Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] l'actrice réalise un premier film indépendant où son regard aquarelle sur le chagrin d'amour, cet "état incontrôlable", touche au coeur.
Positif
par Ariane Allard
Aussi intense que mélancolique et lucide. Déjà très maîtrisé quoique d'apparence improvisée. Lumineux et libre, au fond.
20 Minutes
par Caroline Vié
Hafsia Herzi a su apporter sa personnalité à l’histoire de Lila, jeune femme brisée par une rupture sentimentale, qu’elle incarne avec sensibilité.
BIBA
par Lili Yubari
Hafsia Herzi décrit parfaitement, avec très peu de moyens mais beaucoup de coeur, les chagrins d'amour qui ne passent pas.
Bande à part
par Olivier Pélisson
En douce, Hafsia Herzi a réalisé son premier long-métrage. Une balade impressionniste dans Paris. L’histoire d’un chagrin d’amour et d’une tentative de désintoxication, à laquelle elle donne elle-même corps. Un voyage simple, libre et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On pourrait trouver Tu mérites un amour anecdotique si l’on n’éprouvait pas cette actualité d’un regard.
GQ
par Étienne Menu
En dépit du sujet, le film peut faire beaucoup rire – notamment grâce au génial Djanis Bouzyani dans le rôle du meilleur ami gay – et dégage un parfum de liberté et d’improvisation qui fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tiré d’une pièce s’inspirant de cette histoire vraie, le film en conserve certaines séquelles un peu bavardes. Pourtant, cette histoire d’enfant sauvage, qui préluda à d’autres, est aussi une superbe réflexion sur la nature et l’essence de l’humanité, sur la violence et la cruauté de ses origines, exprimée grâce à un formidable travail expressionniste sur le noir et blanc (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène accompagne, effleure, mais n’insiste jamais, jusqu’à un épilogue magnifique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un premier film plein de justesse et de passion où, sur le thème de la solitude et de la difficulté de vivre dans un monde égoïste, Hafsia Herzi brosse un beau portrait de femme, de génération et de société.
Le Monde
par Clarisse Fabre
La lucidité de tous ces personnages sur la fragilité du lien amoureux, laquelle s’ajoute à la précarité ambiante, structure le récit et explique aussi, peut-être, le chagrin de Lila. La compétition n’est pas qu’économique, elle s’infiltre jusque dans sa vie intime et ouvre un champ d’inquiétudes infini.
Le Parisien
par La Rédaction
En alternant rires et larmes et en abordant des thèmes amoureux modernes tels que le rapport au corps et au sexe, Hafsia herzi nous épate avec ce premier film dont on ressort chamboulé, séduit, souriant, avec l'envie de la remercier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Porté par une lumineuse Hafsia Herzi qui fait ici ses premiers pas de réalisatrice, le film est un petit bijou, authentique, sensuel et souvent très drôle qui insuffle un vent de fraîcheur et d’originalité à la comédie romantique française.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Des yeux voilés par le spleen, des voix presque chuchotées, la torpeur du manque, une fin en suspension pleine d’audace : Hafsia Herzi mérite un amour, mais aussi amplement les louanges [pour] son œuvre d'une simplicité et d'une douceur désarmantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
"Tu mérites un amour" excelle à décrire les états du chagrin d’amour stagnant, façon supplice de Sisyphe, où l’on se contente de colmater ses blessures en attendant la rencontre qui fera, fatalement, récidiver.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Film à sketchs, ce « Mon roi » version art et essai fauché est une très belle surprise qui impose un regard débarrassé de toute afféterie et une grâce infinie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Tu mérites un amour" offre une œuvre solaire à la tristesse du désamour, à sa lenteur, à ses pièges, grâce à l’humour qui parcourt le récit et à des personnages bien dessinés, même lorsqu’ils ne sont qu’esquissés.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jérémie Couston
Et en matière d’érotisme, la réalisatrice se révèle une disciple de Kechiche : elle aussi cadre ses personnages au niveau des fesses, longuement, amoureusement, mais selon une parité qui fait la différence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Hasia Herzi impose un style à la fois énergique, plein de tchatche et de mélancolie.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Autour du thème universel du deuil amoureux, Hafsia Herzi réalise un premier long-métrage tendre et léger.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Il y a des redites, des maladresses [...] mais ces imperfections participent au charme de ce premier long-métrage fiévreux et touchant [...].
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À 32 ans, la comédienne Hafsia Herzi qui a fait ses débuts en 2007 dans La Graine et le Mulet réussit son passage à la réalisation, avec le récit d’une douloureuse rupture amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Hafsia Herzi capte son film dans un mélange vivifiant d’intuition, de réactivité, d’ironie et de complicité.
Le Figaro
par La Rédaction
Hafsia Herzi, qui interprète aussi le rôle principal, ne prétend pas bouleverser le septième art avec Tu mérites un amour. Elle a mieux à faire: mettre un chagrin en images, détailler des sentiments qui se percutent, citer un poème de Frida Kahlo, savoir que tout cela finira. L’avenir est là, qu’elle touche du doigt.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Entourée de jeunes comédiens épatants, tous parfaitement dirigés, l'actrice livre un récit à la fois simple et complexe, léger et grave, à l'image de la vie, s'imposant comme une réalisatrice à suivre.
Première
par Thierry Chèze
Hafsia Herzi convainc avec l’histoire d’une rupture dont elle tient aussi le rôle central avec une gourmandise contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
La mise en scène, au plus près des visages, densifie un scénario au début un peu lâche.
Marie Claire
[...] l'actrice réalise un premier film indépendant où son regard aquarelle sur le chagrin d'amour, cet "état incontrôlable", touche au coeur.
Positif
Aussi intense que mélancolique et lucide. Déjà très maîtrisé quoique d'apparence improvisée. Lumineux et libre, au fond.
20 Minutes
Hafsia Herzi a su apporter sa personnalité à l’histoire de Lila, jeune femme brisée par une rupture sentimentale, qu’elle incarne avec sensibilité.
BIBA
Hafsia Herzi décrit parfaitement, avec très peu de moyens mais beaucoup de coeur, les chagrins d'amour qui ne passent pas.
Bande à part
En douce, Hafsia Herzi a réalisé son premier long-métrage. Une balade impressionniste dans Paris. L’histoire d’un chagrin d’amour et d’une tentative de désintoxication, à laquelle elle donne elle-même corps. Un voyage simple, libre et lumineux.
Cahiers du Cinéma
On pourrait trouver Tu mérites un amour anecdotique si l’on n’éprouvait pas cette actualité d’un regard.
GQ
En dépit du sujet, le film peut faire beaucoup rire – notamment grâce au génial Djanis Bouzyani dans le rôle du meilleur ami gay – et dégage un parfum de liberté et d’improvisation qui fait un bien fou.
L'Humanité
Tiré d’une pièce s’inspirant de cette histoire vraie, le film en conserve certaines séquelles un peu bavardes. Pourtant, cette histoire d’enfant sauvage, qui préluda à d’autres, est aussi une superbe réflexion sur la nature et l’essence de l’humanité, sur la violence et la cruauté de ses origines, exprimée grâce à un formidable travail expressionniste sur le noir et blanc (...).
L'Obs
La mise en scène accompagne, effleure, mais n’insiste jamais, jusqu’à un épilogue magnifique.
Le Dauphiné Libéré
Un premier film plein de justesse et de passion où, sur le thème de la solitude et de la difficulté de vivre dans un monde égoïste, Hafsia Herzi brosse un beau portrait de femme, de génération et de société.
Le Monde
La lucidité de tous ces personnages sur la fragilité du lien amoureux, laquelle s’ajoute à la précarité ambiante, structure le récit et explique aussi, peut-être, le chagrin de Lila. La compétition n’est pas qu’économique, elle s’infiltre jusque dans sa vie intime et ouvre un champ d’inquiétudes infini.
Le Parisien
En alternant rires et larmes et en abordant des thèmes amoureux modernes tels que le rapport au corps et au sexe, Hafsia herzi nous épate avec ce premier film dont on ressort chamboulé, séduit, souriant, avec l'envie de la remercier.
Les Fiches du Cinéma
Porté par une lumineuse Hafsia Herzi qui fait ici ses premiers pas de réalisatrice, le film est un petit bijou, authentique, sensuel et souvent très drôle qui insuffle un vent de fraîcheur et d’originalité à la comédie romantique française.
Les Inrockuptibles
Des yeux voilés par le spleen, des voix presque chuchotées, la torpeur du manque, une fin en suspension pleine d’audace : Hafsia Herzi mérite un amour, mais aussi amplement les louanges [pour] son œuvre d'une simplicité et d'une douceur désarmantes.
Libération
"Tu mérites un amour" excelle à décrire les états du chagrin d’amour stagnant, façon supplice de Sisyphe, où l’on se contente de colmater ses blessures en attendant la rencontre qui fera, fatalement, récidiver.
Paris Match
Film à sketchs, ce « Mon roi » version art et essai fauché est une très belle surprise qui impose un regard débarrassé de toute afféterie et une grâce infinie.
Sud Ouest
"Tu mérites un amour" offre une œuvre solaire à la tristesse du désamour, à sa lenteur, à ses pièges, grâce à l’humour qui parcourt le récit et à des personnages bien dessinés, même lorsqu’ils ne sont qu’esquissés.
Télérama
Et en matière d’érotisme, la réalisatrice se révèle une disciple de Kechiche : elle aussi cadre ses personnages au niveau des fesses, longuement, amoureusement, mais selon une parité qui fait la différence.
Voici
Hasia Herzi impose un style à la fois énergique, plein de tchatche et de mélancolie.
aVoir-aLire.com
Autour du thème universel du deuil amoureux, Hafsia Herzi réalise un premier long-métrage tendre et léger.
L'Express
Il y a des redites, des maladresses [...] mais ces imperfections participent au charme de ce premier long-métrage fiévreux et touchant [...].
La Croix
À 32 ans, la comédienne Hafsia Herzi qui a fait ses débuts en 2007 dans La Graine et le Mulet réussit son passage à la réalisation, avec le récit d’une douloureuse rupture amoureuse.
La Septième Obsession
Hafsia Herzi capte son film dans un mélange vivifiant d’intuition, de réactivité, d’ironie et de complicité.
Le Figaro
Hafsia Herzi, qui interprète aussi le rôle principal, ne prétend pas bouleverser le septième art avec Tu mérites un amour. Elle a mieux à faire: mettre un chagrin en images, détailler des sentiments qui se percutent, citer un poème de Frida Kahlo, savoir que tout cela finira. L’avenir est là, qu’elle touche du doigt.
Le Journal du Dimanche
Entourée de jeunes comédiens épatants, tous parfaitement dirigés, l'actrice livre un récit à la fois simple et complexe, léger et grave, à l'image de la vie, s'imposant comme une réalisatrice à suivre.
Première
Hafsia Herzi convainc avec l’histoire d’une rupture dont elle tient aussi le rôle central avec une gourmandise contagieuse.
Télé 7 Jours
La mise en scène, au plus près des visages, densifie un scénario au début un peu lâche.