Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ingvar Eggert Sigurðson apporte une grande sensibilité à son personnage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Maîtrise impressionnante que celle du cinéaste islandais Hlynur Pálmason. La puissance de sa mise en scène, liée à l’humanité à vif de son scénario, et à la composition sidérante d’Ingvar Sigurdsson, composent une œuvre dont on ne sort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Hlynur Palmason aime les images brutes et fortes, comme si l’éclair et le tonnerre frappaient sa caméra. Du cinéma revêche mais impressionnant.
Le Monde
par Murielle Joudet
Un jour si blanc a des allures de film préapocalyptique, façon Take Shelter (2011), de Jeff Nichols, oeuvre placide bientôt travaillée par l’imminence d’une catastrophe. Ingimundur soupçonne sa femme décédée d’avoir eu une relation extraconjugale. Mais le sujet n’est pas tout : Palmason construit autour des scènes autonomes, magnifiques, comme on monte des maisons.
Libération
par Marius Chapuis
Sous ses faux airs de polar, le beau film stylisé de l’Islandais Hlynur Pálmason raconte la quête de vérité d’un homme qui soupçonne sa femme récemment disparue d’avoir mené une double vie. Un drame qui vire au thriller névrotique sur fond de paysages spectraux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Tandis que des images hantent le corps puissant du protagoniste, la texture argentique du film fait littéralement entrer les paysages dans les intérieurs, véhicules ou maisons.
Télérama
par Hélène Marzolf
Soupçon d’adultère et désir de vengeance hantent ce drame contemplatif, exalté par la beauté sombre de la nature islandaise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Grignon
Si Un jour si blanc se révèle un peu décevant sur le plan du récit policier et de l’étude psychologique, c’est qu’il doit être avant tout perçu comme une somme de petits événements visuels, rendus possibles par la beauté des paysages islandais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Le sound design et la musique d’Edmund Finnis soulignent le charme de ce film étrange.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Situé dans une petite ville isolée d’Islande, le second long-métrage de Hlynur Palmason, Un jour si blanc, est aussi intéressant que le précédent. Plus intrigant grâce à une histoire concentrée sur un personnage ambivalent, presque inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Après l’intrigant "Winter Brothers", "Un Jour si blanc", deuxième film de l’Islandais Hlynur Pálmason, traite de manière un peu trop symbolique et surlignée du drame de la jalousie - une jalousie d’autant plus obsédante et agressive qu’elle concerne une morte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Malgré une certaine rigidité formelle, le cinéaste islandais navigue prodigieusement entre les genres et fait coexister toute une palette de tonalités. L’art de Pálmason n’est jamais aussi pétillant et réjouissant que lorsqu’il scrute les enchaînements de désordres venant renverser la stabilité d’un monde bien en place.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Ingimundur pleure-t-il sa femme, une trahison posthume ou sur son sort ? Palmason le filme dans de grands espaces à l’horizon embrumé, comme une métaphore de son infini et écrasant monologue intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Ingvar Eggert Sigurðson apporte une grande sensibilité à son personnage.
Bande à part
Maîtrise impressionnante que celle du cinéaste islandais Hlynur Pálmason. La puissance de sa mise en scène, liée à l’humanité à vif de son scénario, et à la composition sidérante d’Ingvar Sigurdsson, composent une œuvre dont on ne sort pas indemne.
CinemaTeaser
Hlynur Palmason aime les images brutes et fortes, comme si l’éclair et le tonnerre frappaient sa caméra. Du cinéma revêche mais impressionnant.
Le Monde
Un jour si blanc a des allures de film préapocalyptique, façon Take Shelter (2011), de Jeff Nichols, oeuvre placide bientôt travaillée par l’imminence d’une catastrophe. Ingimundur soupçonne sa femme décédée d’avoir eu une relation extraconjugale. Mais le sujet n’est pas tout : Palmason construit autour des scènes autonomes, magnifiques, comme on monte des maisons.
Libération
Sous ses faux airs de polar, le beau film stylisé de l’Islandais Hlynur Pálmason raconte la quête de vérité d’un homme qui soupçonne sa femme récemment disparue d’avoir mené une double vie. Un drame qui vire au thriller névrotique sur fond de paysages spectraux.
Positif
Tandis que des images hantent le corps puissant du protagoniste, la texture argentique du film fait littéralement entrer les paysages dans les intérieurs, véhicules ou maisons.
Télérama
Soupçon d’adultère et désir de vengeance hantent ce drame contemplatif, exalté par la beauté sombre de la nature islandaise.
Critikat.com
Si Un jour si blanc se révèle un peu décevant sur le plan du récit policier et de l’étude psychologique, c’est qu’il doit être avant tout perçu comme une somme de petits événements visuels, rendus possibles par la beauté des paysages islandais.
L'Obs
Le sound design et la musique d’Edmund Finnis soulignent le charme de ce film étrange.
Le Figaro
Situé dans une petite ville isolée d’Islande, le second long-métrage de Hlynur Palmason, Un jour si blanc, est aussi intéressant que le précédent. Plus intrigant grâce à une histoire concentrée sur un personnage ambivalent, presque inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
Après l’intrigant "Winter Brothers", "Un Jour si blanc", deuxième film de l’Islandais Hlynur Pálmason, traite de manière un peu trop symbolique et surlignée du drame de la jalousie - une jalousie d’autant plus obsédante et agressive qu’elle concerne une morte.
Les Inrockuptibles
Malgré une certaine rigidité formelle, le cinéaste islandais navigue prodigieusement entre les genres et fait coexister toute une palette de tonalités. L’art de Pálmason n’est jamais aussi pétillant et réjouissant que lorsqu’il scrute les enchaînements de désordres venant renverser la stabilité d’un monde bien en place.
Première
Ingimundur pleure-t-il sa femme, une trahison posthume ou sur son sort ? Palmason le filme dans de grands espaces à l’horizon embrumé, comme une métaphore de son infini et écrasant monologue intérieur.