Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Alice Odiot et Jean-Robert Viallet livrent un documentaire exceptionnel sur ceux qui étaient incarcérés dans le fameux établissement marseillais aujourd’hui fermé. Terrible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Catherine Balle
Les réalisateurs Alice Odiot et Jean-Robert Viallet ont filmé le centre pénitentiaire de Marseille pendant vingt-cinq jours. Ils signent un film bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Alice Odiot et Jean-Robert Viallet signent un documentaire puissant et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Benoit Basirico
Ce documentaire tourné en prison parvient avec brio à puiser ce qui reste d'humanité chez ces détenus en souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Antoine Le Fur
Assez édifiant dans son discours et brillant sur son dispositif cinématographique, "Des hommes" provoque un choc d'une rare intensité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il faut aussi saluer l’apport de la mise en scène, chaque cadre révélant la promiscuité des corps et la vétusté de cette maison d’arrêt. Salutaire, tant dans sa dimension sociétale que dans sa puissance humaniste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Instants de vie et de vérité, misère sociale, horizon zéro. Les documentaristes filment des hommes qui ont souvent des allures de gamins perdus. Remuant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Philibert Humm
Avec Des hommes, deux journalistes montrent l’ennui, la solitude et la peur dans la prison marseillaise. En toute sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Les réalisateurs parviennent à faire du cinéma (bande-son électro, témoignages de détenus greffés à des images où ils se taisent) d’une matière dense, sans que l’enquête se mue en spectacle complaisant ou voyeuriste.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
À travers une immersion de 25 jours dans la prison des Baumettes, Des hommes parvient à montrer, sans tomber dans le misérabilisme, ce qui reste d'humanité lorsqu'on est privé de toute liberté, et ouvre une réflexion sur les paradoxes du système judiciaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Belle réussite [qui] tient dans la façon dont "Des hommes" parvient à saisir quelque chose de l’expérience carcérale qui dépasse la simple description d’un monde en autarcie. Car ce qui accable, au-delà des multiples restrictions, c’est le poids du temps, qui s’incarne à l’écran et dont la pesanteur engourdit les corps et les esprits.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
"Des hommes" n’est ni le documentaire définitif sur la vie en milieu carcéral qu’il ne prétend pas être ni le portrait fouillé, en profondeur, en long ou en large, des personnes qui y apparaissent. Il réussit ce qui est peut-être un exploit, n’avoir pas tellement de «sujet» (beaucoup de films en ayant trop) dans un endroit où se posent les plus graves questions - la «privation de liberté», la justice et la loi, le crime ou la faute - et où elles se posent sous les formes du destin et de la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Des hommes confirme la vitalité d’un certain cinéma documentaire français, bien décidé à radiographier les réalités dérangeantes de l’Hexagone. Personne ne s’en plaindra.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
La puissance d'écoute tue dans l'oeuf tout misérabilisme.
Positif
par Vincent Thabourey
Le résultat de cette courte plongée dans l'univers carcéral est à la fois pudique et respectueux. Les monologues, justes et touchants, permettent d'accéder à une certaine proximité avec les détenus.
Télérama
par Marie Cailletet
Âpre et tendu, le film prend le pouls de cet univers de souffrance et de solitude, souvent privé d’horizon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
Malgré sa musique parfois sensationnaliste, le film n’a rien d’un tour de force.
Franceinfo Culture
par Manon Botticelli
Sans chercher à être exhaustif, ce documentaire raconte le milieu carcéral à travers les yeux de ceux qui le vivent.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Ce documentaire, très sobre, a bien sûr valeur de témoignage sur les Baumettes historiques, dont le bâtiment construit dans les années 1930 a été fermé fin juin 2018. Pourtant, sa force réside précisément dans sa faculté à en oublier le cadre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Au bout du compte, c’est à une expérience physique qu’a été soumis le spectateur. Elle vaut mieux que toutes les thèses.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Loin d’une analyse wisemanienne des rouages du lieu, "Des hommes" hésite constamment sur le point de vue à adopter – une indécision qui contamine la forme du film, pleine d’effets vides de sens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
Alice Odiot et Jean-Robert Viallet livrent un documentaire exceptionnel sur ceux qui étaient incarcérés dans le fameux établissement marseillais aujourd’hui fermé. Terrible.
Le Parisien
Les réalisateurs Alice Odiot et Jean-Robert Viallet ont filmé le centre pénitentiaire de Marseille pendant vingt-cinq jours. Ils signent un film bouleversant.
aVoir-aLire.com
Alice Odiot et Jean-Robert Viallet signent un documentaire puissant et magnifique.
Bande à part
Ce documentaire tourné en prison parvient avec brio à puiser ce qui reste d'humanité chez ces détenus en souffrance.
L'Express
Assez édifiant dans son discours et brillant sur son dispositif cinématographique, "Des hommes" provoque un choc d'une rare intensité.
L'Obs
Il faut aussi saluer l’apport de la mise en scène, chaque cadre révélant la promiscuité des corps et la vétusté de cette maison d’arrêt. Salutaire, tant dans sa dimension sociétale que dans sa puissance humaniste.
La Voix du Nord
Instants de vie et de vérité, misère sociale, horizon zéro. Les documentaristes filment des hommes qui ont souvent des allures de gamins perdus. Remuant.
Le Figaro
Avec Des hommes, deux journalistes montrent l’ennui, la solitude et la peur dans la prison marseillaise. En toute sobriété.
Le Journal du Dimanche
Les réalisateurs parviennent à faire du cinéma (bande-son électro, témoignages de détenus greffés à des images où ils se taisent) d’une matière dense, sans que l’enquête se mue en spectacle complaisant ou voyeuriste.
Les Fiches du Cinéma
À travers une immersion de 25 jours dans la prison des Baumettes, Des hommes parvient à montrer, sans tomber dans le misérabilisme, ce qui reste d'humanité lorsqu'on est privé de toute liberté, et ouvre une réflexion sur les paradoxes du système judiciaire.
Les Inrockuptibles
Belle réussite [qui] tient dans la façon dont "Des hommes" parvient à saisir quelque chose de l’expérience carcérale qui dépasse la simple description d’un monde en autarcie. Car ce qui accable, au-delà des multiples restrictions, c’est le poids du temps, qui s’incarne à l’écran et dont la pesanteur engourdit les corps et les esprits.
Libération
"Des hommes" n’est ni le documentaire définitif sur la vie en milieu carcéral qu’il ne prétend pas être ni le portrait fouillé, en profondeur, en long ou en large, des personnes qui y apparaissent. Il réussit ce qui est peut-être un exploit, n’avoir pas tellement de «sujet» (beaucoup de films en ayant trop) dans un endroit où se posent les plus graves questions - la «privation de liberté», la justice et la loi, le crime ou la faute - et où elles se posent sous les formes du destin et de la souffrance.
Marianne
Des hommes confirme la vitalité d’un certain cinéma documentaire français, bien décidé à radiographier les réalités dérangeantes de l’Hexagone. Personne ne s’en plaindra.
Ouest France
La puissance d'écoute tue dans l'oeuf tout misérabilisme.
Positif
Le résultat de cette courte plongée dans l'univers carcéral est à la fois pudique et respectueux. Les monologues, justes et touchants, permettent d'accéder à une certaine proximité avec les détenus.
Télérama
Âpre et tendu, le film prend le pouls de cet univers de souffrance et de solitude, souvent privé d’horizon.
Cahiers du Cinéma
Malgré sa musique parfois sensationnaliste, le film n’a rien d’un tour de force.
Franceinfo Culture
Sans chercher à être exhaustif, ce documentaire raconte le milieu carcéral à travers les yeux de ceux qui le vivent.
La Croix
Ce documentaire, très sobre, a bien sûr valeur de témoignage sur les Baumettes historiques, dont le bâtiment construit dans les années 1930 a été fermé fin juin 2018. Pourtant, sa force réside précisément dans sa faculté à en oublier le cadre.
Le Monde
Au bout du compte, c’est à une expérience physique qu’a été soumis le spectateur. Elle vaut mieux que toutes les thèses.
Critikat.com
Loin d’une analyse wisemanienne des rouages du lieu, "Des hommes" hésite constamment sur le point de vue à adopter – une indécision qui contamine la forme du film, pleine d’effets vides de sens.