Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Figaro
par Ariane Bavelier
Original, le film de Levan Akin évoque la danse géorgienne avec délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Bien documenté sur la danse traditionnelle du pays – très physique et spectaculaire –, le scénario est également riche en personnages secondaires, accrocheurs et révélateurs d’un milieu singulier où le nationalisme est vivace.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Si le scénario est très classique, la mise en scène des séquences de danse et d’amour emporte le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Par la danse, habituel vecteur de liberté, s’exerce un système de contraintes ; par la danse s’exprimera l’affirmation de la singularité de Merad (le formidable acteur débutant Levan Gelbakhiani), tout à la fois humaine, artistique et sentimentale. La "vraie" danse en est différée, promesse d’un titre, pari sur l’avenir, mais ce premier long métrage constitue un bon échauffement, tout en légèreté, plein d’élans sincères et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Ève Beauvallet
[...] un élégant film d’apprentissage sur des ados en pic d’hormones [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Salubre et jouissif !
Télérama
par Louis Guichard
Tourné, pour ces raisons mêmes, dans des conditions difficiles par un fils de Géorgiens exilé en Suède, Et puis nous danserons brille d’abord par le récit, tout en exaltation juvénile, d’un premier amour. Puis bouleverse par l’évocation d’une impasse personnelle et politique, avec la révolte et la fuite à l’horizon. Une magnifique révélation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un groupe de jeunes danseurs et danseuses dans la Géorgie d’aujourd’hui dans un film original et attachant à découvrir à l’approche de l’hiver.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Tout en nuances, "Et puis nous danserons" a le mérite de ne pas juger. Jamais provocateur, le film ne simplifie jamais non plus les enjeux. Utile.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fois admis que le film s’en tiendra à son côté pittoresque et au soutien qu’il apporte à la communauté gay de Géorgie – dont la reconnaissance est encore loin d’être acquise –, il est permis de savourer cette fiction un peu convenue mais émouvante, grâce à la beauté des chorégraphies viriles et aux deux garçons énamourés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Enraciné dans la banalité du quotidien et le carcan moral des anciens, Et puis nous danserons dessine le portrait rapproché d'une jeunesse impatiente de se libérer. A voir.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Cette romance adolescente sans surprises, un peu convenue est l’occasion pour le réalisateur de faire le portrait de la jeunesse géorgienne, à l'asphyxie, cadenassée par une société conservatrice et intolérante .
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Thierry Chèze
Il y a quelque chose d’assez inattaquable dans ce film découvert à la Quinzaine des réalisateurs (...). Et pourtant, Et puis nous danserons ne convainc pas entièrement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Original, le film de Levan Akin évoque la danse géorgienne avec délicatesse.
Le Journal du Dimanche
Bien documenté sur la danse traditionnelle du pays – très physique et spectaculaire –, le scénario est également riche en personnages secondaires, accrocheurs et révélateurs d’un milieu singulier où le nationalisme est vivace.
Les Fiches du Cinéma
Si le scénario est très classique, la mise en scène des séquences de danse et d’amour emporte le morceau.
Les Inrockuptibles
Par la danse, habituel vecteur de liberté, s’exerce un système de contraintes ; par la danse s’exprimera l’affirmation de la singularité de Merad (le formidable acteur débutant Levan Gelbakhiani), tout à la fois humaine, artistique et sentimentale. La "vraie" danse en est différée, promesse d’un titre, pari sur l’avenir, mais ce premier long métrage constitue un bon échauffement, tout en légèreté, plein d’élans sincères et courageux.
Libération
[...] un élégant film d’apprentissage sur des ados en pic d’hormones [...].
Positif
Salubre et jouissif !
Télérama
Tourné, pour ces raisons mêmes, dans des conditions difficiles par un fils de Géorgiens exilé en Suède, Et puis nous danserons brille d’abord par le récit, tout en exaltation juvénile, d’un premier amour. Puis bouleverse par l’évocation d’une impasse personnelle et politique, avec la révolte et la fuite à l’horizon. Une magnifique révélation.
aVoir-aLire.com
Un groupe de jeunes danseurs et danseuses dans la Géorgie d’aujourd’hui dans un film original et attachant à découvrir à l’approche de l’hiver.
Franceinfo Culture
Tout en nuances, "Et puis nous danserons" a le mérite de ne pas juger. Jamais provocateur, le film ne simplifie jamais non plus les enjeux. Utile.
L'Obs
Une fois admis que le film s’en tiendra à son côté pittoresque et au soutien qu’il apporte à la communauté gay de Géorgie – dont la reconnaissance est encore loin d’être acquise –, il est permis de savourer cette fiction un peu convenue mais émouvante, grâce à la beauté des chorégraphies viriles et aux deux garçons énamourés.
Le Monde
Enraciné dans la banalité du quotidien et le carcan moral des anciens, Et puis nous danserons dessine le portrait rapproché d'une jeunesse impatiente de se libérer. A voir.
Culturopoing.com
Cette romance adolescente sans surprises, un peu convenue est l’occasion pour le réalisateur de faire le portrait de la jeunesse géorgienne, à l'asphyxie, cadenassée par une société conservatrice et intolérante .
Première
Il y a quelque chose d’assez inattaquable dans ce film découvert à la Quinzaine des réalisateurs (...). Et pourtant, Et puis nous danserons ne convainc pas entièrement.