Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"La Danse du serpent" de Sofia Quirós Ubeda [...] séduit par son charme intemporel et son approche originale du genre fantastique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un océan de délicatesse. Un territoire rare d’Amérique centrale. Une cinéaste se fait sa place au soleil du septième art, avec ce récit poétique et envoûtant, qui parcourt le monde et atteint enfin les salles françaises.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cette porosité de l'ancestralité dans le présent, mêlée à la jeunesse de sa petite héroïne tournée vers le futur, abonde dans le sens d’un optimisme de tous les instants. Enchanteur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La rédaction
Sofia Quiros Ubeda distille du surnaturel sous les ombrages obscurs des forêts luxuriantes et sur les plages de la mer des Caraïbes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Nicolas Geneix
Les moyens primordiaux du cinéma sondent doucement de puissantes questions.
L'Obs
par François Forestier
Un beau film, qui révèle le talent prometteur de la jeune Smashleen Gutiérrez.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
L’Argentine Sofia Quiros Ubeda, qui a grandi au Costa Rica, livre un beau tableau tout en ombres, délicatesse et réminiscences, où le surnaturel et le conte subliment le récit, dans une veine proche d’Apichatpong Weerasethakul.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La spontanéité, la fantaisie et la capacité d'Ubeda à ne jamais sombrer dans le pathos font de "La Danse du serpent" une œuvre aussi puissante qu'intime et délicate, un premier film audacieux, qui a le courage de s'affranchir autant que possible du scénario et des dialogues, pour entièrement se dévouer à son imaginaire magique et à son langage visuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
"La Danse du serpent", premier film de l’Argentine Sofía Quirós Ubeda, vaut donc surtout pour ses moments les plus simples et réalistes, laissant plus de place aux acteurs non professionnels qu’aux symboles fantastiques ou à un animisme esthétisant [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Bien qu’un peu scolaire, ce premier long-métrage costaricien [...] déploie un charme étrange autour de la thématique du deuil.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le récit n'est pas des plus originaux, la réalisatrice Sofia Quiros Ubeda parvient à créer une atmosphère quasi-fantastique que ne renierait pas un certain Apichatpong Weerasethakul.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Une belle étrangeté plane sur ce monde exotique que la réalisatrice arrache aux préoccupations sociales, tiers-mondistes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Voilà un objet festivalier filmé sans très grande inventivité.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
De cette énième itération du film somnambulique, émergent deux - tristes - idées : que le Styx n’est qu’un trajet lent et douloureux vers les larmes, et que la poésie funèbre, lorsqu’elle ne remplit pas son rôle éblouissant, ne dispense qu’acidité morbide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Une pointe de panthéisme par-ci, un soupçon de chamanisme par-là, quelques tubes pop pour jurer et vous obtenez... de la poudre aux yeux. Attention, ça peut faire illusion !
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
"La Danse du serpent" de Sofia Quirós Ubeda [...] séduit par son charme intemporel et son approche originale du genre fantastique.
Bande à part
Un océan de délicatesse. Un territoire rare d’Amérique centrale. Une cinéaste se fait sa place au soleil du septième art, avec ce récit poétique et envoûtant, qui parcourt le monde et atteint enfin les salles françaises.
Franceinfo Culture
Cette porosité de l'ancestralité dans le présent, mêlée à la jeunesse de sa petite héroïne tournée vers le futur, abonde dans le sens d’un optimisme de tous les instants. Enchanteur.
Le Figaro
Sofia Quiros Ubeda distille du surnaturel sous les ombrages obscurs des forêts luxuriantes et sur les plages de la mer des Caraïbes.
Positif
Les moyens primordiaux du cinéma sondent doucement de puissantes questions.
L'Obs
Un beau film, qui révèle le talent prometteur de la jeune Smashleen Gutiérrez.
Le Monde
L’Argentine Sofia Quiros Ubeda, qui a grandi au Costa Rica, livre un beau tableau tout en ombres, délicatesse et réminiscences, où le surnaturel et le conte subliment le récit, dans une veine proche d’Apichatpong Weerasethakul.
Les Inrockuptibles
La spontanéité, la fantaisie et la capacité d'Ubeda à ne jamais sombrer dans le pathos font de "La Danse du serpent" une œuvre aussi puissante qu'intime et délicate, un premier film audacieux, qui a le courage de s'affranchir autant que possible du scénario et des dialogues, pour entièrement se dévouer à son imaginaire magique et à son langage visuel.
Libération
"La Danse du serpent", premier film de l’Argentine Sofía Quirós Ubeda, vaut donc surtout pour ses moments les plus simples et réalistes, laissant plus de place aux acteurs non professionnels qu’aux symboles fantastiques ou à un animisme esthétisant [...].
Ouest France
Bien qu’un peu scolaire, ce premier long-métrage costaricien [...] déploie un charme étrange autour de la thématique du deuil.
Paris Match
Si le récit n'est pas des plus originaux, la réalisatrice Sofia Quiros Ubeda parvient à créer une atmosphère quasi-fantastique que ne renierait pas un certain Apichatpong Weerasethakul.
Télérama
Une belle étrangeté plane sur ce monde exotique que la réalisatrice arrache aux préoccupations sociales, tiers-mondistes.
Cahiers du Cinéma
Voilà un objet festivalier filmé sans très grande inventivité.
Les Fiches du Cinéma
De cette énième itération du film somnambulique, émergent deux - tristes - idées : que le Styx n’est qu’un trajet lent et douloureux vers les larmes, et que la poésie funèbre, lorsqu’elle ne remplit pas son rôle éblouissant, ne dispense qu’acidité morbide.
Première
Une pointe de panthéisme par-ci, un soupçon de chamanisme par-là, quelques tubes pop pour jurer et vous obtenez... de la poudre aux yeux. Attention, ça peut faire illusion !