Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Dans le Japon autosatisfait, puéril et réactionnaire de Shinzo Abe, Kuzoku, le « crew » intransigeant et combatif de Tomita regroupant artistes de hip hop, scénaristes et techniciens, est plus que jamais nécessaire.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le réalisateur Katsuya Tomita pourfend les clichés avec une belle vitalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une expérience envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Katsuya Tomita livre un docufiction sensoriel sur le quotidien de deux moines bouddhistes dans le Japon post-Fukushima.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Élise Domenach
Autour de sa figure altière, Tomita a extrapolé une fiction saisissante. Et transformé la commande documentaire de l’école bouddhiste Sôtô en une joyeuse méditation sur le Japon depuis Fukushima, qui chasse le désespoir à coups d’envolées animées.
Télérama
par Jacques Morice
Sobre, fluide et finement ciselé, ce libre documentaire qui chemine comme une fiction réserve quantité de notations précieuses sur les enseignements de Bouddha et les six saveurs du zen, et invite autant à la méditation qu’à la rêverie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Docu-fiction poétique et savoureux qui lie la méditation à la réflexion sociale, Tenzo permet à Katsuya Tomita de mettre nouvelle fois son art de la mise en scène au service de l’acuité de son regard.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Si la mise en scène de Tomita revendique une forme d’imperfection, voire de dimension volontairement rugueuse, elle fait également preuve de finesse dans la composition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Avec son montage vif et son dispositif hybride, mélangeant entretiens, saynètes et reconstitutions, le film, chapitré selon le thème des six saveurs, invite à rénover les relations sensibles et spirituelles unissant l’être au monde dévasté qui l’entoure.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Plutôt qu’un film de propagande religieuse, Tenzo est une méditation fine, quoique parfois un peu ténue, sur notre capacité d’agir sur le monde, et la meilleure façon de le faire. S’y impose moins un discours surplombant qu’une relation sensible aux êtres et aux choses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Si tout n'est pas convaincant, notamment le jeu des moines lors des scènes reconstituées, le cinéaste nippon déploie par séquence son art de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un appel à la méditation inspirant, malgré une narration décousue.
Première
par Thomas Baurez
On pressent un curieux désir de cinéma. Tenzo en deviendrait presque un objet théorique soft. Bref, quelque chose opère un peu. Un peu, mais pas assez.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Dans le Japon autosatisfait, puéril et réactionnaire de Shinzo Abe, Kuzoku, le « crew » intransigeant et combatif de Tomita regroupant artistes de hip hop, scénaristes et techniciens, est plus que jamais nécessaire.
L'Humanité
Le réalisateur Katsuya Tomita pourfend les clichés avec une belle vitalité.
Les Fiches du Cinéma
Une expérience envoûtante.
Libération
Katsuya Tomita livre un docufiction sensoriel sur le quotidien de deux moines bouddhistes dans le Japon post-Fukushima.
Positif
Autour de sa figure altière, Tomita a extrapolé une fiction saisissante. Et transformé la commande documentaire de l’école bouddhiste Sôtô en une joyeuse méditation sur le Japon depuis Fukushima, qui chasse le désespoir à coups d’envolées animées.
Télérama
Sobre, fluide et finement ciselé, ce libre documentaire qui chemine comme une fiction réserve quantité de notations précieuses sur les enseignements de Bouddha et les six saveurs du zen, et invite autant à la méditation qu’à la rêverie.
aVoir-aLire.com
Docu-fiction poétique et savoureux qui lie la méditation à la réflexion sociale, Tenzo permet à Katsuya Tomita de mettre nouvelle fois son art de la mise en scène au service de l’acuité de son regard.
Critikat.com
Si la mise en scène de Tomita revendique une forme d’imperfection, voire de dimension volontairement rugueuse, elle fait également preuve de finesse dans la composition.
Le Monde
Avec son montage vif et son dispositif hybride, mélangeant entretiens, saynètes et reconstitutions, le film, chapitré selon le thème des six saveurs, invite à rénover les relations sensibles et spirituelles unissant l’être au monde dévasté qui l’entoure.
Les Inrockuptibles
Plutôt qu’un film de propagande religieuse, Tenzo est une méditation fine, quoique parfois un peu ténue, sur notre capacité d’agir sur le monde, et la meilleure façon de le faire. S’y impose moins un discours surplombant qu’une relation sensible aux êtres et aux choses.
Paris Match
Si tout n'est pas convaincant, notamment le jeu des moines lors des scènes reconstituées, le cinéaste nippon déploie par séquence son art de la mise en scène.
Le Journal du Dimanche
Un appel à la méditation inspirant, malgré une narration décousue.
Première
On pressent un curieux désir de cinéma. Tenzo en deviendrait presque un objet théorique soft. Bref, quelque chose opère un peu. Un peu, mais pas assez.