Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Pour son premier long-métrage, Ladj Ly a réussi un coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Ce polar sur la colère sociale qui gronde est une bombe.
CNews
par La rédaction
[...] le réalisateur de 39 ans signe une œuvre coup de poing, et rend hommage à ces quartiers où chacun tente de trouver sa place.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le premier long métrage de fiction de Ladj Ly est un film urgent, brûlant, bouillonnant, mais aussi un film extrêmement dense qu’il faut déplier.
L'Express
par Christophe Carrière
"Les Misérables" n'est pas un pamphlet mais une invitation à réfléchir, doublée d'un état des lieux alarmant.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec cet uppercut, Grand prix du jury au festival de Cannes, Ladj Ly signe une œuvre sidérante, impressionnante de maîtrise et de puissance narrative.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Voilà comment Les Misérables échappe au manichéisme de bazar : tout le monde se fait déborder, jusqu’à une séquence finale littéralement suffocante. Imparable, disions-nous
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film choc où, avec une maîtrise impressionnante de la caméra et du rythme, Ladj Ly suit l’éruption en train de naître de ce volcan social où nul n’est totalement coupable ni totalement innocent.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Voici la banlieue comme si vous y étiez, donc comme vous ne l’avez jamais vue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Implacable dans son constat et virtuose dans sa forme, à l’image d’un final à couper le souffle, ce film coup de poing mérite d’être vu par le plus grand nombre.
Marie Claire
par Emily Barnett
C'est régénérant et inattendu.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un grand film.
Positif
par Franck Garbarz
Loin des fantasmes, des spéculations ou des diabolisations médiatiques, le regard de Ladj Ly a la force du constat brut, sans filtre, d’une situation désespérée et, pire encore, figée.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un chef-d'oeuvre.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Brut, puissant et stylisé, le film, prix du jury à Cannes, est interprété avec intensité.
Télérama
par Louis Guichard
À Montfermeil, la cité des Bosquets s’embrase à la suite d’une bavure policière, filmée par un enfant. Le cinéaste, habitant de ce quartier, transcende le film de banlieue. Magistral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Un thriller politique et humaniste sans clichés, sur le fond comme sur la forme. Impressionnant.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ladj Ly ne succombe à la spectacularisation de la révolte que pour la dénoncer comme l’ultime constat d’échec. C’est d’un aplomb et d’une maîtrise extraordinaires.
Ecran Large
par Simon Riaux
Film de genre en ébullition, réquisitoire politique et coup de poing plastique, "Les Misérables" impose Ladj Ly comme un des metteurs en scène les plus prometteurs de son époque.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film coup de poing.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
A cause du sujet, et de la violence physique et verbale qui occupent l'écran, le film fera parler. Il laisse à penser qu'il faudrait totalement redessiner ces zones, repenser l'espace pour induire d'autres interactions...
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jouant d’une caméra inventive, les scènes d’action sont percutantes, avec une tension constante de l’image. Avec "Les Misérables", un cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Marie José Sirach
Un portrait sous tension de ces territoires abandonnés où les enfants, aux premières loges, poussent comme ils peuvent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les Misérables se tient au point de rencontre entre Victor Hugo et Spike Lee.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
La réalisation est virtuose et le constat sur l'état des lieux, terrible.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Implacable et précis sur la réalité des violences policières en cité, "Les Misérables" montre dans le même temps l’impossibilité matérielle des forces dites de l’ordre d’exercer leur mission convenablement. Se révèle un jeu où tout le monde perd, où tout le monde est misérable – ce qui n’empêche que certains sont plus coupables que d’autres, Ly est très clair là-dessus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
En situant ses "Misérables" dans la cité des Bosquets, Ladj Ly renouvelle le film de banlieue à travers le regard d’un policier fraîchement débarqué, témoin des rivalités du quartier et des bavures de ses collègues.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
L'approche documentaire est d'ailleurs le point fort des Misérables. La manière dont il décrit l'environnement corrompu de la cité, dont il présente les différents protagonistes de ce jeu de dupe qui impose un semblant de paix sociale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
La dernière demi-heure, la plus dingue, certainement la plus polémique, est une démonstration de force cinématographique (on pense au cinéma viril de Walter Hill) qui restitue avec sauvagerie l’atmosphère de guerre urbaine ressentie lors des émeutes de 2005.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Avec Les Misérables, Ladj Ly signe ici le grand film qu’on attendait depuis La Haine.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Fuyant les caricatures trop faciles, soucieux de ressusciter un univers qu’il connaît sur le bout des doigts et qu’il entend restituer dans toute sa palette de personnages et d’émotions contraires, Ladj Ly bâtit une fiction au lyrisme sourd, à mi-chemin d’une chronique policière et d’une tragédie moderne.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Malgré des maladresses (notamment dans l’enchaînement des situations, souvent artificiel et le jeu de certains comédiens, parfois caricatural), le résultat détonne par son ambition, sa forme et son discours.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film choc et sans concession qui met dos à dos une police dépassée et pétrie de contradiction, et la cité de Montfermeil en Seine-Saint-Denis, fracturée et en manque de repères.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
On se souviendra moins de son trio de flics et de leurs dialogues souvent démonstratifs que de ce qui se joue à la périphérie à travers deux personnages à peine sortis de l’enfance : un gavroche métisse virant black bloc christique et un binoclard solitaire qui balade son drone-caméra entre les barres HLM.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ladj Ly signe un film honnête et efficace mais un peu superficiel dans son traitement des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Josué Morel
Indéniablement, il manque quelque chose aux Misérables pour livrer une réflexion qui parviendrait à tenir sa complexité et à construire un regard nuancé sans passer par un aplanissement généralisé. Mais il faut reconnaître aussi qu’on n’attendait pas que le film soulève autant de beaux problèmes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Le baptême du feu de Ladj Ly, malgré son ouverture réussie, ne peut aujourd’hui prétendre incarner l’onde de choc de "La Haine" (Mathieu Kassovitz, 1995).
20 Minutes
Pour son premier long-métrage, Ladj Ly a réussi un coup de maître.
BIBA
Ce polar sur la colère sociale qui gronde est une bombe.
CNews
[...] le réalisateur de 39 ans signe une œuvre coup de poing, et rend hommage à ces quartiers où chacun tente de trouver sa place.
Cahiers du Cinéma
Le premier long métrage de fiction de Ladj Ly est un film urgent, brûlant, bouillonnant, mais aussi un film extrêmement dense qu’il faut déplier.
L'Express
"Les Misérables" n'est pas un pamphlet mais une invitation à réfléchir, doublée d'un état des lieux alarmant.
La Croix
Avec cet uppercut, Grand prix du jury au festival de Cannes, Ladj Ly signe une œuvre sidérante, impressionnante de maîtrise et de puissance narrative.
La Voix du Nord
Voilà comment Les Misérables échappe au manichéisme de bazar : tout le monde se fait déborder, jusqu’à une séquence finale littéralement suffocante. Imparable, disions-nous
Le Dauphiné Libéré
Un film choc où, avec une maîtrise impressionnante de la caméra et du rythme, Ladj Ly suit l’éruption en train de naître de ce volcan social où nul n’est totalement coupable ni totalement innocent.
Le Figaro
Voici la banlieue comme si vous y étiez, donc comme vous ne l’avez jamais vue.
Le Journal du Dimanche
Implacable dans son constat et virtuose dans sa forme, à l’image d’un final à couper le souffle, ce film coup de poing mérite d’être vu par le plus grand nombre.
Marie Claire
C'est régénérant et inattendu.
Ouest France
Un grand film.
Positif
Loin des fantasmes, des spéculations ou des diabolisations médiatiques, le regard de Ladj Ly a la force du constat brut, sans filtre, d’une situation désespérée et, pire encore, figée.
Télé 7 Jours
Un chef-d'oeuvre.
Télé Loisirs
Brut, puissant et stylisé, le film, prix du jury à Cannes, est interprété avec intensité.
Télérama
À Montfermeil, la cité des Bosquets s’embrase à la suite d’une bavure policière, filmée par un enfant. Le cinéaste, habitant de ce quartier, transcende le film de banlieue. Magistral.
Voici
Un thriller politique et humaniste sans clichés, sur le fond comme sur la forme. Impressionnant.
CinemaTeaser
Ladj Ly ne succombe à la spectacularisation de la révolte que pour la dénoncer comme l’ultime constat d’échec. C’est d’un aplomb et d’une maîtrise extraordinaires.
Ecran Large
Film de genre en ébullition, réquisitoire politique et coup de poing plastique, "Les Misérables" impose Ladj Ly comme un des metteurs en scène les plus prometteurs de son époque.
Elle
Un film coup de poing.
Femme Actuelle
A cause du sujet, et de la violence physique et verbale qui occupent l'écran, le film fera parler. Il laisse à penser qu'il faudrait totalement redessiner ces zones, repenser l'espace pour induire d'autres interactions...
Franceinfo Culture
Jouant d’une caméra inventive, les scènes d’action sont percutantes, avec une tension constante de l’image. Avec "Les Misérables", un cinéaste est né.
L'Humanité
Un portrait sous tension de ces territoires abandonnés où les enfants, aux premières loges, poussent comme ils peuvent.
Le Monde
Les Misérables se tient au point de rencontre entre Victor Hugo et Spike Lee.
Le Point
La réalisation est virtuose et le constat sur l'état des lieux, terrible.
Les Inrockuptibles
Implacable et précis sur la réalité des violences policières en cité, "Les Misérables" montre dans le même temps l’impossibilité matérielle des forces dites de l’ordre d’exercer leur mission convenablement. Se révèle un jeu où tout le monde perd, où tout le monde est misérable – ce qui n’empêche que certains sont plus coupables que d’autres, Ly est très clair là-dessus.
Libération
En situant ses "Misérables" dans la cité des Bosquets, Ladj Ly renouvelle le film de banlieue à travers le regard d’un policier fraîchement débarqué, témoin des rivalités du quartier et des bavures de ses collègues.
Paris Match
L'approche documentaire est d'ailleurs le point fort des Misérables. La manière dont il décrit l'environnement corrompu de la cité, dont il présente les différents protagonistes de ce jeu de dupe qui impose un semblant de paix sociale.
Première
La dernière demi-heure, la plus dingue, certainement la plus polémique, est une démonstration de force cinématographique (on pense au cinéma viril de Walter Hill) qui restitue avec sauvagerie l’atmosphère de guerre urbaine ressentie lors des émeutes de 2005.
Rolling Stone
Avec Les Misérables, Ladj Ly signe ici le grand film qu’on attendait depuis La Haine.
Sud Ouest
Fuyant les caricatures trop faciles, soucieux de ressusciter un univers qu’il connaît sur le bout des doigts et qu’il entend restituer dans toute sa palette de personnages et d’émotions contraires, Ladj Ly bâtit une fiction au lyrisme sourd, à mi-chemin d’une chronique policière et d’une tragédie moderne.
Transfuge
Malgré des maladresses (notamment dans l’enchaînement des situations, souvent artificiel et le jeu de certains comédiens, parfois caricatural), le résultat détonne par son ambition, sa forme et son discours.
aVoir-aLire.com
Un film choc et sans concession qui met dos à dos une police dépassée et pétrie de contradiction, et la cité de Montfermeil en Seine-Saint-Denis, fracturée et en manque de repères.
L'Obs
On se souviendra moins de son trio de flics et de leurs dialogues souvent démonstratifs que de ce qui se joue à la périphérie à travers deux personnages à peine sortis de l’enfance : un gavroche métisse virant black bloc christique et un binoclard solitaire qui balade son drone-caméra entre les barres HLM.
Les Fiches du Cinéma
Ladj Ly signe un film honnête et efficace mais un peu superficiel dans son traitement des personnages.
Critikat.com
Indéniablement, il manque quelque chose aux Misérables pour livrer une réflexion qui parviendrait à tenir sa complexité et à construire un regard nuancé sans passer par un aplanissement généralisé. Mais il faut reconnaître aussi qu’on n’attendait pas que le film soulève autant de beaux problèmes.
La Septième Obsession
Le baptême du feu de Ladj Ly, malgré son ouverture réussie, ne peut aujourd’hui prétendre incarner l’onde de choc de "La Haine" (Mathieu Kassovitz, 1995).