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    Les Misérables
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    1 100 critiques spectateurs

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    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2020
    Quatre Césars pour ce film inattendu au moment de sa sortie, une nomination aux Oscars, aux Golden Globes, et un très beau parcours en salles pour ce film plébiscité par la critique. Le film suit la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil en Seine Saint Denis (93) pendant un peu plus de 24h. Le stratagème utilisé est connu : il s'agit de suivre les événements par le spectre de Stéphane, nouveau venu qui vit sa première journée dans l'équipe, ce qui nous permet de découvrir l'environnement par ses yeux en nous identifiant à lui naturellement. On s'aperçoit, sans que ça soit une découverte, que les officiers sont obligés de dépasser leur fonction pour réussir leur mission, ce qui peut mener à des excès plus ou moins graves. Une cascade d'événements débouchera sur une bavure, qui elle-même créera un scandale dans la priorisation des tâches (la santé des citoyens versus l'intégrité de l'insigne). Le film est tendu de bout en bout, rythmé, et ne prend partie ni pour les uns, ni pour les autres. La meilleure preuve est que les habitants des cités ont accusé Ladj Ly, le réalisateur, d'avoir fait un film pro-flics, tandis que des policiers ont dénoncés un film anti-flics attisant la haine envers eux. Comme on dit dans ces cas là, tant que les deux parties se plaignent, c'est que le film doit être assez juste. Le film prend encore plus d'ampleur à la lumière des manifestations mondiales pour protester contre les violences policières.
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2020
    Un film réussi.
    Le sujet est intéressant. La mise en scène est de qualité. Les différents acteurs, jeunes comme plus âgés sont excellents. Seul petit regret, la fin du film. J'aurais aimé quelques minutes de plus donc c'est un petit 4.
    En tout cas, c'est du solide.
    marc c
    marc c

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juin 2020
    Film nauséabond ,insupportable et trés vulgaire !
    Reflet d'une médiocrité ambiante ,on surfe sur la vague banlieue ou tout est permis.....
    Guizmo9784
    Guizmo9784

    52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2020
    Bon film sans être exceptionnel. On devine qu'il y a de tout tant dans la police qu'en banlieu, à savoir des bons et des mauvais. C'est manichéen quelque part. C'est bien réalisé dans l'ensemble. Le scénario est un peu bancal mais ce n'était pas le but recherché j'imagine. Il y a un peu de clichés quand même, c'est dommage. Pis, la fin est curieuse et m'a quelque peu déçu. Au final ce fut un bon visionnage qui doit questionner.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2020
    Les Misérables est un film puissant signé Ladj Ly, dont l'impact et les polémiques qu'il a suscité ne sont évidemment pas sans rappeler l'effet qu'a eu le film La Haine sur le cinéma français.
    Contrairement à ce qu'on pourrait redouter, le film n'est pas du tout manichéen ; les principaux acteurs de la banlieue (flics, gamins turbulents, chefs de gangs, gitans, salafistes repentis, …) ont tous leurs – quelques – qualités et leurs défauts. Ce long-métrage dessine avec précision une banlieue qui est au bord de l'explosion spoiler: (le plan final suggère même qu'elle explose puisqu'on peut supposer que le flic va tirer et / ou que le mioche va lancer son cocktail molotov)
    et qui, à défaut d'être exactement comme la nôtre (nous ne sommes pas encore dans un état de siège) y est extrêmement proche. D'où la nécessité de voir en ce film un message d'alerte, nous rappelant que la situation actuelle des banlieues peut déraper sur un bête kidnapping de lionceau avec des conséquences incontrôlables.
    Sans grandes performances, les acteurs sont convaincants.
    Très bon long-métrage.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2020
    Une vraie claque. Un film fort, puissant, juste ; un diagnostic de la France qui fait froid dans le dos et devrait pousser à un grand et vrai changement...
    Voda F
    Voda F

    31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2020
    Film horrible apology de la violence cares tique du film cliché à donner raisons à cette de violence gratuite... À fuir à même secourir le réalisateur qui nous montre la fausse réalité des quartiers en France... La il jouie d un vie au Brésil ou autres ou la misère et la loin du plus fort est de rigueur mais désolé en France même si c est difficile de tout avoir on libre de vivre encore en paie !!! Franchement la c est abuser.....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mai 2020
    Un film qui accumule les clichés comme des perles. Très SJW compatible, je comprends qu il ai eu le César. Le genre de film qui donne des frissons et aussi bonne conscience au bobos.
    Andrea M
    Andrea M

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2020
    Cela aurait pu être le grand film attendu sur les banlieues depuis La haine de M. Kassovitz, mais ce n’est hélas pas le cas. Mis à part la séquence d’ouverture et surtout celle qui le clôt (et où l’on est confronté à une tension réelle et une mise en scène maîtrisée), le film déçoit au vu du tapage médiatique parfaitement orchestré ! Malgré quelques beaux plans, une bande son originale et certains jeunes acteurs parfaits dans leur rôle, rien de nouveau sous le ciel des banlieues, et un scénario bien mince) même si l’on découvre encore un peu plus l’emprise des islamistes sur les dits « quartiers »). Certaines scènes sont peu crédibles et parfois jouées maladroitement par les jeunes. Après la demi déception de « J’accuse » et celle ci, et en attendant de voir « Portrait de la jeune fille en feu », il semble que le scandale provoqué par les récompenses des derniers Césars soit plus que légitime.
    mx13
    mx13

    242 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mai 2020
    C spoiler: Après avoir ovationné depuis ma propre chambre et tout seul le discours en mai 2019 de Ladj Ly au festival de Cannes, je me suis intéressé au long métrage Les misérables dont la sortie était prévue pour la fin de l année. En le voyant j ai eu beaucoup d idées et de pensées qui ont traversé mon esprit. Déjà j ai repensé à ce discours et je me suis alors demandé, si l auteur du film était bien cette personne que j avais vu quelques mois auparavant à Cannes, car dans ce long-métrage, on fait l apologie de la décadence et de la barbarie. Dans le discours j avais l impression que l on annonçait un remake de La haine, car il dénonçait les actes odieux de policiers, mais on en est à des années lumières dans l œuvre. Les Misérables, qui avant d être une œuvre engagée, est une photographie du Nord est parisien de nos jours (début 2020). On voit la ville de Clichy sous bois, où le régime islamique remplace la loi de la république, où les fichés S se baladent dans la rue sans la moindre difficulté et se montrent comme étant des bombes à retardement, où les anciens caïds de la cité, catalogués au grand banditisme se la jouent bon musulman croyant et pratiquant, où les jeunes enfants dès le plus jeune âge ne savent rien faire d autre à part voler, où même les honnêtes travailleurs peuvent se transformer en meurtrier et en barbare impitoyable, et où le chaos s est installé. Je croyais que tout cela était dénoncé par les scénaristes, mais non ce qu ils flinguent ce sont les forces de l ordre et défendent les jeunes enfants qui volent en les comparant à des victimes de la société, et à une islamisation banale de la rue dans un pays de culture catholique, et en laissant indifférent les spectateurs face à l’invasion de fichés S. Ces policiers ont effectivement dérapés à un moment, car l un d entre eux a accidentellement tiré au flashball sur un enfant. [spoiler]ce que je précise c est que cet enfant avait volé un lion à une équipe de gitans qui ont failli détruire le quartier, les policiers en retrouvant ce lion volé ont empêché une guerre. De plus, lors de l interpellation du jeune homme, une bande de jeune en caillassant les forces de l ordre les ont déstabilisé, et que cela a causé la bavure.

    Pour moi ce film est bien réalisé, interprété, mis en scène, filmé, etc. Mais fait véhiculer de très mauvaises idées, ce n est pas grâce à Ladj Ly que la situation en France va s arranger. Après avoir vu ce film, j ai eu l idée de me revoir à la suite les trois films emblématiques sur les banlieues parisiennes en fonction des époques : le premier mettant en avant la situation au début des années 60 avec Elle court elle court la banlieue, le deuxième La haine pour les années 90 et Les misérables pour le début des années 2020. Et cette expérience que je me suis fait est vraiment traumatisante, sur ce jai pris conscience de l aggravation de la situation de la France en 60 ans (sachant que La haine était extrait d un des faits divers les plus traumatisants de l époque contrairement aux Misérables). Pour conclure, le film est à voir mais pour prendre conscience de la décadence de notre époque. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 1/5

    [/spoiler]
    Romain F
    Romain F

    30 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Une insertion dans une banlieue tendue au sein d'une équipe de la BAC.
    Un film poignant du début à la fin !
    Steven O.
    Steven O.

    29 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2020
    Le film ne m'attirait pas du tout.
    Je le disais encore un film sur les banlieues et avec toutes les critiques élogieuses cela me faisait plus peur qu'autre chose et bien j'avais tout faux.

    Clairement les critiques dithyrambiques sont plus que justifiées tellement ce film est poignant profond juste et très bien réalisé.

    Les acteurs sont formidables ils savent alternés le chaud et le froid qui fait que tantôt on ressent de l'empathie tantôt on les déteste.
    J'ai adoré le fait que rien n'était manichéen tout était en nuances et profondeur bref il n'y ni méchant ni gentil chacun fait ce qu'il doit faire même s'ils ne savent même plus trop le but final de tout cela.

    Le film qui est quasiment en deux parties nous mets clairement au fur et à mesure dans l'ambiance. le fait de planter le décor pendant 40 min est très bien senti et quand commence le véritable tournant du film ça ne s'arrête plus pour terminer sur une fin que j'ai trouvé parfaite.
    Alyson Fievet
    Alyson Fievet

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mai 2020
    Nul! Première fois que je vois un film aussi nul! N’a rien à voir avec la réalité de la BAC, aucun sens, aucune âme dans le film, malgré « l’action » que nous propose le film! Comment un film aussi pourrit peut sortir au cinema?? Et encore moins être primé?!?! 👎👎👎👎👎
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 mai 2020
    Ce film est un produit honnête ,bien réalisé , avec un discours taillé ( je pense assez inconsciemment, avec plein de bonne foi bien niaise) pour une classe dominante; pour les bobos des centres ville; l effet de sidération que ce film a produit dans les mass médias ; l intérêt qu il a suscité dans la classe politique la plus conservatrice ( film plébiscité par Le gouvernement, par France Inter , rtl etc etc )vient á mon sens , pour moi qui ai vécu 29 ans dans une cité semblable à celle du film , du fait qu aucun journaliste , pas une seule fois , n avait en 50 ans de reportages, su et/ou pu montrer " la banlieue " telle qu elle est , et dans ses murs et de par ses habitants. C est là et c est un peu ainsi , que j ai vécu autrefois , et qu "ils vivent" encore ; à 3/4/5/6 kilomètres à vol d oiseau de votre domicile.Et pourtant vous ne nous avez jamais rencontré.Le grand mérite du réalisateur est ( avec l aide et l amitié) de tous les habitants de sa ville , d avoir pu donner donc , à tous les bobos de France et De Navarre, dont je fais partie aujourd'hui, une image inédite de la quotidienneté déplorable de ces zones délaissées , de " non-droits". Et pour cela on remerciera le réalisateur. Le film est enjoué, bien monté, le rythme est bon ; pour éviter l omnipotence réelle du Rap( souvent pauvre discursivement et musicalement dans nos cités) , le réalisateur a fait le choix "malin" de ne pas en mettre dans son film ( j y vois un mensonge, comme l absence du haschisch , mais bon , passons)Formellement c est bien foutu , sur le fond , comme le film éponyme , c est misérable.La grande faiblesse du film tient en son discours . Le scénario sert la fabrique , très claire , d un discours . (L histoire vous la connaissez : des jeunes de la cité volent un animal de cirque à des gitans ; les flics de la BAC chopent les jeunes voleurs ; il y a bavure policière , elle est filmée , les flics essaieront en vain de récupérer la vidéo qui les incrimine ). Ce discours , sous l aspect "film vérité, sympa, punchy" est d une confondante pauvreté ( et je crains que son succès " main stream " y soit lié, car la paresse intellectuelle qui prend le masque de la critique sociale a souvent eu du succès - à l époque du film "La Haine" par exemple - on entendait les mêmes fadaises critiques sur la véracité du film de Kasowitz; on n en est revenu; et des " misérables" aussi, on en reviendra). Car N est pas David Simons qui veut ( le créateur de The Wire) référence évidente et pour le coup très prétentieuse dans ce film. Avant d écrire la moindre ligne de scénario, David Simons ,qui connaissait bien Baltimore, avec des sociologues , anthropologues, politologues, et bien sûr des scénaristes et gens des bas fonds de la ville la plus criminogène des USA , avait étudié 5 ans , les mécanismes de pouvoirs et de déliquescence. Résultat? Le chef d œuvre : 5 saisons de The Wire , où la situation dans laquelle se trouve les pauvres, est analysée , disséquée et expliquée, avec une finesse inégalée. Dans " les misérables " , on comprend qu on est aux antipodes de the Wire. Le scénario ( probablement pondu en 2 mois) agence et relie des choses vécues (des souvenirs probablement,)ou rapportées( les petites mythologies de la cité ), pour , in fine , en faire une continuité bancale mais qui se laisse voir. Que nous dit on ? Ces zones sont démunies de pouvoirs et structures d état solides, si bien que finalement, la nature ayant horreur du vide, plusieurs types de pouvoirs alternatifs prennent et tiennent , la place . Les flics baqueux , un caïd local ( nommé "le maire" ) , un petit voyou maghrébin ( tenancier de bar me semble t il )les gitans , les frères musulmans. Tous ces groupes là représentent et symbolisent chacun un aspect de ce qui gangrène la cité. C est pauvre ! Car aucun homme ni femme de banlieue ne peut être réduit à un symbole. C est très réducteur . Les femmes , les vieux , les gens Normaux , sont les grands oubliés du film et du discours .En somme "les misérables " montre ( comme souvent dans un film ) la resolution d un problème , par des protagonistes, qui , ne représentent non pas leur humanité, ( des hommes et des femmes )mais symbolisent un type de pouvoir ou de catégorie de personnes ( et en général ça donne du mauvais cinéma ). Là où le vrai neo réalisme de The Wire montrait et dissèquait les mécanismes des pouvoirs en ce qu ils produisent de la pauvreté, le réalisme organisé de" les misérables " , s affaisse à faire s opposer des symboles sans jamais rien expliquer . Les scénaristes , c est là toute leur performance (sic)intellectuelle, nous disent : ce sont tous des misérables . La violence des rapports de classe est complètement oblitérée ( or il n y a pas de ghettoïsés sans ghettoïsatieurs).Tous les misérables ( freres Mus, jeunes ,flics , caïds) sont , nous montre l histoire , ni tout à fait coupables , ni complètement innocents; ils sont " misérables " , Et puis c est tout ! C est ce qu on nomme " enfoncer les portes ouvertes " ou dans un langage plus soutenu : de la tautologie ( un chat est un chat , un pauvre est pauvre , un misérable est miséreux) , soit le niveau zéro de la critique. Et ça les bourgeois ( les politiques, les journalistes, les citadins des centre ville, les festivaleux) quand on leur montre la misère dont ils sont en grande partie responsables ( par leur choix de vote, par le fait de refuser de se mélanger avec nous , par les modèles éducatifs et sociaux qu ils promeuvent) ils adorent ! On les déresponsabilise; on leur hôte le gros mot : lutte de classes et accessoirement racisme. Si le film montre justement l univers misérable en vase clos dans lequel des millions de français vivent , jamais en revanche , pas une seule seconde , il ne montre les mécanismes qui rendent possibles ce vase clos . La fin du film , qui en est sa conclusion est vraiment pitoyable , ou plutôt très triste d un point de vue de la pensée politique , surtout pour un film qui prétend à sa manière , être politique . Les gamins du film , qui ont " la haine" à cause de la bavure dont ils ont été victime, piègent et attaquent à coup de feux d artifice, les keufs et les caïds ; tous ces adultes , qui symbolisent donc les pouvoirs de la cité ( palliatifs à ceux de l état) . Comme si ces gamins et leur misère dépendait de ces pouvoirs là et pas de l éducation et de la responsabilité de leur parents ( l absence parental, la démission paternelle, les problèmes culturels causés par les" sectarismes religieux ", ne sont jamais , ne serait ce qu évoqués réellement).À la fin du film une voix off , explique ainsi la transmission de la violence chez les jeunes : il n y a pas de mauvaise graine , il n y a que de mauvais cultivateurs. ( ils utilisent , pour les bourgeois pour qui ce film est fait , l argument d autorité qu est la parole de Victor Hugo) Sans cette phrase je défie quiconque de comprendre ce que les scénaristes auraient voulu dire !!! Le discours aurait été illisible !!! Preuve s il devait en être de la faiblesse du discours .....il y aurait même pu avoir un contre sens de fait : un film pro " frères musulmans" , qu il n est pas , bien entendu . Mais , vous remarquerez que le groupe des " frères musulmans" dans ce film est complètement dédouané de toute responsabilité. Je ne pense pas que le réalisateur soit " pro frère musulman", simplement, moi qui connaît bien l esprit qui reigne dans les cités , et en France ( après l attentat de Charlie)je crains que lui et les producteurs aient eu le courage de les désigner responsables (...)de cette détresse dans les cités ( entendons par là la manière dont ils - les frères M- s immiscent dans les esprits faibles et captifs, pour donner de fausses solutions !) au même titre que les flics ou les caïds. En résumé : film qui vaut d être vu par ceux qui n ont jamais fichu un pied dans nos cités.Plaisant sur la forme , mais sur le fond , scenaristiquement, d une confondante pauvreté. Un gâchis . Politiquement méprisable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mai 2020
    Normalement, je ne suis pas un fan des films français, mais j’ai aimé l’histoire du film. Premièrement, je pense que les personnages étaient bien choisis. Les nombreux enfants qui vivent dans le quartier, l’affichage de leur activités quotidiennes et la problématique du quartier rendaient le film très réaliste. Je trouve aussi que la police était très bien présentée. Bien que certaines actions de la police semblaient exagérées, elle apparaissait réaliste. Je pense aussi que la plupart des acteurs jouaient assez bien.
    La manière dont les tenions s’accumulaient dans le quartier était bien affichée. Au début du film, tout se passait relativement tranquillement, mais pendant le reste du film, je voyais comment les décisions prises par les personnages principaux tout a long de l’histoire, conduisaient aux émeutes. Les points de vue des différentes parties provoquaient beaucoup d’émotions et, de ce fait, je comprenais mieux les différents parties. Je trouvais difficile d’être partisan.
    Cependant, je n’aime pas vraiment des fins ouvertes, que ce film avait en partie. L’intention était probablement se terminer de manière chaotique et violente, mais je n’ai pas trouvé cela très clair.
    Je ne pense pas qu’un autre réalisateur aurait fait mieux. Parce que Ladj Ly est de ce quartier et sait comment tout se passe là-bas, il était le meilleur pour montrer cela aux spectateurs de façon claire. Je pense que ça rend le film si bon. « Les misérables » est personnellement un de mes film français préférés.
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