Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
La force poétique de Ghost Tropic nous fait basculer du trivial à l’extraordinaire, filmant le quotidien comme un pur objet de désir.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Rares sont les films aujourd’hui capables de réactiver, sans tomber dans la caricature, l’hypothèse d’un cinéma moderne, assez émancipé du récit traditionnel pour s’en remettre à ses ressources les plus élémentaires que sont l’espace et le temps. C’est précisément ce qui fait la réussite de Ghost Tropic (...).
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Ghost Tropic" est un film qui lévite sur la ville, sur la société qu'il habite et sur le cinéma social dont il est le cousin éloigné. (...) Le réenchantement du monde proposé par "Ghost Tropic" est aussi modeste que sublime et engagé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
"Ghost Tropic", troisième film du Belge Bas Devos, pourrait sembler un peu candide s’il ne démontrait pas aussi que la bonté n’est ni innocente ni miraculeuse, qu’elle peut même amener à dénoncer son prochain et qu’elle ne sauve pas forcément une vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Le minimalisme n’est pas strict dispositif : les détails résonnent délicatement et font vibrer une cité complexe qu’on parcourt sans prétendre la cerner. Les images restent en tête autant que le titre laisse songer.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bas Devos manque encore d’affirmation dans sa mise en scène, mais son film, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, est soutenu par un regard social et poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans cette aventure ordinaire qui trottine du côté de Chantal Ackerman, le banal n’est jamais simple.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une leçon d’humanité hélas plombée par la mise en scène qui abuse des plans fixes contemplatifs. Ils cassent le rythme de ce récit en temps réel quasiment sans dialogues.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Ce film esthétisant se fait avoir par les bonnes intentions du scénario et le trajet du personnage patine sur place par manque d’enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Arrivée au terminus, elle se retrouve lâchée et coincée dans un lieu qu’elle ne connaît pas. Elle devient ce corps étranger dans un espace nocturne et dépeuplé. Son retour chez elle prend des allures de (trop) lente épopée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
La force poétique de Ghost Tropic nous fait basculer du trivial à l’extraordinaire, filmant le quotidien comme un pur objet de désir.
Le Monde
Rares sont les films aujourd’hui capables de réactiver, sans tomber dans la caricature, l’hypothèse d’un cinéma moderne, assez émancipé du récit traditionnel pour s’en remettre à ses ressources les plus élémentaires que sont l’espace et le temps. C’est précisément ce qui fait la réussite de Ghost Tropic (...).
Les Inrockuptibles
"Ghost Tropic" est un film qui lévite sur la ville, sur la société qu'il habite et sur le cinéma social dont il est le cousin éloigné. (...) Le réenchantement du monde proposé par "Ghost Tropic" est aussi modeste que sublime et engagé.
Libération
"Ghost Tropic", troisième film du Belge Bas Devos, pourrait sembler un peu candide s’il ne démontrait pas aussi que la bonté n’est ni innocente ni miraculeuse, qu’elle peut même amener à dénoncer son prochain et qu’elle ne sauve pas forcément une vie.
Positif
Le minimalisme n’est pas strict dispositif : les détails résonnent délicatement et font vibrer une cité complexe qu’on parcourt sans prétendre la cerner. Les images restent en tête autant que le titre laisse songer.
L'Obs
Bas Devos manque encore d’affirmation dans sa mise en scène, mais son film, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, est soutenu par un regard social et poétique.
Télérama
Dans cette aventure ordinaire qui trottine du côté de Chantal Ackerman, le banal n’est jamais simple.
Le Journal du Dimanche
Une leçon d’humanité hélas plombée par la mise en scène qui abuse des plans fixes contemplatifs. Ils cassent le rythme de ce récit en temps réel quasiment sans dialogues.
Les Fiches du Cinéma
Ce film esthétisant se fait avoir par les bonnes intentions du scénario et le trajet du personnage patine sur place par manque d’enjeux.
Première
Arrivée au terminus, elle se retrouve lâchée et coincée dans un lieu qu’elle ne connaît pas. Elle devient ce corps étranger dans un espace nocturne et dépeuplé. Son retour chez elle prend des allures de (trop) lente épopée.