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Maîtrise impressionnante que celle du cinéaste islandais Hlynur Pálmason. La puissance de sa mise en scène, liée à l’humanité à vif de son scénario, et à la composition sidérante d’Ingvar Sigurdsson, composent une œuvre dont on ne sort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Un jour si blanc a des allures de film préapocalyptique, façon Take Shelter (2011), de Jeff Nichols, oeuvre placide bientôt travaillée par l’imminence d’une catastrophe. Ingimundur soupçonne sa femme décédée d’avoir eu une relation extraconjugale. Mais le sujet n’est pas tout : Palmason construit autour des scènes autonomes, magnifiques, comme on monte des maisons.
Sous ses faux airs de polar, le beau film stylisé de l’Islandais Hlynur Pálmason raconte la quête de vérité d’un homme qui soupçonne sa femme récemment disparue d’avoir mené une double vie. Un drame qui vire au thriller névrotique sur fond de paysages spectraux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Tandis que des images hantent le corps puissant du protagoniste, la texture argentique du film fait littéralement entrer les paysages dans les intérieurs, véhicules ou maisons.
Si Un jour si blanc se révèle un peu décevant sur le plan du récit policier et de l’étude psychologique, c’est qu’il doit être avant tout perçu comme une somme de petits événements visuels, rendus possibles par la beauté des paysages islandais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Situé dans une petite ville isolée d’Islande, le second long-métrage de Hlynur Palmason, Un jour si blanc, est aussi intéressant que le précédent. Plus intrigant grâce à une histoire concentrée sur un personnage ambivalent, presque inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Après l’intrigant "Winter Brothers", "Un Jour si blanc", deuxième film de l’Islandais Hlynur Pálmason, traite de manière un peu trop symbolique et surlignée du drame de la jalousie - une jalousie d’autant plus obsédante et agressive qu’elle concerne une morte.
Malgré une certaine rigidité formelle, le cinéaste islandais navigue prodigieusement entre les genres et fait coexister toute une palette de tonalités. L’art de Pálmason n’est jamais aussi pétillant et réjouissant que lorsqu’il scrute les enchaînements de désordres venant renverser la stabilité d’un monde bien en place.
Ingimundur pleure-t-il sa femme, une trahison posthume ou sur son sort ? Palmason le filme dans de grands espaces à l’horizon embrumé, comme une métaphore de son infini et écrasant monologue intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Ingvar Eggert Sigurðson apporte une grande sensibilité à son personnage.
Bande à part
Maîtrise impressionnante que celle du cinéaste islandais Hlynur Pálmason. La puissance de sa mise en scène, liée à l’humanité à vif de son scénario, et à la composition sidérante d’Ingvar Sigurdsson, composent une œuvre dont on ne sort pas indemne.
CinemaTeaser
Hlynur Palmason aime les images brutes et fortes, comme si l’éclair et le tonnerre frappaient sa caméra. Du cinéma revêche mais impressionnant.
Le Monde
Un jour si blanc a des allures de film préapocalyptique, façon Take Shelter (2011), de Jeff Nichols, oeuvre placide bientôt travaillée par l’imminence d’une catastrophe. Ingimundur soupçonne sa femme décédée d’avoir eu une relation extraconjugale. Mais le sujet n’est pas tout : Palmason construit autour des scènes autonomes, magnifiques, comme on monte des maisons.
Libération
Sous ses faux airs de polar, le beau film stylisé de l’Islandais Hlynur Pálmason raconte la quête de vérité d’un homme qui soupçonne sa femme récemment disparue d’avoir mené une double vie. Un drame qui vire au thriller névrotique sur fond de paysages spectraux.
Positif
Tandis que des images hantent le corps puissant du protagoniste, la texture argentique du film fait littéralement entrer les paysages dans les intérieurs, véhicules ou maisons.
Télérama
Soupçon d’adultère et désir de vengeance hantent ce drame contemplatif, exalté par la beauté sombre de la nature islandaise.
Critikat.com
Si Un jour si blanc se révèle un peu décevant sur le plan du récit policier et de l’étude psychologique, c’est qu’il doit être avant tout perçu comme une somme de petits événements visuels, rendus possibles par la beauté des paysages islandais.
L'Obs
Le sound design et la musique d’Edmund Finnis soulignent le charme de ce film étrange.
Le Figaro
Situé dans une petite ville isolée d’Islande, le second long-métrage de Hlynur Palmason, Un jour si blanc, est aussi intéressant que le précédent. Plus intrigant grâce à une histoire concentrée sur un personnage ambivalent, presque inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
Après l’intrigant "Winter Brothers", "Un Jour si blanc", deuxième film de l’Islandais Hlynur Pálmason, traite de manière un peu trop symbolique et surlignée du drame de la jalousie - une jalousie d’autant plus obsédante et agressive qu’elle concerne une morte.
Les Inrockuptibles
Malgré une certaine rigidité formelle, le cinéaste islandais navigue prodigieusement entre les genres et fait coexister toute une palette de tonalités. L’art de Pálmason n’est jamais aussi pétillant et réjouissant que lorsqu’il scrute les enchaînements de désordres venant renverser la stabilité d’un monde bien en place.
Première
Ingimundur pleure-t-il sa femme, une trahison posthume ou sur son sort ? Palmason le filme dans de grands espaces à l’horizon embrumé, comme une métaphore de son infini et écrasant monologue intérieur.