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Ce premier film magistral, tourné sur deux ans, au gré des saisons, n'est pas un simple coup d'essai. C’est le premier volet d'une ambitieuse trilogie, dont on attend la suite avec impatience.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mais la beauté du film tient tout entière dans sa mise en scène très douce. (...) Gu Xiaogang filme beaucoup les paysages, et ses personnages au cœur de ceux-ci. (...) C'est tout simple, sans volonté d'en imposer, et pourtant majestueux et bouleversant.
Quitte à paraître un peu pompeux, on ose affirmer que cette façon de mettre chaque vie singulière en perspective avec l’évolution d’une famille, d’une société ou d’un paysage, tout en s’accordant au rythme des saisons aussi bien qu’aux soubresauts de l’histoire, touche à l’essence même du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[...] le jeune Gu Xiaogang impressionne par sa maîtrise du récit, des plans et des durées, une maîtrise qui n’est jamais m’as-tu-vue ou asséchante mais, au contraire, toute au service d’un film qui respire avec ampleur, à l’exacte intersection de l’ambition et de l’humilité.
La façon dont Gu Xiaogang noue tous ces fils d’une main sûre, construit un pont d’un art figuratif à un autre et imagine un raccord secret de siècles révolus à l’horizon prochain des Jeux olympiques : la richesse de ce premier film impressionne.
Dans ce film d’une grande virtuosité, le réalisateur de 31 ans déplie à la manière d’un rouleau de peinture ancienne, une chronique familiale sur trois générations et quatre saisons sur fond de mutations de la Chine urbaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le réalisateur ne verse jamais dans la virtuosité gratuite. Il montre une ville en pleine mutation, un chantier permanent. À ce chaos urbain répond une nature puissante et immuable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le spectateur est ainsi invité à se laisser captiver par de longs plans-séquence, bucoliques ou urbains, qui composent une peinture cinématographique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de Jia Zhangke, nourri de fiction entrelacée à des observations documentaires.
C’est ainsi par son attention aux détails, par son respect de la chose filmée, par sa chronique des jours, par le luxe de la durée qu’il s’offre à luimême (deux heures trente minutes) que Séjour dans les monts Fuchun offre une résistance discrète et élégiaque au bruit et à la fureur de la Chine contemporaine (...).
Présenté en clôture de la Semaine de la Critique, ce premier long métrage chinois au fil de l’eau et des quatre saisons suit la vie d’une famille, les mutations, les contraintes et les choix. Avec une poésie et une invention qui emportent et bouleversent.
"Séjour dans les monts Fuchun" répond à la modernisation, dont nul ne peut ignorer la puissance incomparable qu’elle exerce aujourd’hui en Chine. Il en reconnaît les aspects humains, progrès de la médecine ou libération, très relative, des femmes. Mais il montre à quel point cet esprit introduit dans la société une parcellisation qui n’existait en droit que dans le paysage, c’est-à-dire dans la mise en œuvre artistique d’un site : des maisons et des montagnes.
Séjour dans les monts Fuchun est un film choral qui n’a pas besoin de forcer pour exister. La caméra à hauteur de l’intime caresse les lieux et les êtres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Film-fleuve qui tient à la fois de la peinture chinoise ancienne et de la chronique familiale, Séjour dans les monts Fuchun frappe à la fois par sa simplicité de sa mise-en-scène, l’ampleur de sa narration et la poésie de ses plans-séquences.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Long-métrage inaugural du parcours d’un jeune prodige chinois : Gu Xiaogang. Dépaysement garanti et cinéma au sommet de son art.
L'Humanité
Ce premier film magistral, tourné sur deux ans, au gré des saisons, n'est pas un simple coup d'essai. C’est le premier volet d'une ambitieuse trilogie, dont on attend la suite avec impatience.
Les Inrockuptibles
Mais la beauté du film tient tout entière dans sa mise en scène très douce. (...) Gu Xiaogang filme beaucoup les paysages, et ses personnages au cœur de ceux-ci. (...) C'est tout simple, sans volonté d'en imposer, et pourtant majestueux et bouleversant.
Libération
Quitte à paraître un peu pompeux, on ose affirmer que cette façon de mettre chaque vie singulière en perspective avec l’évolution d’une famille, d’une société ou d’un paysage, tout en s’accordant au rythme des saisons aussi bien qu’aux soubresauts de l’histoire, touche à l’essence même du cinéma.
Transfuge
[...] le jeune Gu Xiaogang impressionne par sa maîtrise du récit, des plans et des durées, une maîtrise qui n’est jamais m’as-tu-vue ou asséchante mais, au contraire, toute au service d’un film qui respire avec ampleur, à l’exacte intersection de l’ambition et de l’humilité.
Cahiers du Cinéma
La façon dont Gu Xiaogang noue tous ces fils d’une main sûre, construit un pont d’un art figuratif à un autre et imagine un raccord secret de siècles révolus à l’horizon prochain des Jeux olympiques : la richesse de ce premier film impressionne.
CinemaTeaser
Quand la simplicité confine au sublime.
L'Obs
On a hâte de continuer à descendre le cours de cette œuvre magistrale.
La Croix
Dans ce film d’une grande virtuosité, le réalisateur de 31 ans déplie à la manière d’un rouleau de peinture ancienne, une chronique familiale sur trois générations et quatre saisons sur fond de mutations de la Chine urbaine.
Le Figaro
Le réalisateur ne verse jamais dans la virtuosité gratuite. Il montre une ville en pleine mutation, un chantier permanent. À ce chaos urbain répond une nature puissante et immuable.
Le Journal du Dimanche
Le spectateur est ainsi invité à se laisser captiver par de longs plans-séquence, bucoliques ou urbains, qui composent une peinture cinématographique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de Jia Zhangke, nourri de fiction entrelacée à des observations documentaires.
Le Monde
C’est ainsi par son attention aux détails, par son respect de la chose filmée, par sa chronique des jours, par le luxe de la durée qu’il s’offre à luimême (deux heures trente minutes) que Séjour dans les monts Fuchun offre une résistance discrète et élégiaque au bruit et à la fureur de la Chine contemporaine (...).
Les Fiches du Cinéma
Présenté en clôture de la Semaine de la Critique, ce premier long métrage chinois au fil de l’eau et des quatre saisons suit la vie d’une famille, les mutations, les contraintes et les choix. Avec une poésie et une invention qui emportent et bouleversent.
Positif
"Séjour dans les monts Fuchun" répond à la modernisation, dont nul ne peut ignorer la puissance incomparable qu’elle exerce aujourd’hui en Chine. Il en reconnaît les aspects humains, progrès de la médecine ou libération, très relative, des femmes. Mais il montre à quel point cet esprit introduit dans la société une parcellisation qui n’existait en droit que dans le paysage, c’est-à-dire dans la mise en œuvre artistique d’un site : des maisons et des montagnes.
Première
Séjour dans les monts Fuchun est un film choral qui n’a pas besoin de forcer pour exister. La caméra à hauteur de l’intime caresse les lieux et les êtres.
Télérama
Le premier volet d’une fresque familiale, et la naissance d’un grand cinéaste.
aVoir-aLire.com
Film-fleuve qui tient à la fois de la peinture chinoise ancienne et de la chronique familiale, Séjour dans les monts Fuchun frappe à la fois par sa simplicité de sa mise-en-scène, l’ampleur de sa narration et la poésie de ses plans-séquences.