Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Un vrai coup de poing dans le ventre.
Positif
par Denitza Bantcheva
La cinéaste nous montre, en filigrane, le quotidien et les moeurs des petites gens de Tunis, d'une façon d'autant plus éloquente qu'elle ne verse jamais dans le film à thèse.
Voici
par A.V.
Un portrait fort et sensible.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une oeuvre forte.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
Haletant comme un thriller.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Face à l'adversité, l'histoire de Noura nous invite à ne pas céder au désespoir, mais au contraire à rêver plus fort.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La première force du film est de ne jamais tomber dans le piège d’une caractérisation binaire des personnages. Ce n’est pas la sainte victime contre les salauds. C’est toujours plus subtil et complexe que cela.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Dans l’impossibilité d’avouer sa relation, Noura est contrainte de tenir l’homme qu’elle aime à l’écart, serrant les dents quand le conjoint officiel la touche, la questionne et la harcèle. Terrible dilemme qui instaure une tension de chaque instant, le film de Hinde Boujemaa basculant même dans le thriller conjugal à la faveur d’une scène de commissariat suffocante.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet classique, mais qui prend une dimension particulière dans le contexte juridique et religieux du pays où se déroule l’histoire, un film qui touche juste et fort.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Formidablement interprété, le cauchemar d’une femme adultère passible de prison en Tunisie.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Chronique assez rude d'un sujet tabou en Tunisie, « Noura rêve », film souvent âpre et remuant, bénéficie, malgré quelques longueurs, d'un très beau scénario qui prend la défense des femmes plongées dans ce type de situation aberrante, et de l'interprétation d'une grande justesse de la comédienne Hend Sabri.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
D’un argument de départ qui flirte avec le cliché, H. Boujemaa tire un récit fort, qui met en lumière la difficile place de la femme en Tunisie.
Libération
par Sandra Onana
Subtil dans ses dosages malgré d’évidentes inflexions démonstratives (la cinéaste Hinde Boujemaa vise à dénoncer l’injustice de la loi sur l’adultère en Tunisie, infraction passible de cinq ans de prison), Noura rêve trouve d’habiles manières de signifier les assauts symboliques menés par les hommes dans l’intimité de sa lumineuse héroïne (Hend Sabri, star dans le monde arabe).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un suspense haletant.
Première
par Thierry Chèze
Le message, son portrait acéré d’une société tunisienne actuelle où l’arbitraire, la corruption et un patriarcat violent empoisonnent le quotidien, passe bel et bien. Mais la cinéaste ne s’en contente pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Noura rêve" est un film très attachant, sur un sujet complexe et douloureux. Porté à bout de bras par sa fantastique comédienne principale, il ne va cependant pas au bout de son discours, mais saura générer chez son spectateur un certain nombre de questions sur la place de la femme et la liberté d'aimer. Rien que pour cela, il mérite que l'on s'y intéresse de très près.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La fibre féministe du film suffirait déjà à nous le faire apprécier, mais, en faisant le choix d’une héroïne qui n’est ni sainte ni victime et en ayant à cœur d’évoquer la réalité tunisienne, la cinéaste étoffe son sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Verdier
Si Hinde Boujemaa réfute la dimension documentaire de Noura rêve, le film est particulièrement éclairant sur la condition des Tunisiennes et plus largement sur celle des femmes maghrébines.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Clarisse Fabre
Noura rêve s’inscrit dans la lignée de films dits « de société » sortis ces dernières années, portés par de grandes actrices. On pense à Une séparation (2011), d’Asghar Farhadi, avec Leila Hatami, une oeuvre certes plus cérébrale que militante.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Dès ses premières minutes, ce premier film tunisien, sorti d’on ne sait où et déjà bien verni, a de l’air et de la vie. La forme manque encore un peu d’adresse, et les moyens sont modestes (peu de personnages ou de lieux), mais Boujemaa a une remarquable manière de ne pas s’en excuser, imprimant à son apologue une force singulière, une pulsation rapide, vigoureuse, tendue comme son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un premier film assez étonnant, qui allie habilement la dénonciation de la domination féminine en Tunisie, avec un récit qui tient son spectateur en haleine, jusqu’au dénouement final.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Un plaidoyer pour la liberté des femmes dont les bonnes intentions sociales ne compensent pas les maladresses d’écriture et de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
BIBA
Un vrai coup de poing dans le ventre.
Positif
La cinéaste nous montre, en filigrane, le quotidien et les moeurs des petites gens de Tunis, d'une façon d'autant plus éloquente qu'elle ne verse jamais dans le film à thèse.
Voici
Un portrait fort et sensible.
20 Minutes
Une oeuvre forte.
Elle
Haletant comme un thriller.
Femme Actuelle
Face à l'adversité, l'histoire de Noura nous invite à ne pas céder au désespoir, mais au contraire à rêver plus fort.
La Septième Obsession
La première force du film est de ne jamais tomber dans le piège d’une caractérisation binaire des personnages. Ce n’est pas la sainte victime contre les salauds. C’est toujours plus subtil et complexe que cela.
La Voix du Nord
Dans l’impossibilité d’avouer sa relation, Noura est contrainte de tenir l’homme qu’elle aime à l’écart, serrant les dents quand le conjoint officiel la touche, la questionne et la harcèle. Terrible dilemme qui instaure une tension de chaque instant, le film de Hinde Boujemaa basculant même dans le thriller conjugal à la faveur d’une scène de commissariat suffocante.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet classique, mais qui prend une dimension particulière dans le contexte juridique et religieux du pays où se déroule l’histoire, un film qui touche juste et fort.
Le Journal du Dimanche
Formidablement interprété, le cauchemar d’une femme adultère passible de prison en Tunisie.
Le Parisien
Chronique assez rude d'un sujet tabou en Tunisie, « Noura rêve », film souvent âpre et remuant, bénéficie, malgré quelques longueurs, d'un très beau scénario qui prend la défense des femmes plongées dans ce type de situation aberrante, et de l'interprétation d'une grande justesse de la comédienne Hend Sabri.
Les Fiches du Cinéma
D’un argument de départ qui flirte avec le cliché, H. Boujemaa tire un récit fort, qui met en lumière la difficile place de la femme en Tunisie.
Libération
Subtil dans ses dosages malgré d’évidentes inflexions démonstratives (la cinéaste Hinde Boujemaa vise à dénoncer l’injustice de la loi sur l’adultère en Tunisie, infraction passible de cinq ans de prison), Noura rêve trouve d’habiles manières de signifier les assauts symboliques menés par les hommes dans l’intimité de sa lumineuse héroïne (Hend Sabri, star dans le monde arabe).
Ouest France
Un suspense haletant.
Première
Le message, son portrait acéré d’une société tunisienne actuelle où l’arbitraire, la corruption et un patriarcat violent empoisonnent le quotidien, passe bel et bien. Mais la cinéaste ne s’en contente pas.
Ecran Large
"Noura rêve" est un film très attachant, sur un sujet complexe et douloureux. Porté à bout de bras par sa fantastique comédienne principale, il ne va cependant pas au bout de son discours, mais saura générer chez son spectateur un certain nombre de questions sur la place de la femme et la liberté d'aimer. Rien que pour cela, il mérite que l'on s'y intéresse de très près.
L'Obs
La fibre féministe du film suffirait déjà à nous le faire apprécier, mais, en faisant le choix d’une héroïne qui n’est ni sainte ni victime et en ayant à cœur d’évoquer la réalité tunisienne, la cinéaste étoffe son sujet.
La Croix
Si Hinde Boujemaa réfute la dimension documentaire de Noura rêve, le film est particulièrement éclairant sur la condition des Tunisiennes et plus largement sur celle des femmes maghrébines.
Le Monde
Noura rêve s’inscrit dans la lignée de films dits « de société » sortis ces dernières années, portés par de grandes actrices. On pense à Une séparation (2011), d’Asghar Farhadi, avec Leila Hatami, une oeuvre certes plus cérébrale que militante.
Les Inrockuptibles
Dès ses premières minutes, ce premier film tunisien, sorti d’on ne sait où et déjà bien verni, a de l’air et de la vie. La forme manque encore un peu d’adresse, et les moyens sont modestes (peu de personnages ou de lieux), mais Boujemaa a une remarquable manière de ne pas s’en excuser, imprimant à son apologue une force singulière, une pulsation rapide, vigoureuse, tendue comme son actrice principale.
aVoir-aLire.com
Un premier film assez étonnant, qui allie habilement la dénonciation de la domination féminine en Tunisie, avec un récit qui tient son spectateur en haleine, jusqu’au dénouement final.
Le Figaro
Un plaidoyer pour la liberté des femmes dont les bonnes intentions sociales ne compensent pas les maladresses d’écriture et de mise en scène.