, aux ombres, aux gestes, au vent. Manivel rend compte de cet apprentissage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Quatre femmes, d’âge et de conditions différentes, font l’expérience d’une chorégraphie du deuil. Le nouveau film de Damien Manivel frustre par excès de sensibilité, et ramène une gravité dévitalisée à un film qui aurait gagné à être plus libre et moins institutionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Damien Manivel confirme sa sensibilité avec une ballade contemplative récompensée au dernier festival de Locarno.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Une certaine pesanteur explicative – parfois à la limite de la tautologie – dissipe l’étrangeté qui faisait le charme des précédents films du cinéaste.
L'Obs
par François Forestier
Le problème, c’est que Damien Manivel, danseur lui-même, filme avec froideur, allonge les scènes à l’infini, et s’essaie à un genre poétique dont le ressort est la lenteur. Avec ce spectacle languissant, le réalisateur s’est fait plaisir, voilà tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Le geste est poétique et gracieux. Mais comme toujours chez Manivel (Un jeune poète), la cérébralité finit par prendre l’ascendant sur tout le reste et créer une distance avec le spectateur non familier de son travail. Tout le contraire, au final, de la liberté qu’avait su insuffler Duncan en faisant voler en éclats l’univers parfois corseté de la danse.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
CONTRE : Un film dans lequel les caractères potentiellement fictionnels ou documentaires du récit se confondent tant et si bien que, à la manière d’un danseur qui ne sait plus sur quel pied danser, le spectateur ne sait avec quel œil le regarder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
Une invitation à la contemplation, alors que la beauté des images convoque une foule de questions profondes.
Libération
C’est une philosophie de la danse que l’on voit peu sur les écrans, plus occupés quand l’occasion se présente à célébrer la dépense glorieuse des athlètes qu’à dénicher, sous l’ordinaire des corps et l’hyperbanalité des décors [...] la patiente fabrique de l’émotion.
Positif
Le film puise sa force du respect qu’il manifeste pour les corps, parfois maladroits, qui se plient à la chorégraphie, et pour l’œuvre de survie qu’il s’agit de transmettre sans trahir.
CNews
[un] film à la fois singulier et bouleversant.
Le Figaro
Simple et juste.
Le Journal du Dimanche
Bouleversant.
Le Monde
Par un effet de miroir, le cinéma donnant à voir le spectacle vivant, Les Enfants d’Isadora capte l’essence du mouvement, cet instant décisif où, dans l’obscurité, la création crée une tectonique des plaques mentale.
Les Inrockuptibles
[L]es fondations sont solides et c’est là tout l’art du cinéma de Damien Manivel que d’accomplir un tour de force qui n’en a jamais l’air, de déborder du cadre appliqué et chapitré de ses assemblages, de court-circuiter l’épure pour y dissoudre un doux venin qui se répand bien après la projection.
Transfuge
En mettant en scène trois personnages confrontés à un solo composé par Isadora Duncan en hommage à ses deux enfants morts, Damien Manivel parvient, avec beaucoup de pudeur et de sensibilité, à nous faire éprouver la manière dont un corps, peu à peu, se laisse affecter par l’histoire qu’il est chargé de raconter.
Télérama
Ni fiction, ni documentaire, ni spectacle filmé, c’est un film-atelier que propose Damien Manivel. Une gestuelle qui dit l’arrachement, le vide, passe par différents corps et se charge d’émotion.
aVoir-aLire.com
POUR : Derrière une construction apparemment incongrue et un rythme lent, Les enfants d’Isadora constitue un essai lumineux sur la perte d’un enfant et le pouvoir émotionnel de la danse. On en ressort grandi et infiniment apaisé.
Critikat.com
Sentir la danse d’Isadora Duncan, c’est être alerte aux mouvements du monde, aux ombres, aux gestes, au vent. Manivel rend compte de cet apprentissage.
Les Fiches du Cinéma
Quatre femmes, d’âge et de conditions différentes, font l’expérience d’une chorégraphie du deuil. Le nouveau film de Damien Manivel frustre par excès de sensibilité, et ramène une gravité dévitalisée à un film qui aurait gagné à être plus libre et moins institutionnel.
Paris Match
Damien Manivel confirme sa sensibilité avec une ballade contemplative récompensée au dernier festival de Locarno.
Cahiers du Cinéma
Une certaine pesanteur explicative – parfois à la limite de la tautologie – dissipe l’étrangeté qui faisait le charme des précédents films du cinéaste.
L'Obs
Le problème, c’est que Damien Manivel, danseur lui-même, filme avec froideur, allonge les scènes à l’infini, et s’essaie à un genre poétique dont le ressort est la lenteur. Avec ce spectacle languissant, le réalisateur s’est fait plaisir, voilà tout.
Première
Le geste est poétique et gracieux. Mais comme toujours chez Manivel (Un jeune poète), la cérébralité finit par prendre l’ascendant sur tout le reste et créer une distance avec le spectateur non familier de son travail. Tout le contraire, au final, de la liberté qu’avait su insuffler Duncan en faisant voler en éclats l’univers parfois corseté de la danse.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Un film dans lequel les caractères potentiellement fictionnels ou documentaires du récit se confondent tant et si bien que, à la manière d’un danseur qui ne sait plus sur quel pied danser, le spectateur ne sait avec quel œil le regarder.