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Les amateurs du cinéma chinois apprécieront de retrouver la grâce des films Tigre et Dragon (2000), Les Trois Royaumes (2008), tandis que le jeune public (y compris les adolescents) pourra découvrir un récit exotique et plus mûr qui rend hommage sous certains aspects à une certaine Reine des Neiges.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ajoutez à l'ensemble un peu d'humour et une mascotte pour plaire à la jeunesse et voilà un film de divertissement qui réussit à rendre attractif un conte vieux de 500 ans.
Un époustouflant spectacle de fantasy d’inspiration asiatique, très impressionnant, assez frontal, parfois suggestif, que nous ne conseillerons pas au public le plus jeune.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le tout est numériquement animé de façon somptueuse : truffé de références graphiques à la culture traditionnelle chinoise, « White Snake » constitue une sorte de compilation idéale du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La mise en scène époustoufle souvent. Ce qui n’est pas souvent le cas dans les productions made in China. Seul le graphisme, trop industriel, manque de relief. Mais tous les thèmes : le pouvoir absolu, la folie religieuse et l’homosensualité féminine, sont bien présents.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce récit d'aventures ambitieux procède à la fusion du romantisme tragique à la Tigre et dragon (2000) et du film d'arts martiaux avec magie et créatures fantastiques, dans la grande tradition des productions de la Shaw Brothers des années 1960.
L’action, la direction artistique, les jeux de couleur envoient du plan enchanteur par généreuses poignées. C’est scénaristiquement que le bât blesse, par cette accumulation frénétique de péripéties, de personnages.
Les décors en images de synthèse sont superbes, notamment le relief karstique, qui se caractérise par une multitude de pitons rocheux surmontés d’une végétation rougeoyante. Dommage que le film perde en sobriété visuelle quand apparaissent des créatures démoniaques, oiseau tricéphale ou serpent géant…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce film d’animation visuellement époustouflant mise davantage sur son esthétique que sur son scénario, au récit pour le moins classique, pour envoûter le spectateur. Ça aurait pu être bien mieux, mais on ne boude pas son plaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Si cette adaptation d'une légende ancestrale n'atteint pas les sommets du genre, elle reste un spectacle haut en couleurs, sans tigre mais avec de nombreux dragons.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Mais très vite, le ton change, les arts martiaux prennent le dessus, mâtinés d’effets horrifiques répétitifs, alternant avec les affres d’un jeune chasseur amoureux qui, telle la petite sirène, demande à être changé en démon pour rejoindre sa bien-aimée. C’est interminable !
White Snake n’envisage la légende des deux sœurs serpents que comme un showroom d’animation 3D qui accumulerait jusqu’à l’overdose, la faute à un scénario dispendieux, tous les symboles de la pop culture fantastique.
CNews
Les amateurs du cinéma chinois apprécieront de retrouver la grâce des films Tigre et Dragon (2000), Les Trois Royaumes (2008), tandis que le jeune public (y compris les adolescents) pourra découvrir un récit exotique et plus mûr qui rend hommage sous certains aspects à une certaine Reine des Neiges.
IGN France
Ajoutez à l'ensemble un peu d'humour et une mascotte pour plaire à la jeunesse et voilà un film de divertissement qui réussit à rendre attractif un conte vieux de 500 ans.
La Voix du Nord
Un époustouflant spectacle de fantasy d’inspiration asiatique, très impressionnant, assez frontal, parfois suggestif, que nous ne conseillerons pas au public le plus jeune.
Le Parisien
Le tout est numériquement animé de façon somptueuse : truffé de références graphiques à la culture traditionnelle chinoise, « White Snake » constitue une sorte de compilation idéale du genre.
Les Fiches du Cinéma
Un spectacle merveilleux et édifiant.
Première
On n'oubliera pas de sitôt White Snake, surtout avec des personnages inoubliables comme son démon-renard artisan au double visage.
Voici
Si l'histoire, foisonnante, nous perd un peu, les visuels sont époustouflants.
CinemaTeaser
À la modemité un peu lisse de la 3D, le film oppose un sens de la texture et du merveilleux revigorant.
Franceinfo Culture
Le film, au final, est plaisant à regarder et l’histoire d’amour attendrissante.
L'Obs
La mise en scène époustoufle souvent. Ce qui n’est pas souvent le cas dans les productions made in China. Seul le graphisme, trop industriel, manque de relief. Mais tous les thèmes : le pouvoir absolu, la folie religieuse et l’homosensualité féminine, sont bien présents.
Le Journal du Dimanche
Ce récit d'aventures ambitieux procède à la fusion du romantisme tragique à la Tigre et dragon (2000) et du film d'arts martiaux avec magie et créatures fantastiques, dans la grande tradition des productions de la Shaw Brothers des années 1960.
Mad Movies
L’action, la direction artistique, les jeux de couleur envoient du plan enchanteur par généreuses poignées. C’est scénaristiquement que le bât blesse, par cette accumulation frénétique de péripéties, de personnages.
Télérama
Les décors en images de synthèse sont superbes, notamment le relief karstique, qui se caractérise par une multitude de pitons rocheux surmontés d’une végétation rougeoyante. Dommage que le film perde en sobriété visuelle quand apparaissent des créatures démoniaques, oiseau tricéphale ou serpent géant…
aVoir-aLire.com
Ce film d’animation visuellement époustouflant mise davantage sur son esthétique que sur son scénario, au récit pour le moins classique, pour envoûter le spectateur. Ça aurait pu être bien mieux, mais on ne boude pas son plaisir.
Paris Match
Si cette adaptation d'une légende ancestrale n'atteint pas les sommets du genre, elle reste un spectacle haut en couleurs, sans tigre mais avec de nombreux dragons.
Positif
Mais très vite, le ton change, les arts martiaux prennent le dessus, mâtinés d’effets horrifiques répétitifs, alternant avec les affres d’un jeune chasseur amoureux qui, telle la petite sirène, demande à être changé en démon pour rejoindre sa bien-aimée. C’est interminable !
Cahiers du Cinéma
White Snake n’envisage la légende des deux sœurs serpents que comme un showroom d’animation 3D qui accumulerait jusqu’à l’overdose, la faute à un scénario dispendieux, tous les symboles de la pop culture fantastique.