Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Un coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Luc Chessel
"Sortilège" se tient au point de rencontre du contrôle et de l’aléatoire, de l’interprétation virtuose et du pur flottement, caractéristique du cinéma d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Sous ses airs de trip poétique halluciné - le film propose une expérience visuelle et sonore envoûtante - "Sortilège" nous interroge : pourquoi le tissu du réel parfois se déchire ? Qu’est-ce que cela nous dit sur la réalité ?
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Allez vite voir Sortilège : non seulement parce que le deuxième long métrage d’Ala Eddine Slim est très bon, mais surtout parce que sa découverte en salle est nécessaire à l’expérience.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Organique et onirique.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le personnage du soldat ne cesse de se transformer (...). A travers lui, le film revêt une forme mutante, semé de signes occultes. A ce titre, sa plus belle idée réside dans les échanges secrets entre le soldat et sa protégée, qui se passent de parole, leurs termes s’inscrivant dans les rétines des intéressés, à l’occasion de gros plans proprement sublimes.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Il y a dans le dernier formidable film d’Ala Eddine Slim quelque chose de l’ordre du blason, un art du détail (anatomique, politique, poétique) qui agresse le réel avec un regard noir et amoureux, et l'entraîne dans un éloge de la marge d'une saisissante humanité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le cinéaste tunisien revient avec un coup de force plastique à la lisière du cinéma expérimental. Éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
Que le cinéma tunisien emprunte une voie aussi inattendue – parfois déroutante, mais avec une telle audace et de façon aussi brillante – est une bonne nouvelle.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une allégorie vertigineuse qui aurait gagné à être resserrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
"Sortilège" est un film âpre qui dérange le confort du spectateur. Un film sonore et pourtant quasi muet, où les personnages communiquent à coup d’iris grand ouvert.
Critikat.com
par Thomas Grignon
L’allégorie finale, très lourde, révèle la véritable nature de Sortilège (Tlamess) : celle d’un film par endroit passionnant, mais dont l’effondrement en cours de route suscite moins la déception qu’une frustration confinant à l’agacement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le réalisateur avoue avoir fumé beaucoup de cannabis en écrivant le scénario. C’est clair mais cela ne rend pas le film génial.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Christophe Narbonne
Autant dire qu’il faut s’accrocher et laisser toute rationalité de côté pour apprécier ce – très lent – conte initiatique où l’on suit, tour à tour, la fuite éperdue d’un déserteur, puis l’égarement d’une jeune femme enceinte dans la forêt-refuge qui abrite le premier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
On est d’abord fasciné par la beauté hypnotique des scènes, l’opacité énigmatique du personnage principal. Pour finalement buter sur l’artifice et le symbolisme appuyé d’une réalisation en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Un coup de maître.
Libération
"Sortilège" se tient au point de rencontre du contrôle et de l’aléatoire, de l’interprétation virtuose et du pur flottement, caractéristique du cinéma d’aujourd’hui.
Transfuge
Sous ses airs de trip poétique halluciné - le film propose une expérience visuelle et sonore envoûtante - "Sortilège" nous interroge : pourquoi le tissu du réel parfois se déchire ? Qu’est-ce que cela nous dit sur la réalité ?
Cahiers du Cinéma
Allez vite voir Sortilège : non seulement parce que le deuxième long métrage d’Ala Eddine Slim est très bon, mais surtout parce que sa découverte en salle est nécessaire à l’expérience.
Le Journal du Dimanche
Organique et onirique.
Le Monde
Le personnage du soldat ne cesse de se transformer (...). A travers lui, le film revêt une forme mutante, semé de signes occultes. A ce titre, sa plus belle idée réside dans les échanges secrets entre le soldat et sa protégée, qui se passent de parole, leurs termes s’inscrivant dans les rétines des intéressés, à l’occasion de gros plans proprement sublimes.
Les Fiches du Cinéma
Il y a dans le dernier formidable film d’Ala Eddine Slim quelque chose de l’ordre du blason, un art du détail (anatomique, politique, poétique) qui agresse le réel avec un regard noir et amoureux, et l'entraîne dans un éloge de la marge d'une saisissante humanité.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste tunisien revient avec un coup de force plastique à la lisière du cinéma expérimental. Éblouissant.
Positif
Que le cinéma tunisien emprunte une voie aussi inattendue – parfois déroutante, mais avec une telle audace et de façon aussi brillante – est une bonne nouvelle.
L'Obs
Une allégorie vertigineuse qui aurait gagné à être resserrée.
La Septième Obsession
"Sortilège" est un film âpre qui dérange le confort du spectateur. Un film sonore et pourtant quasi muet, où les personnages communiquent à coup d’iris grand ouvert.
Critikat.com
L’allégorie finale, très lourde, révèle la véritable nature de Sortilège (Tlamess) : celle d’un film par endroit passionnant, mais dont l’effondrement en cours de route suscite moins la déception qu’une frustration confinant à l’agacement.
L'Humanité
Le réalisateur avoue avoir fumé beaucoup de cannabis en écrivant le scénario. C’est clair mais cela ne rend pas le film génial.
Première
Autant dire qu’il faut s’accrocher et laisser toute rationalité de côté pour apprécier ce – très lent – conte initiatique où l’on suit, tour à tour, la fuite éperdue d’un déserteur, puis l’égarement d’une jeune femme enceinte dans la forêt-refuge qui abrite le premier.
Télérama
On est d’abord fasciné par la beauté hypnotique des scènes, l’opacité énigmatique du personnage principal. Pour finalement buter sur l’artifice et le symbolisme appuyé d’une réalisation en roue libre.