Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Politique et direct, le drame de Juris Kursietis se joue habilement de l'apparente modestie de sa forme pour délivrer un coup de poing déchirant sur les conditions de vie des travailleurs détachés et l'attitude prédatrice de l'Europe.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Oleg représente le triste visage de cet esclavagisme moderne. Ce qu’il va comprendre en étant forcé de faire un choix. Il doit accepter son statut de victime ou s’enfuir. Le garçon boucher n’est rien d’autre qu’un morceau de viande, dévoré par tout un système.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Féroce critique sociale, « Oleg » est, aussi, un trip violent, un peu trop long. Mais c’est du cinéma à haut degré d’octane, bien vu et bienvenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
L'image épurée s'associe au travail sur les lumières, projetant une foi en l'humanité malgré la noirceur environnante.
Le Point
par Olivier Ubertalli
Un film glaçant, avec quelques bouffées d'oxygène et une fin originale.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Visuellement maîtrisé, loin de toute sécheresse intellectuelle, ce thriller est riche en niveaux de lectures.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
POUR : Finalement, l'oppression est patente mais la démonstration est efficace.
Positif
par Vincent Thabourey
Le sombre réalisme d'"Oleg" a ainsi des allures de conte moderne, de récit politique offensif, de manifeste pour le respect de l'altérité.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un puissant drame social imprégné de mysticisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film âpre, qui décrit sans concession le parcours impitoyable de vulnérabilité et de pauvreté d’un jeune immigré letton. Saisissant et indispensable, pour appréhender de l’intérieur les parcours migratoires en Europe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
À travers les galères d’un travailleur déplacé, Juris Kursietis tire un portrait effrayant d’une Europe déshumanisée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Eugénie Zvonkine
Même si le film veille à ne jamais tomber dans le cliché et à donner une vision des choses fine, ce n’est pas là qu’il nous emporte le plus, mais plutôt dans l’efficacité et la justesse des univers qu’il plante et de certaines situations plus anodines que vit le héros.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Caméra à l'épaule, Kursietis filme à hauteur d'homme, à hauteur du désespoir d'Oleg et de sa rage de s'en sortir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La dénonciation est directe, et gagnerait sans doute en force si, cédant à une vérité quasi documentaire, le réalisateur ne se croyait obligé d'adopter le format carré du reportage et de filmer caméra à l'épaule (...). Mais le côté bon enfant d'Oleg met le spectateur de son côté.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Son réalisateur émeut sans céder un pouce au pathos et embarque le spectateur, qui ne lâche pas d’une semelle son héros dans une tragédie désespérément ordinaire portée par des comédiens convaincants.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Film résolument sombre, Oleg raconte l’impossible rencontre entre un esclave des temps modernes et ses contemporains, quand bien même ils vivent tous dans une grande métropole occidentale dite « libre », ici Bruxelles.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Les amateurs de scénarios bien noirs, tant sur le fond que sur la forme, seront sensibles à cette œuvre d'une incontestable densité avec des personnages assez puissamment dessinés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario est relativement classique, même si richement documenté, la mise en scène caméra à l'épaule est particulièrement inspirée, réservant de belles respirations lyriques à un récit édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si, au fil du récit, le spectateur comprend ce qui ligote Oleg, c’est davantage sa passivité pourtant que son enfermement qui transparaît. Cette inertie semble d’autant plus forte que les épreuves s’accumulent sans réaction d’Oleg – ou si peu. Pourquoi ne s’enfuit-il pas ? Cette question obsédante le tient à distance et empêche une véritable empathie, voire un intérêt.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thierry Chèze
Pourtant, Oleg tient la route grâce à ce parti pris de plans qui enferment les personnages dans le cadre pour traduire la sensation d’étouffement du protagoniste. Dommage alors qu’il se perde dans de pataudes séquences oniriques péniblement redondantes avec le sujet, montrant Oleg prisonnier d’une eau glaciale et incapable de remonter à la surface.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
Un énième succédané de film de festival doloriste et déprimant, aussitôt vu aussitôt oublié.
Critikat.com
par Josué Morel
Le problème ne tient toutefois pas à ce que le film cherche un peu balourdement à montrer [...], mais plutôt à la façon dont il s’articule autour d’une série de purs arbitraires scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Camille Nevers
Nous voici plutôt dans une fiction vériste et vieillotte. Il faut aimer ce genre-là de parcours fléché où tout est joué d’avance et rien ne nous sera épargné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
CONTRE : Un sujet anxiogène (l'esclavage moderne) traité en gros plans étouffants.
Ecran Large
Politique et direct, le drame de Juris Kursietis se joue habilement de l'apparente modestie de sa forme pour délivrer un coup de poing déchirant sur les conditions de vie des travailleurs détachés et l'attitude prédatrice de l'Europe.
L'Humanité
Oleg représente le triste visage de cet esclavagisme moderne. Ce qu’il va comprendre en étant forcé de faire un choix. Il doit accepter son statut de victime ou s’enfuir. Le garçon boucher n’est rien d’autre qu’un morceau de viande, dévoré par tout un système.
L'Obs
Féroce critique sociale, « Oleg » est, aussi, un trip violent, un peu trop long. Mais c’est du cinéma à haut degré d’octane, bien vu et bienvenu.
La Septième Obsession
L'image épurée s'associe au travail sur les lumières, projetant une foi en l'humanité malgré la noirceur environnante.
Le Point
Un film glaçant, avec quelques bouffées d'oxygène et une fin originale.
Les Fiches du Cinéma
Visuellement maîtrisé, loin de toute sécheresse intellectuelle, ce thriller est riche en niveaux de lectures.
Ouest France
POUR : Finalement, l'oppression est patente mais la démonstration est efficace.
Positif
Le sombre réalisme d'"Oleg" a ainsi des allures de conte moderne, de récit politique offensif, de manifeste pour le respect de l'altérité.
Télérama
Un puissant drame social imprégné de mysticisme.
aVoir-aLire.com
Un film âpre, qui décrit sans concession le parcours impitoyable de vulnérabilité et de pauvreté d’un jeune immigré letton. Saisissant et indispensable, pour appréhender de l’intérieur les parcours migratoires en Europe.
CinemaTeaser
À travers les galères d’un travailleur déplacé, Juris Kursietis tire un portrait effrayant d’une Europe déshumanisée.
Culturopoing.com
Même si le film veille à ne jamais tomber dans le cliché et à donner une vision des choses fine, ce n’est pas là qu’il nous emporte le plus, mais plutôt dans l’efficacité et la justesse des univers qu’il plante et de certaines situations plus anodines que vit le héros.
Franceinfo Culture
Caméra à l'épaule, Kursietis filme à hauteur d'homme, à hauteur du désespoir d'Oleg et de sa rage de s'en sortir.
Le Dauphiné Libéré
La dénonciation est directe, et gagnerait sans doute en force si, cédant à une vérité quasi documentaire, le réalisateur ne se croyait obligé d'adopter le format carré du reportage et de filmer caméra à l'épaule (...). Mais le côté bon enfant d'Oleg met le spectateur de son côté.
Le Journal du Dimanche
Son réalisateur émeut sans céder un pouce au pathos et embarque le spectateur, qui ne lâche pas d’une semelle son héros dans une tragédie désespérément ordinaire portée par des comédiens convaincants.
Le Monde
Film résolument sombre, Oleg raconte l’impossible rencontre entre un esclave des temps modernes et ses contemporains, quand bien même ils vivent tous dans une grande métropole occidentale dite « libre », ici Bruxelles.
Le Parisien
Les amateurs de scénarios bien noirs, tant sur le fond que sur la forme, seront sensibles à cette œuvre d'une incontestable densité avec des personnages assez puissamment dessinés.
Paris Match
Si le scénario est relativement classique, même si richement documenté, la mise en scène caméra à l'épaule est particulièrement inspirée, réservant de belles respirations lyriques à un récit édifiant.
La Croix
Si, au fil du récit, le spectateur comprend ce qui ligote Oleg, c’est davantage sa passivité pourtant que son enfermement qui transparaît. Cette inertie semble d’autant plus forte que les épreuves s’accumulent sans réaction d’Oleg – ou si peu. Pourquoi ne s’enfuit-il pas ? Cette question obsédante le tient à distance et empêche une véritable empathie, voire un intérêt.
Première
Pourtant, Oleg tient la route grâce à ce parti pris de plans qui enferment les personnages dans le cadre pour traduire la sensation d’étouffement du protagoniste. Dommage alors qu’il se perde dans de pataudes séquences oniriques péniblement redondantes avec le sujet, montrant Oleg prisonnier d’une eau glaciale et incapable de remonter à la surface.
Cahiers du Cinéma
Un énième succédané de film de festival doloriste et déprimant, aussitôt vu aussitôt oublié.
Critikat.com
Le problème ne tient toutefois pas à ce que le film cherche un peu balourdement à montrer [...], mais plutôt à la façon dont il s’articule autour d’une série de purs arbitraires scénaristiques.
Libération
Nous voici plutôt dans une fiction vériste et vieillotte. Il faut aimer ce genre-là de parcours fléché où tout est joué d’avance et rien ne nous sera épargné.
Ouest France
CONTRE : Un sujet anxiogène (l'esclavage moderne) traité en gros plans étouffants.