Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Brillamment mis en scène et enchaînant les séquences fortes, le film est à la fois bouleversant et indispensable, servi par deux révélations, les jeunes Lyna Khoudri et Shirine Boutella, impressionnantes en papicha insoumises.
aVoir-aLire.com
par Lina-Estelle Louis
Hymne à l’émancipation des femmes, dans un contexte qui tente de les museler, le film de Mounia Meddour est un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Quel beau film que Papicha de Mounia Meddour, découvert à Cannes dans la section Un certain regard !
BIBA
par Lili Yubari
Avec ce premier film, Mounia Meddour dénonce l'oppression du corps féminin par le fondamentalisme islamiste avec une énergie ravageuse.
Bande à part
par Hélène Robert
Mettant en scène une lutte de pouvoir entre femmes aux idéaux opposés, "Papicha" expose avec force un sujet : l'intégrisme religieux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Au fur et à mesure qu'il épouse le regard de son héroïne, scrute les gestes d'une jeune femme refusant de se soumettre, "Papicha" gagne en force et en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Marie José Sirach
Le film est un vibrant hommage à toutes ces femmes algériennes qui ont résisté aux barbus, à toutes celles qui, jour après jour, malgré les barrages et l’odeur de la mort, ont continué de travailler, d’étudier, de sortir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Mounia Meddour signe un beau plaidoyer, aux accents autobiographiques, plein de chaleur et d’humour aussi, sur la solidarité et la complicité dans l’adversité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un véritable manifeste qui touche au cœur grâce à une énergie faisant oublier les maladresses.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une reconstitution réussie de l’Algérie des années sombres, déchirée par la violence islamiste, sous l’angle original de la lutte des femmes pour échapper aux carcans sociaux qui les soumettent.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Mounia Meddour brosse le portrait réaliste d’une étudiante algérienne confrontée à la violence de groupes extrémistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une tragédie solaire avec des comédiennes épatantes [...].
Le Parisien
par Catherine Balle
Hymne à l'insoumission, ce film se révèle parfois déchirant, mais surtout exaltant. D'autant qu'il est porté par des comédiennes éblouissantes de vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Une touchante histoire d’émancipation portée par la belle interprétation de Lyna Khoudri.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Dans cette fiction qui repose sur des faits tragiquement réels, la cinéaste, sans didactisme, donne à voir comment certaines Algériennes ordinaires, avec les moyens du bord, ont lutté contre l’horreur de l’intégrisme et l’ont parfois payé de leur vie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film lumineux qui ne bégaie jamais avec la noirceur tragique des situations.
Positif
par Louise Dumas
[...] la force du film est d’éviter tout dolorisme : "Papicha" prend résolument le parti de l’optimisme alors même qu’il fait le portrait d’une jeunesse brimée dans sa vitalité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une trame simple, la cinéaste algérienne qui avait 20 ans dans les années 90, montre au-delà de l’époque, le sort de ces femmes payant au centuple le prix de leur liberté. A travers cette chose en apparence si anodine, vouloir être belle, qui soudain cristallise la transgression, devient une subversion majeure et catalyse la haine.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Mathilde Blottière
Comment résister à la rage de vivre et d’aimer de ces papicha (jolie fille, en algérois), à l’insolence scintillante de leur jeunesse tout en chevelures et bouches carmin ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Plein de fureur et de vivre, et porté par une jeune comédienne rageuse et ravageuse.
Culturopoing.com
par Pierre-Julien Marest
Comment dénier à Mounia Meddour le caractère indispensable de son discours (...) En cela, "Papicha" est indiscutablement un film nécessaire. Mais… voilà. Le cri humaniste éclate tellement mieux lorsqu'il ne sombre pas dans la démonstration. Et, déception, la cinéaste, n'y échappe pas.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ces libertés, ces audaces ne servent pas toujours le film et son propos, pas plus que les partis pris très systématiques du montage et du cadrage, des plans très courts qui serrent les actrices au plus près. Ces limites n’empêchent pourtant pas Papicha de toucher au coeur de son sujet, la perte de la liberté.
Première
par Thierry Chèze
Parfois maladroit dans la conduite de son récit, Papicha a le mérite d’aller au bout de son idée de contraste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film possède une réelle vivacité (…). Mais ce qu’il met en place est aussi très souvent attendu ou survolé.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Tout est appuyé : même les effets de surprise sont tués. La mise en scène, travaillée au surligneur, à coups de gros plans démonstratifs, étouffe les personnages autant que les actrices. Une faute de goût pour une ode à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Tout se laisse à peu près deviner : le récit des "battantes", les défaites et les petites victoires, les belles robes contre les voiles, l'ode à la liberté, tout cela rappelant à beaucoup (trop) d'égards le "Mustang" (2014) de Deniz Gamze Ergüven. Y a-t-il une seule structure de récit possible pour parler des filles qui rêvent d'être tranquilles?.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Entendant restituer ses impressions de jeunesse en terrain miné, le film [...] reste trop affectif et sans recul, étanche à la complexité politique du moment et d’une crise engageant des enjeux plus pressants que la fabrication d’une robe de mariée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Brillamment mis en scène et enchaînant les séquences fortes, le film est à la fois bouleversant et indispensable, servi par deux révélations, les jeunes Lyna Khoudri et Shirine Boutella, impressionnantes en papicha insoumises.
aVoir-aLire.com
Hymne à l’émancipation des femmes, dans un contexte qui tente de les museler, le film de Mounia Meddour est un chef-d’œuvre.
20 Minutes
Quel beau film que Papicha de Mounia Meddour, découvert à Cannes dans la section Un certain regard !
BIBA
Avec ce premier film, Mounia Meddour dénonce l'oppression du corps féminin par le fondamentalisme islamiste avec une énergie ravageuse.
Bande à part
Mettant en scène une lutte de pouvoir entre femmes aux idéaux opposés, "Papicha" expose avec force un sujet : l'intégrisme religieux.
Ecran Large
Au fur et à mesure qu'il épouse le regard de son héroïne, scrute les gestes d'une jeune femme refusant de se soumettre, "Papicha" gagne en force et en finesse.
L'Humanité
Le film est un vibrant hommage à toutes ces femmes algériennes qui ont résisté aux barbus, à toutes celles qui, jour après jour, malgré les barrages et l’odeur de la mort, ont continué de travailler, d’étudier, de sortir.
La Croix
Mounia Meddour signe un beau plaidoyer, aux accents autobiographiques, plein de chaleur et d’humour aussi, sur la solidarité et la complicité dans l’adversité.
La Voix du Nord
Un véritable manifeste qui touche au cœur grâce à une énergie faisant oublier les maladresses.
Le Dauphiné Libéré
Une reconstitution réussie de l’Algérie des années sombres, déchirée par la violence islamiste, sous l’angle original de la lutte des femmes pour échapper aux carcans sociaux qui les soumettent.
Le Figaro
Mounia Meddour brosse le portrait réaliste d’une étudiante algérienne confrontée à la violence de groupes extrémistes.
Le Journal du Dimanche
Une tragédie solaire avec des comédiennes épatantes [...].
Le Parisien
Hymne à l'insoumission, ce film se révèle parfois déchirant, mais surtout exaltant. D'autant qu'il est porté par des comédiennes éblouissantes de vitalité.
Les Fiches du Cinéma
Une touchante histoire d’émancipation portée par la belle interprétation de Lyna Khoudri.
Marianne
Dans cette fiction qui repose sur des faits tragiquement réels, la cinéaste, sans didactisme, donne à voir comment certaines Algériennes ordinaires, avec les moyens du bord, ont lutté contre l’horreur de l’intégrisme et l’ont parfois payé de leur vie.
Ouest France
Un film lumineux qui ne bégaie jamais avec la noirceur tragique des situations.
Positif
[...] la force du film est d’éviter tout dolorisme : "Papicha" prend résolument le parti de l’optimisme alors même qu’il fait le portrait d’une jeunesse brimée dans sa vitalité.
Sud Ouest
Avec une trame simple, la cinéaste algérienne qui avait 20 ans dans les années 90, montre au-delà de l’époque, le sort de ces femmes payant au centuple le prix de leur liberté. A travers cette chose en apparence si anodine, vouloir être belle, qui soudain cristallise la transgression, devient une subversion majeure et catalyse la haine.
Télérama
Comment résister à la rage de vivre et d’aimer de ces papicha (jolie fille, en algérois), à l’insolence scintillante de leur jeunesse tout en chevelures et bouches carmin ?
Voici
Plein de fureur et de vivre, et porté par une jeune comédienne rageuse et ravageuse.
Culturopoing.com
Comment dénier à Mounia Meddour le caractère indispensable de son discours (...) En cela, "Papicha" est indiscutablement un film nécessaire. Mais… voilà. Le cri humaniste éclate tellement mieux lorsqu'il ne sombre pas dans la démonstration. Et, déception, la cinéaste, n'y échappe pas.
Le Monde
Ces libertés, ces audaces ne servent pas toujours le film et son propos, pas plus que les partis pris très systématiques du montage et du cadrage, des plans très courts qui serrent les actrices au plus près. Ces limites n’empêchent pourtant pas Papicha de toucher au coeur de son sujet, la perte de la liberté.
Première
Parfois maladroit dans la conduite de son récit, Papicha a le mérite d’aller au bout de son idée de contraste.
Cahiers du Cinéma
Le film possède une réelle vivacité (…). Mais ce qu’il met en place est aussi très souvent attendu ou survolé.
L'Obs
Tout est appuyé : même les effets de surprise sont tués. La mise en scène, travaillée au surligneur, à coups de gros plans démonstratifs, étouffe les personnages autant que les actrices. Une faute de goût pour une ode à la liberté.
Les Inrockuptibles
Tout se laisse à peu près deviner : le récit des "battantes", les défaites et les petites victoires, les belles robes contre les voiles, l'ode à la liberté, tout cela rappelant à beaucoup (trop) d'égards le "Mustang" (2014) de Deniz Gamze Ergüven. Y a-t-il une seule structure de récit possible pour parler des filles qui rêvent d'être tranquilles?.
Libération
Entendant restituer ses impressions de jeunesse en terrain miné, le film [...] reste trop affectif et sans recul, étanche à la complexité politique du moment et d’une crise engageant des enjeux plus pressants que la fabrication d’une robe de mariée.