Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par La rédaction
L'oeuvre brute et puissante d'un visionnaire qui nous ouvre les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
La confusion entre le vrai et le faux déconcerte, déstabilise : il s’agit de la meilleure mise en abîme possible pour un film prenant pour héros un faussaire. Herzog au détour d’une œuvre sur le mode mineur invente une nouvelle réalité. In fine la beauté du mensonge, n’est- elle pas la beauté du cinéma lui-même ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce jeu de dupes paraît avoir une vertu de consolation. Jean-Pierre Améris en avait fait une truculente comédie dans Une Famille à louer (2015). Dans le conte de Werner Herzog, c’est une autre histoire : l’illusion s’y montre d’une dévorante et monstrueuse cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film qui pose des questions profondes sur la solitude, et les consolations du rêve.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Clos sur un dernier plan magnifique, rarement film n’aura traité avec autant de perspicacité un sujet aussi contemporain et complexe qui hante l'humanité depuis La Grotte de Platon. Werner Herzog l’emmène vers une réflexion sur son art, bouclant ainsi sa quadrature du cercle avec élégance.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par La Rédaction
Etrange Werner Herzog. Il aurait récemment joué dans The Mandalorian, série dérivée de la saga Star Wars, uniquement pour financer ce film assez biscornu, Family Romance, LLC, tourné au Japon avec une équipe réduite, où il jongle en virtuose avec le vrai et le faux, le documentaire et fiction.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est tout l’intérêt de cet objet ingrat (lumière crue, rendu vidéo) aux vertus fascinantes, trouble reflet d’une société dont les conventions et la retenue s’accordent si bien au simulacre qu’on n’y distingue plus le faux du vrai.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Jamais Herzog n’avait entrecroisé à un tel degré son travail de documentaire et celui de fiction, FAMILY ROMANCE,LLC entreprenant une passionnante analogie entre ces deux modes de narration.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’entreprise Family romance existe. Au Japon, elle loue des amis, des proches, des invités fictifs, qui n’existent pas dans la vraie vie de ses clients. L’Allemand Werner Herzog fait une fiction de cette fiction : un conte cruel sur la solitude, à hauteur d’enfance.
Libération
par Laura Tuillier
"Family Romance, LLC" évoque un Holy Motors totalement dépouillé de ses artifices et de sa machinerie de cinéma : dans ce film diurne, sans éclairage autre que naturel, Herzog opte pour la simplicité et le premier degré propre à ses docus qui l’a conduit si loin dans l’exploration de la santé d’esprit fluctuante des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
[...] une méditation pesamment vertigineuse sur les affres de la solitude et la force perverse du simulacre.
Télérama
par Jacques Morice
Werner Herzog interroge le besoin vital d’illusions. Avec ce revers vertigineux qui amène l’imposteur à douter lui-même de ses proches. Et si eux aussi étaient des « acteurs » faisant semblant d’exister et de l’aimer ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une mise en abyme troublante, entre fiction et documentaire, d'un phénomène réel au Japon.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Herzog n’envisage pas d’abord la fiction selon l’ordre du vrai et du faux, mais en tant que puissance. Comm dans les spectacles de marionnettes, la vue des fils n’entame en rien le désir de croire – au contraire elle en est la condition.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Werner Herzog, profondément humaniste, dévoile néanmoins une limite : son regard de touriste admiratif sur la capitale du Japon, qui n’évite pas les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le trouble passionnant dans lequel nous plonge Family Romance, LLC est proche de celui que procure, au théâtre, Contes et légendes de Joël Pommerat où, dans un futur proche, dix comédiennes incarnent aussi bien des robots que deshumains. Si vous avez aimé le « Pommerat », courez voir le « Herzog »
Ouest France
par Thierry Chèze
On a connu le cinéaste plus inspiré tant son récit tire en longueur et ne va guère plus loin que la bizarrerie intrigante de ses premières minutes.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Malgré l’intrigante étrangeté de son sujet, Family Romance déçoit par sa mise en scène trop explicative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Frédéric Foubert
Une tragédie moderne que Herzog croque avec son regard d’ethnologue, tour à tour goguenard et empathique. Mais le film est interprété par ses acteurs amateurs de façon tellement fausse et outrancière qu’il ne dépasse jamais le stade de la sympathique bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Bonne idée, qui est traitée avec une mollesse qui étonne de la part de Herzog. Son nom ne figurait pas sur l'affiche, personne ne se douterait qu'il est le réalisateur.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Hélas, cette fiction se révèle ingrate, répétitive et visuellement hideuse, prisonnière de sa volonté naïve de “faire documentaire”, sans jamais interroger sa part de vrai et de faux, autrement que par de stériles considérations. Nul trouble, nul mystère, juste un triste ratage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
L'oeuvre brute et puissante d'un visionnaire qui nous ouvre les yeux.
Culturopoing.com
La confusion entre le vrai et le faux déconcerte, déstabilise : il s’agit de la meilleure mise en abîme possible pour un film prenant pour héros un faussaire. Herzog au détour d’une œuvre sur le mode mineur invente une nouvelle réalité. In fine la beauté du mensonge, n’est- elle pas la beauté du cinéma lui-même ?
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce jeu de dupes paraît avoir une vertu de consolation. Jean-Pierre Améris en avait fait une truculente comédie dans Une Famille à louer (2015). Dans le conte de Werner Herzog, c’est une autre histoire : l’illusion s’y montre d’une dévorante et monstrueuse cruauté.
Femme Actuelle
Un film qui pose des questions profondes sur la solitude, et les consolations du rêve.
Franceinfo Culture
Clos sur un dernier plan magnifique, rarement film n’aura traité avec autant de perspicacité un sujet aussi contemporain et complexe qui hante l'humanité depuis La Grotte de Platon. Werner Herzog l’emmène vers une réflexion sur son art, bouclant ainsi sa quadrature du cercle avec élégance.
L'Humanité
Etrange Werner Herzog. Il aurait récemment joué dans The Mandalorian, série dérivée de la saga Star Wars, uniquement pour financer ce film assez biscornu, Family Romance, LLC, tourné au Japon avec une équipe réduite, où il jongle en virtuose avec le vrai et le faux, le documentaire et fiction.
L'Obs
C’est tout l’intérêt de cet objet ingrat (lumière crue, rendu vidéo) aux vertus fascinantes, trouble reflet d’une société dont les conventions et la retenue s’accordent si bien au simulacre qu’on n’y distingue plus le faux du vrai.
La Septième Obsession
Jamais Herzog n’avait entrecroisé à un tel degré son travail de documentaire et celui de fiction, FAMILY ROMANCE,LLC entreprenant une passionnante analogie entre ces deux modes de narration.
Le Dauphiné Libéré
L’entreprise Family romance existe. Au Japon, elle loue des amis, des proches, des invités fictifs, qui n’existent pas dans la vraie vie de ses clients. L’Allemand Werner Herzog fait une fiction de cette fiction : un conte cruel sur la solitude, à hauteur d’enfance.
Libération
"Family Romance, LLC" évoque un Holy Motors totalement dépouillé de ses artifices et de sa machinerie de cinéma : dans ce film diurne, sans éclairage autre que naturel, Herzog opte pour la simplicité et le premier degré propre à ses docus qui l’a conduit si loin dans l’exploration de la santé d’esprit fluctuante des hommes.
Positif
[...] une méditation pesamment vertigineuse sur les affres de la solitude et la force perverse du simulacre.
Télérama
Werner Herzog interroge le besoin vital d’illusions. Avec ce revers vertigineux qui amène l’imposteur à douter lui-même de ses proches. Et si eux aussi étaient des « acteurs » faisant semblant d’exister et de l’aimer ?
Voici
Une mise en abyme troublante, entre fiction et documentaire, d'un phénomène réel au Japon.
Cahiers du Cinéma
Herzog n’envisage pas d’abord la fiction selon l’ordre du vrai et du faux, mais en tant que puissance. Comm dans les spectacles de marionnettes, la vue des fils n’entame en rien le désir de croire – au contraire elle en est la condition.
Le Journal du Dimanche
Werner Herzog, profondément humaniste, dévoile néanmoins une limite : son regard de touriste admiratif sur la capitale du Japon, qui n’évite pas les clichés.
Le Monde
Le trouble passionnant dans lequel nous plonge Family Romance, LLC est proche de celui que procure, au théâtre, Contes et légendes de Joël Pommerat où, dans un futur proche, dix comédiennes incarnent aussi bien des robots que deshumains. Si vous avez aimé le « Pommerat », courez voir le « Herzog »
Ouest France
On a connu le cinéaste plus inspiré tant son récit tire en longueur et ne va guère plus loin que la bizarrerie intrigante de ses premières minutes.
Critikat.com
Malgré l’intrigante étrangeté de son sujet, Family Romance déçoit par sa mise en scène trop explicative.
Première
Une tragédie moderne que Herzog croque avec son regard d’ethnologue, tour à tour goguenard et empathique. Mais le film est interprété par ses acteurs amateurs de façon tellement fausse et outrancière qu’il ne dépasse jamais le stade de la sympathique bizarrerie.
Le Figaro
Bonne idée, qui est traitée avec une mollesse qui étonne de la part de Herzog. Son nom ne figurait pas sur l'affiche, personne ne se douterait qu'il est le réalisateur.
Les Inrockuptibles
Hélas, cette fiction se révèle ingrate, répétitive et visuellement hideuse, prisonnière de sa volonté naïve de “faire documentaire”, sans jamais interroger sa part de vrai et de faux, autrement que par de stériles considérations. Nul trouble, nul mystère, juste un triste ratage.