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Lav Diaz diffracte les ténèbres d'une dictature dans un monochrome de noir et d'argent. La nuit de la terreur n'en finit pas et nous voilà saisis d'effroi et de fascination devant le chef-d'oeuvre de cinéma grotesque qui la raconte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Nocturne, "Halte" joue des codes du film noir et de ceux de la science-fiction, sur un scénario riche et astucieux, à la mise en scène inventive, au service d’un message humaniste, contemporain et ambitieux.
Porté par une mise en scène somptueuse et un noir et blanc qui prend ici plus que jamais tout son sens, Halte est à la fois une fable captivante par sa beauté et un cri d’alarme terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Halte" est le symbole d’un cinéma toujours aussi ambitieux et démontre la liberté artistique d’un auteur passionnant. L’ère est peut-être plus sombre que jamais, la folie et le repli guettent mais Lav Diaz nous confirme que la lutte reste notre seule issue, peu importe quelle forme elle prendra.
Soit 4 heures 39 d'un noir et blanc intense et pluvieux dans lequel le cinéaste philippin déploie dans une mise en scène envoûtante, avec de longs plans séquences, les thèmes qui lui sont chers : la résistance au pouvoir et l'écologie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le prolifique réalisateur philippin Lav Diaz revient avec un drame d’anticipation puissant sur les enjeux politiques et climatiques du monde actuel. Envoûtant.
Dans "Halte", les cris des persécutés sont toujours déchirants mais étouffés, comme déjà morts. Cette nuit maléfique et éternelle a comme encapsulé son cinéma dans une allégorie un peu trop littérale où les choses semblent regardées de trop loin, plus avec l’œil clinique de l’observateur que celui du chaman.
Dans un noir et blanc très travaillé et des cadres élaborés, le cinéaste présente des morceaux de réalité en construction, dont la juxtaposition nécessite une durée longue pour que le tableau national soit le plus complet possible.
La rage politique qui sourd de chaque séquence, grotesque ou glaçante, ne suffit pourtant pas à imposer le film, qui est aussi l’un des plus enfermés de Diaz (…) Halte se cogne contre ses propres murs : il n’en va pas autrement de tous les désespérés.
Dystopie à la photographie soignée mais à la facture minimaliste et à l’esthétique radicale, "Halte" en exige trop de son spectateur pour que son propos politique puisse toucher le grand public.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Lav Diaz diffracte les ténèbres d'une dictature dans un monochrome de noir et d'argent. La nuit de la terreur n'en finit pas et nous voilà saisis d'effroi et de fascination devant le chef-d'oeuvre de cinéma grotesque qui la raconte.
L'Humanité
Halte est un film saisissant qui nous tient dans une gravité hypnotique, tant sa beauté formelle s’intègre à son sens du temps et de la narration.
Le Figaro
L'expérience est à ne pas rater.
Le Monde
Dans un noir et blanc induit par le scénario, le réalisateur installe un récit organique, kaléidoscopique.
Libération
Une fresque clairvoyante et un appel à la lutte.
Télérama
Une dystopie inventive contre le régime philippin.
Franceinfo Culture
Nocturne, "Halte" joue des codes du film noir et de ceux de la science-fiction, sur un scénario riche et astucieux, à la mise en scène inventive, au service d’un message humaniste, contemporain et ambitieux.
L'Obs
Certes, cela dure 4h36, mais vu le plaisir ressenti, c’est une qualité supplémentaire.
La Croix
Porté par une mise en scène somptueuse et un noir et blanc qui prend ici plus que jamais tout son sens, Halte est à la fois une fable captivante par sa beauté et un cri d’alarme terrifiant.
La Septième Obsession
"Halte" est le symbole d’un cinéma toujours aussi ambitieux et démontre la liberté artistique d’un auteur passionnant. L’ère est peut-être plus sombre que jamais, la folie et le repli guettent mais Lav Diaz nous confirme que la lutte reste notre seule issue, peu importe quelle forme elle prendra.
Le Journal du Dimanche
Avec ce foisonnant récit d’anticipation composé de longs et splendides plans fixes, Diaz exhorte au devoir de mémoire et au dessillement.
Le Parisien
Soit 4 heures 39 d'un noir et blanc intense et pluvieux dans lequel le cinéaste philippin déploie dans une mise en scène envoûtante, avec de longs plans séquences, les thèmes qui lui sont chers : la résistance au pouvoir et l'écologie.
Les Fiches du Cinéma
Le prolifique réalisateur philippin Lav Diaz revient avec un drame d’anticipation puissant sur les enjeux politiques et climatiques du monde actuel. Envoûtant.
Les Inrockuptibles
Dans "Halte", les cris des persécutés sont toujours déchirants mais étouffés, comme déjà morts. Cette nuit maléfique et éternelle a comme encapsulé son cinéma dans une allégorie un peu trop littérale où les choses semblent regardées de trop loin, plus avec l’œil clinique de l’observateur que celui du chaman.
Ouest France
Une longue transe sensible, d'une beauté formelle jamais écrasante.
Positif
Dans un noir et blanc très travaillé et des cadres élaborés, le cinéaste présente des morceaux de réalité en construction, dont la juxtaposition nécessite une durée longue pour que le tableau national soit le plus complet possible.
Première
Aux assauts brutaux d’un univers infernal, Diaz répond avec une douceur qui finit par contaminer même les plus incontrôlables. Une splendeur !
Cahiers du Cinéma
La rage politique qui sourd de chaque séquence, grotesque ou glaçante, ne suffit pourtant pas à imposer le film, qui est aussi l’un des plus enfermés de Diaz (…) Halte se cogne contre ses propres murs : il n’en va pas autrement de tous les désespérés.
Critikat.com
Reste que si "Halte" n’est pas dénué de fulgurances plastiques, et son découpage de rigueur, la charge manque ici et là de subtilité.
aVoir-aLire.com
Dystopie à la photographie soignée mais à la facture minimaliste et à l’esthétique radicale, "Halte" en exige trop de son spectateur pour que son propos politique puisse toucher le grand public.