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Combats dantesques et poursuites a gogo. Ça serait parfait si on ne frôlait pas le grotesque, notamment dans la description de la violence. Mais en dehors de cette légère réserve, le produit est bien ficelé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Un spectaculaire film d’action à l’asiatique, où la violence fait, de façon jouissive, par des moyens pas spécialement tendres ni orthodoxes, triompher la justice. Pour la morale, c’est une autre affaire…
Si le cinéaste n’atteint pas les sommets d’excellence de certains de ses compatriotes, il fait preuve pour son deuxième film d’une belle efficacité. Malgré l’idéologie un rien douteuse de la fin, impossible de ne pas être enthousiaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le réalisateur se lâche au niveau de la violence, mais avec de l’humour au second degré. Dans ce récit décalé qu’on dirait inspiré d’une bande dessinée, l’acteur Ma Dong-seok explose de charisme.
L'action est très dynamique mais rien n'y fait : le récit, souvent prévisible, avance trop lentement pour captiver et le côté chien fou du policier évoque plus volontiers James Belushi dans "Double détente" que Mel Gibson dans "L'Arme fatale".
Bien ficelé, bien joué, solidement rythmé, il mêle des scènes d’action ultrabrutales et des touches d’humour burlesques. Cependant, Lee Won-tae se contente d’appliquer sagement une recette éprouvée : des gars en costumes noirs se tapent dessus en hurlant.
Présenté hors compétition à Cannes, numéro un au box-office coréen, "Le Gangster, le flic et l’assassin" se contente pourtant de mettre en pratique des recettes éprouvées, pour un résultat plaisant mais convenu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le film ne sort néanmoins d’aucun sentier battu. Il additionne des péripéties diverses selon un schéma déjà connu, reproduisant les caractéristiques du genre et évitant ce qui en faisait l’intérêt : un regard politique et parfois paradoxal sur la société sudcoréenne d’aujourd’hui.
L'Humanité
Combats dantesques et poursuites a gogo. Ça serait parfait si on ne frôlait pas le grotesque, notamment dans la description de la violence. Mais en dehors de cette légère réserve, le produit est bien ficelé.
Le Dauphiné Libéré
Un spectaculaire film d’action à l’asiatique, où la violence fait, de façon jouissive, par des moyens pas spécialement tendres ni orthodoxes, triompher la justice. Pour la morale, c’est une autre affaire…
Le Figaro
Le long-métrage réalisé par Lee Won-tae met en scène un affrontement choc entre trois antihéros. Étourdissant.
Le Parisien
Un polar sud-coréen original et violent.
Première
Ce polar coréen met tout le monde KO. Du bruit, de la fureur et une jouissance extrême.
Télérama
Ce polar sud-coréen survitaminé, à la mécanique implacable, va très loin dans l’immoralité et la violence.
Voici
Un vrai plaisir coupable !
CinemaTeaser
Des défauts minimes et un plaisir fou.
L'Express
Mais ce polar est assaisonné à la mode coréenne, c'est-à-dire avec énergie, humour (si, si) et un sens du spectaculaire indéniable.
L'Obs
Si le cinéaste n’atteint pas les sommets d’excellence de certains de ses compatriotes, il fait preuve pour son deuxième film d’une belle efficacité. Malgré l’idéologie un rien douteuse de la fin, impossible de ne pas être enthousiaste.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur se lâche au niveau de la violence, mais avec de l’humour au second degré. Dans ce récit décalé qu’on dirait inspiré d’une bande dessinée, l’acteur Ma Dong-seok explose de charisme.
Les Fiches du Cinéma
Un polar qui manque clairement de subtilité, mais efficace et très divertissant.
Les Inrockuptibles
"Le Gangster, le Flic et l'Assassin" est un divertissement jubilatoire et généreux que l'on sent traversé par l'idée de faire vibrer son spectateur.
Mad Movies
L'action est très dynamique mais rien n'y fait : le récit, souvent prévisible, avance trop lentement pour captiver et le côté chien fou du policier évoque plus volontiers James Belushi dans "Double détente" que Mel Gibson dans "L'Arme fatale".
Paris Match
[...] un divertissement réjouissant par son jusqu'en-boutisme [...].
Positif
Bien ficelé, bien joué, solidement rythmé, il mêle des scènes d’action ultrabrutales et des touches d’humour burlesques. Cependant, Lee Won-tae se contente d’appliquer sagement une recette éprouvée : des gars en costumes noirs se tapent dessus en hurlant.
aVoir-aLire.com
Présenté hors compétition à Cannes, numéro un au box-office coréen, "Le Gangster, le flic et l’assassin" se contente pourtant de mettre en pratique des recettes éprouvées, pour un résultat plaisant mais convenu.
Le Monde
Le film ne sort néanmoins d’aucun sentier battu. Il additionne des péripéties diverses selon un schéma déjà connu, reproduisant les caractéristiques du genre et évitant ce qui en faisait l’intérêt : un regard politique et parfois paradoxal sur la société sudcoréenne d’aujourd’hui.
Critikat.com
La rencontre entre ces trois figures du cinéma de genre vire au combat de coqs, à grand renfort de punchlines et de vannes ricaneuses.