Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Triple regard passionnant sur l’Italie contemporaine, où le foyer concentre des angoisses contradictoires, Tre Piani séduit par son ambition romanesque et la justesse de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Nanni Moretti offre une merveille de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Déjà dans Mia Madre, Nanni Moretti mettait un personnage féminin au centre de son récit. Il poursuit dans ce sens pour Tre Piani en faisant montre d’une belle sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
POUR - Des qualités narratives réelles et une empreinte tenace.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Mais ce qui, mis en scène différemment, formerait une indigeste pièce montée empilant les péripéties (…), s’amalgame en un tout sous le regard initial jeté par l’acteur-cinéaste sur la scène du crime, regard qui livre une clef de mise en scène: celle du contrechamp interdit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Subtilement, Nanni Moretti montre et le déchirement et la complexité des relations humaines. Et, malgré son pessimisme, Tre Piani ouvre la porte à l’altérité et la réconciliation.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Attachants et crédibles, les personnages de ce film choral forment un petit condensé d'humanité (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Fidèle à son angle intimiste, il évoque l'éclatement d'une communauté de voisinage qui reflèterait la société italienne et, pourquoi pas, l'Europe. Si le message passe bien, Moretti revient à une mise en scène classique, auparavant plus inventive.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Grâce à une interprétation remarquable, une réalisation pugnace, un rythme sans répit, « Tre piani » montre ce qu’on ne veut pas voir, et qui n’est pas beau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film sobre et poignant sur notre difficulté à vivre ensemble.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cynisme et la noirceur laissent place à une émotion, d’abord diffuse mais qui prend corps, accentuée par la présence d’un bébé ou d’un enfant (les seuls innocents ?). Tous les personnages vont se sentir perdus voire coupables, à un moment où un autre, dans ce labyrinthe tragique et mélodramatique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comment vivre ensemble, se fabriquer un destin, face à ce tragique enfermement de tous et de chacun ? Comment faire un pas vers l’autre, malgré la fatalité, la tragédie, le hasard destructeur, s’interroge le cinéaste au travers de ce récit qui réfléchit au monde contemporain avec pertinence.
Le Parisien
par La Rédaction
C’est bien mené, très intelligent. Moretti a fait mieux, mais il vole tellement plus haut que la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Tre Piani ne raconte qu’un mouvement qu’il étudie et décortique tel un chirurgien muni de son bistouri. Celui des transmissions (morales, biologiques) d’une génération à une autre et la façon dont la progéniture reproduit les schémas de ses ancêtres ou les court-circuite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Avec ce psychodrame choral disséquant les tours et détours des relations entre les sexes, le cinéaste italien pose un regard cruel sur les figures paternelles, dont celle qu’il incarne, éclairant par contraste quelques échappées féminines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Même si Tre Piani n’égale pas les plus belles réussites de Moretti dans le registre de la gravité (la Chambre du fils Mia Madre) ce film, atypique dans sa carrière, impressionne par sa hauteur de vue, par sa lucidité mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Hubert Niogret
Réussi, mais un peu en retrait par rapport aux précédentes réalisations de Moretti [...].
Télérama
par La Rédaction
Autant de mises à jour aboutissent à un résultat paradoxal : loin de marquer une rupture dans l’œuvre, Tre piani donne, au contraire, l’impression de retrouver un Nanni Moretti familier, celui de La Chambre du fils (2001) plutôt que de Habemus papam (2011).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame à la sobriété radicale, emprunt de tristesse sans cette fois aucune échappatoire vers la légèreté ou la séduction.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
S'inscrivant dans la veine « grave » de Nanni Moretti, le film captive par sa hauteur de vue et son portrait émouvant de protagonistes en guerre contre leurs démons et obsessions.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si les histoires qui se croisent ne sont pas toutes aussi réussies, parfois même inutiles, le film se déguste avec saveur, comme une pause pleine de cinéma classique mais toujours aussi intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Hugo Mattias
Cette étonnante dispersion ne va pas sans un certain affaiblissement de la portée mélodramatique du récit et explique sans doute l’échec relatif du film, spectacle étrangement dévitalisé d’une lente réconciliation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
On est un peu abasourdi que l’auteur de "Journal intime" et "La Chambre du fils" ait pu produire un long-métrage aussi falot, poussif et dépourvu d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que le scénario soit cousu de fil blanc, alignant des situations prévisibles avec des interprètes qui ne provoquent jamais d'empathie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L'éclaircie qui se lève dans la dernière partie du film n'est, hélas, pas faite pour lever l'embarras dans lequel Nanni Moretti nous jette.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Plein de personnages, divisés par trois étages d’un immeuble romain. Plus la masculinité au cube. Plus toute la noirceur de l’époque. Le tout multiplié par Nanni Moretti, moins l’inspiration. Total : pas grand-chose, hélas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Frédéric Mercier
Moretti filme avec une platitude pantouflarde, sans aucun éclat ni inventivité d’innombrables situations de mélodrames (maladie mentale, délinquance sexuelle, démence sénile, corruption politique, les migrants) dont l’accumulation systématique finit par devenir inopérante.
Bande à part
par Olivier Pélisson
CONTRE - Les enjeux improbables d’un mauvais soap opera.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Au fond, le problème de cette comédie dramatique à l’italienne, c’est qu’elle trébuche sur un sérieux assommant, incarné par Moretti lui-même. En vieux juge intraitable, aveuglé par sa rectitude morale, il éteint son film au lieu de l’illuminer de sa folie douce.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Thierry Chèze
Un récit choral où la patte si subtilement douce-amère de Moretti peine à émerger.
Première
par Gael Golhen
Avec son ironie mordante ses ruptures de ton, le roman n'y allait pas de main morte. Aveu d’impuissance ou simple baisse de forme, Moretti fait le choix d'un cinéma placide et amer, confiné dans ses obsessions d’antan et plombé par une mise en scène anémiée qui emmène Tre Piani sur le terrain du soap.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Triple regard passionnant sur l’Italie contemporaine, où le foyer concentre des angoisses contradictoires, Tre Piani séduit par son ambition romanesque et la justesse de sa mise en scène.
aVoir-aLire.com
Nanni Moretti offre une merveille de cinéma.
20 Minutes
Déjà dans Mia Madre, Nanni Moretti mettait un personnage féminin au centre de son récit. Il poursuit dans ce sens pour Tre Piani en faisant montre d’une belle sensibilité.
Bande à part
POUR - Des qualités narratives réelles et une empreinte tenace.
Cahiers du Cinéma
Mais ce qui, mis en scène différemment, formerait une indigeste pièce montée empilant les péripéties (…), s’amalgame en un tout sous le regard initial jeté par l’acteur-cinéaste sur la scène du crime, regard qui livre une clef de mise en scène: celle du contrechamp interdit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Subtilement, Nanni Moretti montre et le déchirement et la complexité des relations humaines. Et, malgré son pessimisme, Tre Piani ouvre la porte à l’altérité et la réconciliation.
Femme Actuelle
Attachants et crédibles, les personnages de ce film choral forment un petit condensé d'humanité (...).
Franceinfo Culture
Fidèle à son angle intimiste, il évoque l'éclatement d'une communauté de voisinage qui reflèterait la société italienne et, pourquoi pas, l'Europe. Si le message passe bien, Moretti revient à une mise en scène classique, auparavant plus inventive.
L'Obs
Grâce à une interprétation remarquable, une réalisation pugnace, un rythme sans répit, « Tre piani » montre ce qu’on ne veut pas voir, et qui n’est pas beau.
La Croix
Un film sobre et poignant sur notre difficulté à vivre ensemble.
La Voix du Nord
Le cynisme et la noirceur laissent place à une émotion, d’abord diffuse mais qui prend corps, accentuée par la présence d’un bébé ou d’un enfant (les seuls innocents ?). Tous les personnages vont se sentir perdus voire coupables, à un moment où un autre, dans ce labyrinthe tragique et mélodramatique.
Le Dauphiné Libéré
Comment vivre ensemble, se fabriquer un destin, face à ce tragique enfermement de tous et de chacun ? Comment faire un pas vers l’autre, malgré la fatalité, la tragédie, le hasard destructeur, s’interroge le cinéaste au travers de ce récit qui réfléchit au monde contemporain avec pertinence.
Le Parisien
C’est bien mené, très intelligent. Moretti a fait mieux, mais il vole tellement plus haut que la moyenne.
Les Inrockuptibles
Tre Piani ne raconte qu’un mouvement qu’il étudie et décortique tel un chirurgien muni de son bistouri. Celui des transmissions (morales, biologiques) d’une génération à une autre et la façon dont la progéniture reproduit les schémas de ses ancêtres ou les court-circuite.
Libération
Avec ce psychodrame choral disséquant les tours et détours des relations entre les sexes, le cinéaste italien pose un regard cruel sur les figures paternelles, dont celle qu’il incarne, éclairant par contraste quelques échappées féminines.
Marianne
Même si Tre Piani n’égale pas les plus belles réussites de Moretti dans le registre de la gravité (la Chambre du fils Mia Madre) ce film, atypique dans sa carrière, impressionne par sa hauteur de vue, par sa lucidité mélancolique.
Positif
Réussi, mais un peu en retrait par rapport aux précédentes réalisations de Moretti [...].
Télérama
Autant de mises à jour aboutissent à un résultat paradoxal : loin de marquer une rupture dans l’œuvre, Tre piani donne, au contraire, l’impression de retrouver un Nanni Moretti familier, celui de La Chambre du fils (2001) plutôt que de Habemus papam (2011).
Voici
Un drame à la sobriété radicale, emprunt de tristesse sans cette fois aucune échappatoire vers la légèreté ou la séduction.
Les Echos
S'inscrivant dans la veine « grave » de Nanni Moretti, le film captive par sa hauteur de vue et son portrait émouvant de protagonistes en guerre contre leurs démons et obsessions.
Paris Match
Si les histoires qui se croisent ne sont pas toutes aussi réussies, parfois même inutiles, le film se déguste avec saveur, comme une pause pleine de cinéma classique mais toujours aussi intrigant.
Critikat.com
Cette étonnante dispersion ne va pas sans un certain affaiblissement de la portée mélodramatique du récit et explique sans doute l’échec relatif du film, spectacle étrangement dévitalisé d’une lente réconciliation.
Culturopoing.com
On est un peu abasourdi que l’auteur de "Journal intime" et "La Chambre du fils" ait pu produire un long-métrage aussi falot, poussif et dépourvu d’humour.
Le Journal du Dimanche
Dommage que le scénario soit cousu de fil blanc, alignant des situations prévisibles avec des interprètes qui ne provoquent jamais d'empathie.
Le Monde
L'éclaircie qui se lève dans la dernière partie du film n'est, hélas, pas faite pour lever l'embarras dans lequel Nanni Moretti nous jette.
Les Fiches du Cinéma
Plein de personnages, divisés par trois étages d’un immeuble romain. Plus la masculinité au cube. Plus toute la noirceur de l’époque. Le tout multiplié par Nanni Moretti, moins l’inspiration. Total : pas grand-chose, hélas.
Transfuge
Moretti filme avec une platitude pantouflarde, sans aucun éclat ni inventivité d’innombrables situations de mélodrames (maladie mentale, délinquance sexuelle, démence sénile, corruption politique, les migrants) dont l’accumulation systématique finit par devenir inopérante.
Bande à part
CONTRE - Les enjeux improbables d’un mauvais soap opera.
Le Figaro
Au fond, le problème de cette comédie dramatique à l’italienne, c’est qu’elle trébuche sur un sérieux assommant, incarné par Moretti lui-même. En vieux juge intraitable, aveuglé par sa rectitude morale, il éteint son film au lieu de l’illuminer de sa folie douce.
Ouest France
Un récit choral où la patte si subtilement douce-amère de Moretti peine à émerger.
Première
Avec son ironie mordante ses ruptures de ton, le roman n'y allait pas de main morte. Aveu d’impuissance ou simple baisse de forme, Moretti fait le choix d'un cinéma placide et amer, confiné dans ses obsessions d’antan et plombé par une mise en scène anémiée qui emmène Tre Piani sur le terrain du soap.