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    Tre Piani
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    3,5
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    93 critiques spectateurs

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    Sylvain M.
    Sylvain M.

    11 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Je n'ai pas été sensible au film ... C'est plutôt beau mais sans un fond très intéressant. Les scènes s'enchaînent sans qu'il y ait un intérêt fou. Le genre de film qui se veut intelligent.
    Ufuk K
    Ufuk K

    501 abonnés 1 449 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    "Tre piani" sélectionné cette année au festival de Cannes est un drame italien mi figue mi raisin. En effet il est évident que le réalisateur Nanni Moretti propose une histoire sensible, mélancolique avec quelques pics émotions et un casting solide mais c'est trop peu hélas , je me suis ennuyé devant ce film anecdotique selon moi ou les séquences se succèdent parfois en mode automatique et sans émotions.
    Larbin D
    Larbin D

    13 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juillet 2021
    Un des films les plus insipides que j'ai vu de ma vie, inintéressant de bout en bout. Mal filmé et mal joué (le meilleur acteur c'est le corbeau). Ne parle que de gros bourges qui ont leur problèmes de riches, les personnages présentés sont tous hautement détestables, impossible de suivre une histoire sans être énervé par ses actions au long du film. Les intrigues sont au niveau de Plus Belle La Vie, la réalisation et la cadrage pareil, en usant de facilités telles que "5 ans plus tard" 2 fois qui interviennent en plein milieu d'une scène. Les acteurs ne sont pas maquillés différemment pour l'occasion, 10 ans passe et rien n'a changé. Pour moi ce genre film est néfaste au cinéma. J'espère ne plus recroiser un navet comme celui-ci.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    59 abonnés 958 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 octobre 2022
    Il faut quand même être bon public pour accepter sans autre les diverses invraisemblances d'un soi-disant condensé d'humanité sur trois étages! Nous avons quand même affaire à des personnages dont le comportement est difficilement compréhensible (le voisin perd la boule alors il est forcément pédophile (??), le fils tue une femme enceinte alors il s'estime victime d'un père sévère (??), le père demande à la mère de couper les ponts avec son fils alors elle accepte (??), une femme enceinte souffre de solitude et n'entreprend rien pour y remédier (??), etc etc). L'impression de nager en pleine farce sans humour nous envahit alors! Et quand le film sollicite l'empathie du spectateur pour son envolée mélo finale... il ne récolte que l'indifférence polie qu'il a semée! Et c'est pas la dernière scène très Kusturica, qui confirme la farce mais n'excuse rien d'autre, qui va sauver les meubles...
    Damien
    Damien

    156 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Moretti dresse un tableau noir de son époque à travers une multitude de problèmes au sein de trois familles sur une dizaine d'années, cela donne un film décousu et austère où les émotions sont rares. La fin plus joyeuse épargne un peu aux spectateurs une grosse déprime.
    didbail
    didbail

    27 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    Le film débute par un accident. Un jeune chauffard alcoolisé percute et tue une jeune femme et termine sa course dans un immeuble. Les conséquences, directes et indirectes, de cet accident sur les familles de l'immeuble vont faire l'objet de ce film choral, parfaitement maîtrisé. Diverses histoires mettant en scène 4 couples et une jeune fille vont ainsi se croiser sur une période de 10 ans. Margherita Buy est une fois de plus formidable d'émotion contenue.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    334 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2021
    Une série d’événements va transformer radicalement l’existence des habitants d’un immeuble romain, dévoilant leur difficulté à être parent, frère ou voisin dans un monde où les rancœurs et la peur semblent avoir eu raison du vivre ensemble. Tandis que les hommes sont prisonniers de leurs entêtements, les femmes tentent, chacune à leur manière, de raccommoder ces vies désunies et de transmettre enfin sereinement un amour que l’on aurait pu croire à jamais disparu…

    C’est une réalisation de l’Italien Nanni Moretti qui avait fait auparavant l’excellent documentaire Santiago, Italia en 2019. Cette fois, il va adapter un roman de l'écrivain israélien Eshkol Nevo. Initialement, la trame du livre se passe à Tel Aviv mais le film sera à Rome. Tre Piani a été sélectionné au Festival de Cannes 2021.

    Je ne suis pas le plus grand fan du cinéma Italien mais cette fois c’est un gros coup de cœur.



    J’ai adoré la construction qui nous ait proposés. Le film va être orienté sur trois axes ciblant trois familles différentes, vivant à trois étages d’un immeuble. Celles-ci vont forcément se croiser, créant un liant, mais par les thématiques abordées elles seront bien distinctes. Cela apporte une certaine variété au film. Il est impossible de s’ennuyer. Le plus appréciable est qu’on passe de l’un à l’autre de façon très fluide. La répartition va se faire de manière homogène. Je pense que la musique aide à ce sentiment d’unicité malgré les différences. Elle va créer un liant intéressant.

    Les différents personnages sont passionnants à suivre. Ces trois familles offrent un panorama complet. L’une va voir un père tomber dans l’obsession de savoir si quelque chose est arrivé à sa fille dans un parc. Cela va le conduire à un comportement irrationnel voire destructeur. L’autre va voir une mère être aveugler par l’amour qu’elle a envers son fils. Celui-ci est totalement irresponsable mais elle continue à le couvrir. Enfin, on se penchera sur la détresse psychologique d’une jeune mère dont l’absence récurrente du mari n’aide pas. Voir l’évolution de chacun d’eux est tout simplement géniale.



    Celle-ci va se construire sur le temps. En effet, on va voir le récit se découper avec des espacements de 5 ans afin de bien voir tous les impacts sur nos protagonistes. Ces sauts temporels vont être parfaitement bien géré. Lors de ceux-ci, les explications de ce qu’il s’est passé vont être bien distillé et on n’est jamais perdu. Au final, tous les enjeux vont pouvoir être explorés.

    La cerise sur le gâteau est le talent des acteurs. Ils sont tous fantastique dans leur prestation. Parmi les visages connus chez nous, il y a Riccardo Scamarcio vu l’an dernier dans Les Traducteurs et Nanni Moretti qui fait honneur à son propre film. J’ai été particulièrement impressionné par Alba Rohrwacher.
    Max O.
    Max O.

    21 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2021
    Une jolie fresque italienne sur la complexité des rapports humains et les jugements hâtifs.
    Un film tout en nuance, un peu trop lent, mais extrêmement bien interprété.
    Cinememories
    Cinememories

    468 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2021
    Le bon sens est une déviance de la narration d’un Nanni Moretti (La Chambre du fils, Mia Madre) refermé sur lui-même. En sortant pourtant de sa zone de confort, il se plie au travail créatif de l’écrivain israélien Eshkol Nevo, où il est question de trois étages à l’interaction et la communication dissonante. Sa première adaptation a de quoi interpeller, d’autant plus qu’il ramène les faits de Tel Aviv à Rome, au cœur d’enjeux contemporains italiens. Quatre familles se partagent le fardeau, la terreur et la fureur de leurs sentiments. Nous nous attendions alors à ce que le cinéaste nous emmène dans la complexité de leur psyché ou qu’il brosse le portrait de son pays, mais sa mélancolie n’y est pas, tout comme la pertinence de ses propos, tombés à point nommé.

    L’ouverture, sans demi-mesure, fait le constat d’une brutalité nocturne, à l’heure où certains partent pour donner vie et d’autres reviennent pour en prendre une. À partir de là, les trajectoires des familles habitant au pied du drame vont diverger, pour mieux explorer leur lente désintégration. En observant l’axe de ses personnages masculins, il en vient à s’autoflageller, comme pour ne pas se soustraire à son propre jugement. L’ironie vient du rôle de Moretti en homme de justice, Vittorio, et père de famille qui échoue à accepter son fils (Alessandro Sperduti). Et au lieu d’écouter sa femme (Margherita Buy), il choisit d’épouser une lâcheté qui aura des teints sur les siens, en quête de dépendance, de confiance et d’identité propre. C’est un sujet qui dépeint toute l’œuvre chorale dans son ensemble, mais qui négligera l’efficacité de sa structure à coup d’ellipse, sa mise en scène trop convenue et sa conclusion, étirée jusqu’au dernier fil blanc.

    Que reste-t-il donc derrière la masculinité toxique, les pères absents et destructeurs, ou encore les hommes sans une once de remords ? Les femmes ont une place privilégiée dans le dispositif mécanique et huilé du récit. Si Monica (Alba Rohrwacher) hérite de la plus profonde partition de sa condition de femme au foyer et l’enfant sous le bras, on y découvre avec une certaine malice comment la solitude arrive dans son berceau. Quant au reste de la troupe, la plupart n’est qu’au service d’un autre et sous l’influence d’une réconciliation impossible. Aucune émotion ne ressort de ces échanges, purement informatifs, sans portée sensorielle, alors que le sujet mérite de secouer un peu plus son public, attentif et patient de découvrir les non-dits des personnages mutilés. C’est à cela que sert cet écho, cette distance qui sépare les membres d’une famille, d’un couple ou de simples voisins, qui ne parviennent pas à trouver d’issue au cataclysme qu’ils subissent passivement.

    Ce serait un mensonge de ne pas trouver de la sensibilité dans cet univers, sachant que les points de vue ne manquent pas de multiplier les horizons. Hélas, ce n’est pas avec ce dernier Moretti qu’on s’exaltera ou qu’on se révoltera. « Tre Piani » tire simplement tous les mauvais côtés du soap opera vers lui, jusqu’à ce qu’une ultime apparition à travers un pare-brise vienne baisser le rideau sur une fatalité qui affole et qui dérange. La frustration et la douleur mentale sont les symptômes qui se transmettent d’un étage à l’autre, comme d’une génération à une autre. Dommage que les chocs culturels n’aient pas plus de place, au menu d’un cinéaste en proie à un léger renouvellement.
    Adriana Caldas
    Adriana Caldas

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 décembre 2021
    Grosse déception on dirait un téléfilm. Aucune profondeur dans les personnages ni dans la narration...
    Sandy06
    Sandy06

    6 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 septembre 2022
    Quel ennui ! Qu'est-il arrivé à Nanni Moretti ? ce film est totalement dépourvu d'émotion et d'humour. Les personnages sont froids et antipathiques. Je ne suis jamais rentrée dans l'histoire où chaque scène semble être un sketch raté. Grosse déception !
    van der Straten Yolande
    van der Straten Yolande

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 novembre 2021
    J'aimais Ninno Moretti mais ici c'est très moyen. Personnages peu crédibles même s'ils jouent bien. Les rebondissements sont cousus de fil blanc...
    FaRem
    FaRem

    8 332 abonnés 9 319 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juillet 2022
    "Tre piani" est un film qui met en scène trois familles vivant dans un même immeuble. Tout commence avec un accident mortel qui ne lie pas tous les personnages puisque toutes les histoires ne se croisent pas, mais qui sert d'élément déclencheur à l'histoire. Trois familles (ou plutôt quatre), trois étages, et à chaque fois, trois personnages avec des triangles qui changent et évoluent. Il y a un personnage qui est accusé de meurtre et qui ne reçoit pas le soutien qu'il attend de ses parents, un père qui est mort de trouille qu'il soit arrivé quelque chose à sa fille et qui va lui-même se retrouver dans une situation délicate avec la fille des voisins, et une mère qui a peur d'élever seule son enfant. Comme souvent dans ce genre de film qui accumule les personnages et les histoires, tout ne se vaut pas. Si j'ai apprécié les deux histoires écrites autour de Lucio, j'ai beaucoup moins accroché à celle sur Andrea notamment après les sauts dans le temps. Quant à celle sur Monica, je l'ai trouvé inintéressante au possible. Si j'avais pu sauter les scènes, je l'aurais fait. Si les sauts dans le temps ont une certaine logique, je trouve qu'ils atténuent les enjeux de chaque histoire. Au final, un film inégal et anecdotique, mais qui se laisse regarder.
    Alice L
    Alice L

    159 abonnés 205 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    le nouveau chef d'oeuvre de Nanni Moretti!!
    bouleversant, magnifiquement interprété, superbement écrit...
    du grand cinéma à voir sur grand écran
     Kurosawa
    Kurosawa

    565 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2021
    Nanni Moretti se renouvelle avec "Tre Piani", puisque la forme chorale est inhabituelle pour le cinéaste et c'est la première fois que ce dernier adapte un roman. Ce qui frappe dans les premiers instants, c'est l'aisance avec laquelle Moretti passe d'une histoire à une autre, présente les drames familiaux qui nouent le récit sous une forme claire et épurée. Les sujets traités sont lourds (détestation d'un père pour son fils, une mère dépressive qui souffre de l'absence de son mari, un homme qui trompe sa femme et persuadé que leur fille a été violée par leur voisin), mais d'abord traités avec une délicatesse d'écriture qui rend possible l'identification aux personnages et certaines scènes vraiment touchantes (celle où la petite fille est retrouvée dans le parc, est tendue sur le fil de l'opposition entre innocence et rage immodérée). Moretti n'essaye jamais de lier à tout prix les trois récits entre eux – ce qui aurait été artificiel –, mais les joint par l'idée d'une douleur à laquelle il convient de se confronter. Néanmoins, la fluidité du montage et du scénario se délite progressivement, à cause d'une surenchère dramatique qui rend inopérante l'émotion : là où des films comme "Habemus Papam" et "Mia Madre", eux aussi très douloureux, étaient empreints d'un humour qui procurait une indéniable vitalité, "Tre Piani" fait le choix de ne pas contrebalancer le drame : rien, hélas, ne vient s'accoler à la succession de moments terribles, lesquels s'enchainent selon des ficelles narratives académiques (le thème de la maladie mentale, amené avec des gros sabots ; l'intrigue juridique autour du prétendu viol, vue déjà cent fois au cinéma), et rendent la seconde partie du film franchement morose. Le film s'étire inutilement, et ne va même pas au bout de ses idées en concluant sur une réconciliation absolument pas crédible, qui arrive de nulle part. On espère que Moretti se relèvera de de film, qui n'est pas catastrophique comme ont pu l'affirmer certains critiques, mais qui demeure nettement en deçà des précédentes créations du cinéaste transalpin.
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