Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Une telle hybridation de violence et de comique est évidemment risquée mais Miike agence ces éléments avec maestria.
Ecran Large
par Simon Riaux
Sous des airs de film fou et fragile, se cache une leçon de cinéma et de narration orchestrée par un grand Takashi Miike, capable ici de mêler polar social, élans romanesques et démence gore avec une inventivité et un style impressionnants.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par A.L.F.
Film violent aux accents pop (à l'image de l'amusante séquence animée), First Love montre que le cinéaste japonais en a visiblement encore sous la pédale. Décapant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Michel Valentin
Scènes d'action sanglante, quiproquos, rebondissements à la pelle… ce « First Love » fait plus qu'évoquer le Quentin Tarantino des débuts. Des références haut de gamme pour un polar survitaminé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
Imparfait mais furieusement attachant, "First Love, le dernier yakuza" semble annoncer une seconde jeunesse pour Miike [...].
Télérama
par Jérémie Couston
Un cinéma de l’outrance, aussi inventif que jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre comédie burlesque, film de kung-fu facétieux, et thriller vertigineux, First Love, le dernier Yakuza fait œuvre d’une inventivité et d’un rythme absolument jubilatoires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
On s’y perd parfois un peu, mais on se laisse emporter par l’énergie du cinéaste japonais.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un spectacle euphorisant qui sait aussi, pour son bien et celui de son public, baisser les armes et révéler son grand coeur.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Ce déferlement de violence pourrait s'épuiser s’il n’avait que pour fonction de fournir un divertissement simplement transgressif, mais First Love tient finalement moins du défouloir nihiliste que du conte moral.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Est-ce donc le grand retour de ce réalisateur, inégal et prolifique, à l'oeuvre parfois parcourue de génie, parfois de médiocrité ? Restons mesurés. On ne gardera certes pas un souvenir impérissable de ce Miike 2019, mais on y aura été suffisamment amusés et attendris par sa fraîcheur juvénile pour ne pas non plus le bouder.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Robin Cannone
Un film d’action aussi tranchant qu’un sabre de samouraï.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Takashi Miike signe un polar délirant, violent et hilarant, sur fond de guerre des gangs à Tokyo.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Bien rythmée, assez gratuite, ultra-violente mais ludique car distanciée, cette “déconnade” de Takashi Miike est aussi une galerie de portraits hauts en couleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Trop long mais délicieusement enragé.
Positif
par William Le Personnic
Ce mélange détonnant de genres, à la fois burlesque (idées saugrenues et macabres de corps démembrés), romantique (loin de la subtilité d’un Ryusuke Hamaguchi) et rempli de visions fantasmagoriques a tendance à se phagocyter sur la longueur.
Première
par Frédéric Foubert
Le film file à cent à l’heure, s’autorise des embardées romantiques, un détour par l’animation, et délivre incontestablement son quota de fun et d’adrénaline. Mais le chaos mis en scène ici paraît souvent forcé, mécanique, et l’excitation provoquée en nous, presque trop pavlovienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par François Forestier
Côté violence, carton plein. Il y a un massacre final, tout le monde flingue tout le monde. Miike a ses fans, mais ce n’est pas du cinéma. C’est de la bouillabaisse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Une telle hybridation de violence et de comique est évidemment risquée mais Miike agence ces éléments avec maestria.
Ecran Large
Sous des airs de film fou et fragile, se cache une leçon de cinéma et de narration orchestrée par un grand Takashi Miike, capable ici de mêler polar social, élans romanesques et démence gore avec une inventivité et un style impressionnants.
L'Express
Film violent aux accents pop (à l'image de l'amusante séquence animée), First Love montre que le cinéaste japonais en a visiblement encore sous la pédale. Décapant.
Le Parisien
Scènes d'action sanglante, quiproquos, rebondissements à la pelle… ce « First Love » fait plus qu'évoquer le Quentin Tarantino des débuts. Des références haut de gamme pour un polar survitaminé.
Mad Movies
Imparfait mais furieusement attachant, "First Love, le dernier yakuza" semble annoncer une seconde jeunesse pour Miike [...].
Télérama
Un cinéma de l’outrance, aussi inventif que jouissif.
aVoir-aLire.com
Entre comédie burlesque, film de kung-fu facétieux, et thriller vertigineux, First Love, le dernier Yakuza fait œuvre d’une inventivité et d’un rythme absolument jubilatoires.
20 Minutes
On s’y perd parfois un peu, mais on se laisse emporter par l’énergie du cinéaste japonais.
CinemaTeaser
Un spectacle euphorisant qui sait aussi, pour son bien et celui de son public, baisser les armes et révéler son grand coeur.
Critikat.com
Ce déferlement de violence pourrait s'épuiser s’il n’avait que pour fonction de fournir un divertissement simplement transgressif, mais First Love tient finalement moins du défouloir nihiliste que du conte moral.
Culturopoing.com
Est-ce donc le grand retour de ce réalisateur, inégal et prolifique, à l'oeuvre parfois parcourue de génie, parfois de médiocrité ? Restons mesurés. On ne gardera certes pas un souvenir impérissable de ce Miike 2019, mais on y aura été suffisamment amusés et attendris par sa fraîcheur juvénile pour ne pas non plus le bouder.
Le Figaro
Un film d’action aussi tranchant qu’un sabre de samouraï.
Le Monde
Takashi Miike signe un polar délirant, violent et hilarant, sur fond de guerre des gangs à Tokyo.
Les Fiches du Cinéma
Bien rythmée, assez gratuite, ultra-violente mais ludique car distanciée, cette “déconnade” de Takashi Miike est aussi une galerie de portraits hauts en couleur.
Le Journal du Dimanche
Trop long mais délicieusement enragé.
Positif
Ce mélange détonnant de genres, à la fois burlesque (idées saugrenues et macabres de corps démembrés), romantique (loin de la subtilité d’un Ryusuke Hamaguchi) et rempli de visions fantasmagoriques a tendance à se phagocyter sur la longueur.
Première
Le film file à cent à l’heure, s’autorise des embardées romantiques, un détour par l’animation, et délivre incontestablement son quota de fun et d’adrénaline. Mais le chaos mis en scène ici paraît souvent forcé, mécanique, et l’excitation provoquée en nous, presque trop pavlovienne.
L'Obs
Côté violence, carton plein. Il y a un massacre final, tout le monde flingue tout le monde. Miike a ses fans, mais ce n’est pas du cinéma. C’est de la bouillabaisse.