J'espérais tomber sur une pépite de la parodie mais j'ai fais face à un film qui a soit vieilli de façon surnaturelle soit n'a jamais été jeune. Certes quelques moments sont fort réussis et font rire sans jamais tordre les zygomatiques.
Une comédie pas drôle du tout, qui ne prête même jamais à sourire où il ne se passe absolument rien et où je cherche encore où sont les gags. Navet, passe ton chemin !!
Un film de Mel Brooks (1987) avec Daphne Zuniga dans le rôle de la princesse Vespa. Ce film parodie à peu près tout ce qui se faisait à l'époque en matière de science-fiction. C'est donc de la grosse déconnade, mais c'est très bien fait, on ne s'ennuie pas une seconde. Une mention spéciale à Dark Helmet mimant Dark Vador et une autre à John Hurt parodiant la scène d'anthologie dont il est l'acteur dans le premier Alien.
Après avoir parodié plusieurs genres cinématographiques, Mel Brooks s'attaque ici à "La guerre des étoiles". Les personnages, les décors, tout l'univers de "Star Wars" est tourné en dérision avec plus ou moins de bonheur. Mais avouons que c'est souvent drôle (Rick Moranis coiffé d'un casque trop grand pour lui incarne un Dark Vador à lunettes, le faucon Millenium transformé en camping-car, etc...). Chaque plan est l'occasion de se moquer du film l'original. D'ailleurs, ils faut ouvrir l’œil car certains détails sympas peuvent passer inaperçus. Même les produits dérivés (jusqu'au papier toilette !) sont la cible du réalisateur. Attention, ceux qui ne connaissent pas la saga "Star Wars" (il y en a encore ?) risquent d'être perdus. Pour trouver un intérêt à ce film, il faut être un minimum fan de l'univers crée par George Lucas. Comme pour toutes les parodies, il ne faut rien attendre du scénario, prétexte à tous les délires. Comme la scène où les soldats de l'Empire passent le désert au peigne fin... au sens propre avec des peignes de trois mètres de haut ! J'ai passé un bon moment de cinéma lors de la sortie en salle de ce "Spaceballs" et à nouveau après l'avoir revu en DVD.
Comme toutes les parodies, "La folle Histoire de l'espace" est forcément inégale mais on peut compter sur Mel Brooks pour nous offrir de savoureux et d'hilarants moments avec des gags bien débiles comme il faut, des mises en abyme très drôles et un caméo de John Hurt vraiment irrésistible, nous refaisant la célèbre scène du repas d'"Alien". Avec tout ça, le cinéaste arrive à nous faire passer un bon moment malgré plusieurs défauts de rythme et de gags qui ne fonctionnent pas. Mais Bill Pullman et Rick Moranis s'en sortent à merveille.
Je suis un fan absolu de "Star Wars", je remercie donc Mel Brooks de lui rendre hommage. Quand j'étais enfant, je me suis bien marré. Aujourd'hui, c'est plus pareil. En fait c'est surtout le personnage de Casque Noir qui me fait rire. Il n'a vraiment rien à voir avec Dark Vador. C'est tout l'opposé. J'ame bien aussi le président qui est là encroe l'opposé de l'empereur. Pour le reste, je trouve que ça manque un peu de subtilité. Les acteurs n'ont pas toujours l'air d'y croire. Donc voilà ce n'est pas son meilleur film.
L'histoire d'un juif pauvre qui bave sur un goye devenu ultra-riche, sauf que la complainte est hilarante... quand on aime Mel Brooks !
Bienvenue dans une parodie rare, uniquement basée sur un film, qui plus est inattaquable, Stars Wars le seul et l'unique. “Les boules de l'espace”, c'est un peu moins glamour mais le message de Mel est clair, je veux me faire des c...s en or avec ce film et uniquement celui là.
Les gags se succèdent avec la paresse et la finesse habituelle du réalisateur hors norme et hors circuit depuis, mais quand on aime, on est quand même plié en deux.
Un budget effets spéciaux incroyablement... succint, des acteurs de triple zone (sauf un vers la fin) et une agréable impression de détente au final, ce n'est pas si mal !
Mel Brooks s'attaque à "Star Wars" avec ce pastiche totalement délirant. L'humour n'est pas toujours très fin et les gags inégaux : entre quelques idées très amusantes, plusieurs passages tombent à plat. Mais l'ambiance est suffisamment débile (dans le bon sens du terme) pour qu'on y adhère le temps d'un heure trente. Par ailleurs, la prestation de Rick Moranis en Dark Helmet, version parodique de Darth Vader, vaut le détour. Sans être exceptionnel, "Spaceballs" est donc une comédie sympathique à la sauce Brooks.
Aidé du sombre Casque Noir, le Président Skroob décide de s'emparer de l'air de la pacifique planète Druidia. C'était sans compter l'intrépide Lone Starr et son fidèle Barf, la princesse Vespa et son droïde Dot Matrix, et le mystérieux Yogurt, grand maître du "Schwartz"... Mel Brooks parodie Star Wars et signe une comédie qui ravira les fans de la saga de George Lucas qui est détournée avec beaucoup de malice. Brooks en profite aussi pour insérer des clins d'oeil à Indiana Jones, Alien et La Planète des Singes. On peut regretter parfois la lourdeur de certains gags mais certains sont des moments de fous rires garantis comme le visionnage de la cassette vidéo du film, la révélation de casque noir ou le mot de passe du bouclier de la Princesse Druidia. Les acteurs sont très bons, que ce soit Mel Brooks dans le double rôle du Président Skroob et de Yogurt, Bill Pullman en Han Solo du pauvre ou Rick Moranis en Lord Casque Noir dont la méchanceté est proportionnelle à la bêtise. Spaceballs est un bon moment de rigolade, certes pas toujours finaud, mais qui séduira à coup sûr les amateurs de l'oeuvre parodiée.
Mel Brooks se spécialisa dans les parodies de courants cinématographiques et là, s'attaquait aux space operas.
Le résultat n'atteint jamais le niveau d'un Frankenstein Junior (Gene Wilder manque terriblement) et d'un Sacre Robin Des Bois (Cary Elwes ne manque pas autant mais montre que Bill Pullman est un moins bon acteur), mais reste néanmoins excellent et infiniment supérieur aux parodies d'aujourd'hui voire au niveau des meilleures (The Comebacks). Bill Pullman est correct, John Candy, Rick Moranis et Mel Brooks sont excellents comme d'habitude. Michael Winslow fait des superbes apparitions et le personnage de Dom DeLuise m'a juste cassé en 2. Encore une fois, on notera la super idée d'avoir fait de Joan Rivers la voix de Dot Matrix, un des personnages les plus drôles.
Les gags sont tous justes et le film n'est pas hystérique pour deux sous. Franche réussite? Le film reste un peu long au milieu. Dommage.
Au moins Mel Brooks arrive à être parfois plutôt bon, contrairement au ZAZ, beaucoup trop prolifiques et toujours aussi mauvais. C'est exactement le même genre, le même type d'humour et les mêmes lourdeurs, mais beaucoup mieux gérées, ça fait plaisir à voir.
Un film à la Mel Brooks, c'est-à-dire un peu à la n'importe quoi. On adhère ou pas à cet humour assez lourd. Cependant, contrairement à La folle histoire du monde, certaines scènes ont pu m'arracher quelque sourire.