Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec ce premier film, l’acteur Zu Feng donne aussi des nouvelles d’une Chine contemporaine déshumanisée, où l’organe le plus introuvable, finalement, reste le cœur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Le premier long-métrage du réalisateur chinois Zu Feng débute comme un polar urbain convenu avant de trouver sa singularité dans une seconde partie plus aventureuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Passées ses belles promesses, ses moments émouvants, Un été à Changhsa (...) donne l'impression d'assister à deux films qui n'arrivent pas à cohabiter ensemble, l'un assez grand public et, il faut le dire, alléchant, proche des meilleurs thrillers asiatiques, et l'autre, plus introspectif et mélancolique, laissant un goût d'inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est élégamment filmé, dans une atmosphère languide et neurasthénique, mais tout est trop sage pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
En dépit de sa nébulosité, ce film accroche le spectateur par son atmosphère, le dessin des personnages et les méandres psychologiques d’une intrigue où le principal n’est pas ce que l’on voit ni comprend, mais ce qui se laisse deviner.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un polar psychologique troublant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
[...] "Un été à Changsha" parvient à rééquilibrer la balance dès que le script s'extirpe de ce canevas policier trop restrictif pour se concentrer sur la psychologie de personnages assez attachants.
Ouest France
par La Rédaction
C'est moins pour l'aspect polar qu'il faut voir ce film que pour la chronique dépressive qui voit un petit flic de province essoré reprendre goût à la vie.
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier long-métrage, le Chinois Zu Feng, devant et derrière la caméra, marche dans les pas des maîtres Jia Zhang Ke (Les Éternels) et Diao Yinan (Black Coal). Mais il est encore loin de les égaler. Il se désintéresse très vite de son intrigue policière. Le spectateur aussi hélas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le mélange des genres déroute et la torpeur de cet été infuse sur un spectateur qui peut trouver le temps long.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
L’intrigue presque ubuesque du début se délite peu à peu au profit d’une romance torturée avec une chirurgienne, sœur de la victime, prétexte à une longue digression autour d’une double perte qui endeuille nos personnages plombés par la dépression. (...) Reste cette critique en filigrane d’un pays semblant nécrosé de l’intérieur, à travers le mal-être des représentants de ses institutions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
De même qu’il arbore pendant tout le film une funèbre mine de chien battu, le réalisateur et acteur principal Zu Feng se complaît cependant dans une grisaille sans nuance puis dans le surnaturel mélancolique, avant que l’ensemble ne s’enlise dans une métaphysique sirupeuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Éric Derobert
[...] un scénario hésitant et psychologique. Avec un esthétisme hésitant et superflu.
Première
par Thierry Chèze
Un été à Changsha quitte alors un terrain balisé pour des chemins de traverse. Il n'évite pas quelques digressions malhabiles mais y trouve sa singularité.
Télérama
Avec ce premier film, l’acteur Zu Feng donne aussi des nouvelles d’une Chine contemporaine déshumanisée, où l’organe le plus introuvable, finalement, reste le cœur.
Critikat.com
Le premier long-métrage du réalisateur chinois Zu Feng débute comme un polar urbain convenu avant de trouver sa singularité dans une seconde partie plus aventureuse.
Culturopoing.com
Passées ses belles promesses, ses moments émouvants, Un été à Changhsa (...) donne l'impression d'assister à deux films qui n'arrivent pas à cohabiter ensemble, l'un assez grand public et, il faut le dire, alléchant, proche des meilleurs thrillers asiatiques, et l'autre, plus introspectif et mélancolique, laissant un goût d'inachevé.
L'Obs
C’est élégamment filmé, dans une atmosphère languide et neurasthénique, mais tout est trop sage pour convaincre.
La Croix
En dépit de sa nébulosité, ce film accroche le spectateur par son atmosphère, le dessin des personnages et les méandres psychologiques d’une intrigue où le principal n’est pas ce que l’on voit ni comprend, mais ce qui se laisse deviner.
Les Fiches du Cinéma
Un polar psychologique troublant.
Mad Movies
[...] "Un été à Changsha" parvient à rééquilibrer la balance dès que le script s'extirpe de ce canevas policier trop restrictif pour se concentrer sur la psychologie de personnages assez attachants.
Ouest France
C'est moins pour l'aspect polar qu'il faut voir ce film que pour la chronique dépressive qui voit un petit flic de province essoré reprendre goût à la vie.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, le Chinois Zu Feng, devant et derrière la caméra, marche dans les pas des maîtres Jia Zhang Ke (Les Éternels) et Diao Yinan (Black Coal). Mais il est encore loin de les égaler. Il se désintéresse très vite de son intrigue policière. Le spectateur aussi hélas.
Le Journal du Dimanche
Le mélange des genres déroute et la torpeur de cet été infuse sur un spectateur qui peut trouver le temps long.
Les Inrockuptibles
L’intrigue presque ubuesque du début se délite peu à peu au profit d’une romance torturée avec une chirurgienne, sœur de la victime, prétexte à une longue digression autour d’une double perte qui endeuille nos personnages plombés par la dépression. (...) Reste cette critique en filigrane d’un pays semblant nécrosé de l’intérieur, à travers le mal-être des représentants de ses institutions.
Libération
De même qu’il arbore pendant tout le film une funèbre mine de chien battu, le réalisateur et acteur principal Zu Feng se complaît cependant dans une grisaille sans nuance puis dans le surnaturel mélancolique, avant que l’ensemble ne s’enlise dans une métaphysique sirupeuse.
Positif
[...] un scénario hésitant et psychologique. Avec un esthétisme hésitant et superflu.
Première
Un été à Changsha quitte alors un terrain balisé pour des chemins de traverse. Il n'évite pas quelques digressions malhabiles mais y trouve sa singularité.