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Des instants de mise en scène aussi discrets que magnifiques qui démontrent que Ferrara est encore bien là, aussi puissant dans son art que généreux et aventureux dans sa pensée.
Compte tenu de l’ambition du projet et de la précision du résultat, on est en droit de se demander si Tommaso ne constitue finalement pas le point culminant de la collaboration fructueuse entre l’acteur et le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cinéaste inégal, parfois hâbleur, Abel Ferrara propose avec Tommaso un film introspectif et rétrospectif de belle tenue. (...) Ferrara se met à nu, se livre, parfois crument, mais jamais avec impudeur. Il est grandement aidé par Willem Dafoe, toujours magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le dernier film d’Abel Ferrara est une œuvre miroir, une enquête sur ce qu’il reste de soi sous le soleil de la rédemption. Il filme, ici, la douceur vénéneuse d’un quotidien où le passé cherche à se prononcer contre son effacement.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le film est entièrement tissé du sentiment ambivalent de la douceur des jours tranquilles dans une ville baignée de lumière et de la tenaillante insatisfaction qui les obscurcit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Un film pour fans hardcore du réalisateur, dont la franchise et le filmage élégant n’excusent pas le rabâchage et les paraboles christiques lourdingues.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"Tommaso" est un autoportrait déformé de son réalisateur, projet bigarré nageant entre deux eaux qui ne circonscrit jamais sur sa nature ni sur la véritable distance qu’il entretient avec le réel.
La beauté du film est d’abord liée à sa liberté dramaturgique, cette façon franche qu’a Ferrara de mettre à plat les différentes facettes de son personnage, son alter ego, sans rien gommer de l’ordinaire, de ce quotidien dont il recueille les moindres gestes avec gourmandise et qui fait le lit des moments de joie et de doute.
Si le film bénéficie de toute la maîtrise du cinéaste — et du comédien — il souffre aussi de certains de ses défauts, avec un récit décousu, trop long et bavard. Restent des séquences magnifiques, qui en font le meilleur film de Ferrara depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cette restauration du mythe de l'artiste torturé (...) semble anachronique, elle expose au grand jour la tension entre deux idées du masculin que Ferrara ne parvient pas à concilier. Ce qui sauve le film de sa deuxième partie rétrograde est qu'elle est un aveu de faiblesse, celui d'un homme qui tente de, mais ne parvient pas à, s'émanciper d'un profond sentiment d'insécurité amoureuse. S'il ne la fait pas voler en éclats, le film a le mérite d'en poser le carcan avec une éblouissante sincérité.
Tommaso touche par son mélange de violence et de douceur, l’indolence superbe d’un Dafoe de plus en plus buriné, de plus en plus beau. C’est un film léger comme une plume, un cadeau pour les fans
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Des instants de mise en scène aussi discrets que magnifiques qui démontrent que Ferrara est encore bien là, aussi puissant dans son art que généreux et aventureux dans sa pensée.
aVoir-aLire.com
Abel Ferrara offre un chef-d’œuvre sombre dans une ville de Rome éclatante de beauté.
Critikat.com
Compte tenu de l’ambition du projet et de la précision du résultat, on est en droit de se demander si Tommaso ne constitue finalement pas le point culminant de la collaboration fructueuse entre l’acteur et le cinéaste.
Culturopoing.com
Cinéaste inégal, parfois hâbleur, Abel Ferrara propose avec Tommaso un film introspectif et rétrospectif de belle tenue. (...) Ferrara se met à nu, se livre, parfois crument, mais jamais avec impudeur. Il est grandement aidé par Willem Dafoe, toujours magnétique.
Femme Actuelle
L'histoire semble mince, mais Abel Ferrara en tire un parti étonnant (...).
L'Humanité
Le dernier film d’Abel Ferrara est une œuvre miroir, une enquête sur ce qu’il reste de soi sous le soleil de la rédemption. Il filme, ici, la douceur vénéneuse d’un quotidien où le passé cherche à se prononcer contre son effacement.
Les Fiches du Cinéma
"Tommaso" marque le retour discret mais mérité d’Abel Ferrara, accompagné d’un Willem Dafoe dont il tire le meilleur.
Libération
Le film est entièrement tissé du sentiment ambivalent de la douceur des jours tranquilles dans une ville baignée de lumière et de la tenaillante insatisfaction qui les obscurcit.
L'Obs
Un film pour fans hardcore du réalisateur, dont la franchise et le filmage élégant n’excusent pas le rabâchage et les paraboles christiques lourdingues.
La Septième Obsession
"Tommaso" est un autoportrait déformé de son réalisateur, projet bigarré nageant entre deux eaux qui ne circonscrit jamais sur sa nature ni sur la véritable distance qu’il entretient avec le réel.
Le Monde
La beauté du film est d’abord liée à sa liberté dramaturgique, cette façon franche qu’a Ferrara de mettre à plat les différentes facettes de son personnage, son alter ego, sans rien gommer de l’ordinaire, de ce quotidien dont il recueille les moindres gestes avec gourmandise et qui fait le lit des moments de joie et de doute.
Le Parisien
Si le film bénéficie de toute la maîtrise du cinéaste — et du comédien — il souffre aussi de certains de ses défauts, avec un récit décousu, trop long et bavard. Restent des séquences magnifiques, qui en font le meilleur film de Ferrara depuis bien longtemps.
Les Inrockuptibles
Cette restauration du mythe de l'artiste torturé (...) semble anachronique, elle expose au grand jour la tension entre deux idées du masculin que Ferrara ne parvient pas à concilier. Ce qui sauve le film de sa deuxième partie rétrograde est qu'elle est un aveu de faiblesse, celui d'un homme qui tente de, mais ne parvient pas à, s'émanciper d'un profond sentiment d'insécurité amoureuse. S'il ne la fait pas voler en éclats, le film a le mérite d'en poser le carcan avec une éblouissante sincérité.
Ouest France
Un auto-portrait touchant.
Première
Tommaso touche par son mélange de violence et de douceur, l’indolence superbe d’un Dafoe de plus en plus buriné, de plus en plus beau. C’est un film léger comme une plume, un cadeau pour les fans
Sud Ouest
Le tableau n’est pas toujours passionnant, souvent chaotique, mais d’une sécheresse traversée de beaux moments.
Télérama
Une autofiction touchante bien qu’inégale.
Le Journal du Dimanche
C’est bien filmé mais les enjeux restent flous, les personnages secondaires inexistants, l’intrigue plate.
Le Figaro
On ne voit pas bien où le cinéaste veut en venir. Lui non plus, apparemment.
Positif
Le narcissisme du récit va de pair avec un aveuglement qui ne craint pas le ridicule [...].