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Tout n'est pas bon, mais il y a d'excellents passages dans cette parodie de Star Wars, surtout Lord Casque Noir joué par Rick Moranis et l'idée des bagues lasers avec quelque combat mémorable. C'est pas mal, même au niveau des costumes et décors.
Mel Brooks est un précurseur des ZAZ. C’est essentiellement sa grande qualité car, mis à part le génial Frankenstein junior, son humour est souvent poussif et souvent inutilement vulgaire. La Folle Histoire de l’espace n’échappe pas à cela. Cette parodie de Star wars possède quelques gags sympathiques
spoiler:
(les faux jawas, la Statue de la Liberté, les gags sur le merchandising, Lord Casque noir tuant un technicien ou encore les parodies d’Alien et de La Planète des singes)
mais est donc assez ennuyante et souvent inintéressante. À cette époque, les ZAZ avaient déjà commencé leur carrière (en France, Les Nuls œuvrant également dans ce même type d’humour débutait cette même année 1987) et leurs films restent nettement plus drôles que cette très moyenne Folle Histoire de l’espace. Cela pourra peut-être faire rire les enfants toutefois.
mais est donc assez ennuyante et souvent inintéressante. À cette époque, les ZAZ avaient déjà commencé leur carrière (en France, Les Nuls œuvrant également dans ce même type d’humour débutait cette même année 1987) et leurs films restent nettement plus drôles que cette très moyenne Folle Histoire de l’espace. Cela pourra peut-être faire rire les enfants toutefois.
Dans "La Folle Histoire de l'Espace", on retrouve ce qui fait l'essence de Mel Brooks, à savoir une parodie gentillette d'un classique du cinéma. En l'occurrence, le réalisateur s'attaque aux Space Opera et, plus particulièrement à Star Wars.
Il y a de l'entrain, de la bonne humeur et une naïveté assez rafraîchissante. On sent que Mel Brooks est un grand enfant qui se fait plaisir avec des maquettes de vaisseau spatial ou la reconstitution de planètes éloignées.
Il ne faudrait toutefois pas en déduire que c'est forcément cheap. Au contraire, les maquillages sont bien faits et les vaisseaux sont dignes de ce que l'on aurait pu trouver dans un film du genre des années 1980. L'équipe n'a vraiment pas à rougir de ce qu'elle a réalisé.
Cela dit, le côté bon enfant est aussi un défaut parce que l'humour reste gentillet. Pas de quoi se rouler par terre de rire. Tout au plus, "La Folle Histoire de l'Espace" m'aura arraché quelques pouffements de rire.
Ce que je retiens avant tout de ce film, c'est son côté sympathique. Parfait pour poser son cerveau et s'évader un temps.
Il y a de l'entrain, de la bonne humeur et une naïveté assez rafraîchissante. On sent que Mel Brooks est un grand enfant qui se fait plaisir avec des maquettes de vaisseau spatial ou la reconstitution de planètes éloignées.
Il ne faudrait toutefois pas en déduire que c'est forcément cheap. Au contraire, les maquillages sont bien faits et les vaisseaux sont dignes de ce que l'on aurait pu trouver dans un film du genre des années 1980. L'équipe n'a vraiment pas à rougir de ce qu'elle a réalisé.
Cela dit, le côté bon enfant est aussi un défaut parce que l'humour reste gentillet. Pas de quoi se rouler par terre de rire. Tout au plus, "La Folle Histoire de l'Espace" m'aura arraché quelques pouffements de rire.
Ce que je retiens avant tout de ce film, c'est son côté sympathique. Parfait pour poser son cerveau et s'évader un temps.
Un pastiche de Star wars du grand Mel Brooks, une comédie délirant où Rick Moranis en Dark vador ou casque noir affronte le Jedi Bill Pullman. Une comédie un peu lourde mais tellement rigolo, inoubliable et oubliable également. Mais quel plaisir de le revoir quand il passe à la télé.
Evidemment ça ne vole pas bien haut, mais c'est tout a fait voulu et assumé. Une pure parodie comme on en fait plus, avec en plus de nos jour un charme retro/kitch qui rend nostalgique, en plus de l'armada d'acteur géniaux et pour beaucoup disparu depuis.
Redzing
Mel Brooks s'attaque à "Star Wars" avec ce pastiche totalement délirant. L'humour n'est pas toujours très fin et les gags inégaux : entre quelques idées très amusantes, plusieurs passages tombent à plat. Mais l'ambiance est suffisamment débile (dans le bon sens du terme) pour qu'on y adhère le temps d'un heure trente. Par ailleurs, la prestation de Rick Moranis en Dark Helmet, version parodique de Darth Vader, vaut le détour. Sans être exceptionnel, "Spaceballs" est donc une comédie sympathique à la sauce Brooks.
Nicothrash
Mel Brooks aux commandes, Rick Moranis (Ghostbusters) et Bill Pullman en têtes d'affiche et "Star Wars" en toile de fond pour une parodie aux accents sympathiques mais rapidement poussive et comme le genre le veut bien lourdingue. On note tout de même une multitude d'idées de gags et de mise en scène qui font parfois mouche, on n'est donc pas à l'abri de deux ou trois rires, d'autant que certaines répliques sont pas mal trouvées. Gros soucis par contre pour finir, une durée très mal dosée, c'est beaucoup trop long pour le genre et on a hâte que ça se termine. Malgré tout, les multiples clins d'oeil restent sympas et la réalisation est loin d'être ridicule, par contre où sont Luke, Obi Wan et R2D2 ??? Au final, ce n'est pas un navet mais c'est loin d'être palpitant également, à voir une fois et idéalement entre potes.
Mel Brooks, à qui l'on doit déjà la parodie de Robin des Bois, s'est joyeusement éclaté à faire une parodie qui reprend dans son intégralité la trame principale de " Star Wars épisode 4 : Un Nouvel Espoir ". Si ce dernier ne fait pas toujours preuve de l'humour le plus fin, son long-métrage tiens en haleine et les acteurs s'amusent beaucoup et nous aussi. Rick Moranis sous l'énorme casque de Dark Helmet fait quasiment tout le charme du film. Une comédie potache qui plait encore au bon public. Les fanboys y trouveront leur compte.
1987. Star Wars a 10 ans. Mel Brooks, lui, avait quelques bonnes blagues à son sujet, assez d'argent et d'influence pour en tourner une parodie. Alors hop, au diable l'écriture, il s'est fait plaisir avec ce navet ridicule, peu importe le résultat! C'est regrettable, car il y avait matière à réaliser une comédie digne de ce nom.
Comme toutes les parodies, "La folle Histoire de l'espace" est forcément inégale mais on peut compter sur Mel Brooks pour nous offrir de savoureux et d'hilarants moments avec des gags bien débiles comme il faut, des mises en abyme très drôles et un caméo de John Hurt vraiment irrésistible, nous refaisant la célèbre scène du repas d'"Alien". Avec tout ça, le cinéaste arrive à nous faire passer un bon moment malgré plusieurs défauts de rythme et de gags qui ne fonctionnent pas. Mais Bill Pullman et Rick Moranis s'en sortent à merveille.
Mel Brooks est vraiment le roi du pastiche ridicule et potache mais ô combien succulent.
Ce film se moque de toutes les références de l'époque avec sympathie et sans jamais rentrer dans le mauvais goût.
Des personnages énormes en couleur et des pointes jetés toutes les 10 secondes.
SUBLIME
Ce film se moque de toutes les références de l'époque avec sympathie et sans jamais rentrer dans le mauvais goût.
Des personnages énormes en couleur et des pointes jetés toutes les 10 secondes.
SUBLIME
La suite de la Folle Histoire du Monde... Dans celui-ci, Mel Brooks parodie Star Wars principalement. Comme son prédécesseur, c'est très drôle par moment mais ennuyeux par d'autres. Mais on y retrouve Bill Pullman et Rick Moranis, c'est assez plaisant.
Mel brooks réalise la meilleure parodie de Star Wars avec Rick Moranis en Dark Vador , Bill Pullman , le capitaine Han Solo qui devient Yop Solo , Chebacawa s'appelle Beurk, la princesse Leila devient la princesse Vespa , Mel Brooks en Yoda devenu Yaourt , un clin d'oeil à Alien , à Star Trek, La Planète des singes !!!
Mel Brooks en grande forme, certes on est pas là en présence d'un chef d'oeuvre comme Frankenstein Junior l'était mais dans la bonne grosse poilade, une parodie aux petits oignons de Star Wars. Avec son lot de situations absurdes, de personnages crétins la folle histoire de l'espace est une bonne comédie, ce qui ne sera malheureusement plus le cas pour les parodies de Brooks autant dans Robin des Bois ou Dracula mort et heureux de l'être. Car c'est l'amour du genre qui faisait la réussite de Frankenstein Junior et de celui-ci mais on dirait que par la suite c'est dans la simplicité que Brooks s'est tourné. Dommage.
Mel Brooks s'attaque à Stars wars avec respect tout en gardant une certaine ironie par rapport à la saga de Lucas. Malheureusement on a connu Brooks beaucoup plus inspiré et plus mordant, la comédie prend un temps fou pour démarrer et il faut attendre la dernière partie pour que la folie et le burlesque se mettent à tourner à plein régime avec de nombreux clins d'oeils allant de Alien ( avec John Hurt et Sigourney Weaver en personne) à la Planète des singes tout en tournant en dérision le marketing "star wars". Mais avant d'en arriver là il faudra s'accrocher et supporter le début sans rythme.
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