Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le premier long-métrage d’Amin Sidi-Boumédiène est un uppercut. Un voyage sidérant. Et l’éclatante révélation d’un auteur, qui croit ardemment dans le cinéma.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
« Abou Leila » marque la naissance d’un cinéaste à suivre de très près.
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
En construisant une œuvre singulière et profonde à la frontière du polar, du « film de désert » et du conte (...), Sidi-Boumédiène ouvre une brèche et initie une façon autre de traiter la douloureuse période des années 90 en Algérie, en éludant subtilement le registre du drame ou de la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Pour son premier long-métrage, Amin Sidi-Boumedienne a réussi ce qui, au départ, paraissait un pari impossible, donner corps à l'implacable.
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
À travers le périple physique et mental de ses personnages, souligné par une atmosphère anxiogène, Abou Leila sonde les conséquences psychologiques de la guerre civile sur un pays qui bascule dans la folie. Tout en méditant sur le monstre que chacun porte en soi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un sens affûté du cadre et de l’espace, ainsi que la symphonie de bruits angoissants que tresse la bandeson contribuent à l’incroyable intensité de ces glissements dans le domaine du rêve.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Paranoïa exacerbée et folie meurtrière : une traque dans le désert comme métaphore de la guerre civile algérienne, dans un premier film à la maîtrise impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
(...) un saisissant road-movie métaphysique en écho à la violence de la guerre civile qui embrase le pays dans les années 90.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] à ne pas rater.
Positif
par Alain Masson
Fragmentation et substitution empêchent tout réel de se constituer en une réalité consistante et digne de foi. Aucune continuité ne s’impose. Aucun appui n’est sûr. Cela résume à la fois une situation politique cruelle et la réussite de la mise en scène.
Télérama
par Frédéric Strauss
En Algérie, deux amis d’enfance remontent la trace d’un terroriste : une errance dangereuse et fascinante, aux confins de la barbarie et de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un road-movie sur les terres désertiques de l’Algérie, aussi fascinant que troublant, qui décortique la puissance de la possession schizophrénique ou du stress post-traumatique, sans jamais en révéler les redoutables mystères.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clémence Arrivé
C’est peut-être pourtant ce que le film révèle aux confins de son atmosphère anxiogène et de ses paysages asséchés : la fraternité de deux hommes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Le film est un peu long, mais l’ensemble a une force née à la fois des superbes images de désert et de la tragédie des années de sang.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Prometteur, mais trop long, assez confus et abstrait.
Première
par Thomas Baurez
Sans perdre le fil d’un récit qui jamais ne se dérobe bien que remis constamment en question, le cinéaste immerge le spectateur dans un monde tout en faux-semblants.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Les deux comédiens, Slimane Benaoui qui incarne la solitude d’un égaré aux prises avec son psychisme détraqué, et le charismatique Lyes Salem, force tranquille et détermination d’airain, soutiennent ce film aux fondations par trop bancales.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bande à part
Le premier long-métrage d’Amin Sidi-Boumédiène est un uppercut. Un voyage sidérant. Et l’éclatante révélation d’un auteur, qui croit ardemment dans le cinéma.
CinemaTeaser
« Abou Leila » marque la naissance d’un cinéaste à suivre de très près.
Culturopoing.com
En construisant une œuvre singulière et profonde à la frontière du polar, du « film de désert » et du conte (...), Sidi-Boumédiène ouvre une brèche et initie une façon autre de traiter la douloureuse période des années 90 en Algérie, en éludant subtilement le registre du drame ou de la chronique sociale.
L'Ecran Fantastique
Pour son premier long-métrage, Amin Sidi-Boumedienne a réussi ce qui, au départ, paraissait un pari impossible, donner corps à l'implacable.
Le Journal du Dimanche
À travers le périple physique et mental de ses personnages, souligné par une atmosphère anxiogène, Abou Leila sonde les conséquences psychologiques de la guerre civile sur un pays qui bascule dans la folie. Tout en méditant sur le monstre que chacun porte en soi.
Le Monde
Un sens affûté du cadre et de l’espace, ainsi que la symphonie de bruits angoissants que tresse la bandeson contribuent à l’incroyable intensité de ces glissements dans le domaine du rêve.
Les Inrockuptibles
Paranoïa exacerbée et folie meurtrière : une traque dans le désert comme métaphore de la guerre civile algérienne, dans un premier film à la maîtrise impressionnante.
Libération
(...) un saisissant road-movie métaphysique en écho à la violence de la guerre civile qui embrase le pays dans les années 90.
Mad Movies
[...] à ne pas rater.
Positif
Fragmentation et substitution empêchent tout réel de se constituer en une réalité consistante et digne de foi. Aucune continuité ne s’impose. Aucun appui n’est sûr. Cela résume à la fois une situation politique cruelle et la réussite de la mise en scène.
Télérama
En Algérie, deux amis d’enfance remontent la trace d’un terroriste : une errance dangereuse et fascinante, aux confins de la barbarie et de la mort.
aVoir-aLire.com
Un road-movie sur les terres désertiques de l’Algérie, aussi fascinant que troublant, qui décortique la puissance de la possession schizophrénique ou du stress post-traumatique, sans jamais en révéler les redoutables mystères.
Critikat.com
C’est peut-être pourtant ce que le film révèle aux confins de son atmosphère anxiogène et de ses paysages asséchés : la fraternité de deux hommes.
L'Obs
Le film est un peu long, mais l’ensemble a une force née à la fois des superbes images de désert et de la tragédie des années de sang.
Le Figaro
Prometteur, mais trop long, assez confus et abstrait.
Première
Sans perdre le fil d’un récit qui jamais ne se dérobe bien que remis constamment en question, le cinéaste immerge le spectateur dans un monde tout en faux-semblants.
La Croix
Les deux comédiens, Slimane Benaoui qui incarne la solitude d’un égaré aux prises avec son psychisme détraqué, et le charismatique Lyes Salem, force tranquille et détermination d’airain, soutiennent ce film aux fondations par trop bancales.