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Avec Ride Your Wave, Masaaki Yuasa et Science SARU ne veulent toujours pas nous décevoir. La version fantastique et animée (et cent fois mieux) de P.S. : I Love You vaut largement le détour.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
À la fois lumineux et crépusculaire, Masaaki Yuasa signe un film d'un terre-à-à-terre presque confondante pour le bonhomme, et ça lui réussit : drame et fantaisie cohabitent, script et bilan technique sont largement au niveau dans ce film sincère et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Belle surprise de la rentrée, ce film d’animation détourne avec humour et fantaisie les codes des bluettes japonaises tout en évoquant avec délicatesse le travail de deuil d’une jolie surfeuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Ride Your Wave" tient du miracle à condition de ne pas attendre de déchaînements à la "Mind Game" ou "Devilman: Crybaby". Le dynamitage du genre visité se fait plus diffus, serein.
Outre la ritournelle amère sucrée, cette histoire d’amour, de fantôme et d’adieu entre deux mondes assume de nombreux lieux communs du shojo (manga « pour fille ») sans s’y enfermer. L’idéalisation sentimentale même ne paraît pas si naïve, passée au tamis d’un humour farfelu traduisant habilement l’hébétude et le déni que provoque la mort.
Certes, le scénario frôle parfois la mièvrerie, mais un délicat sens de l’humour et un récit riche en rebondissements rectifient le tir. De même qu’une animation qui met en scène les éléments (le feu, la mer…) et la lumière avec maestria.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce drame romantique, auréolé de magie et inscrit dans la tradition animiste, demeure résolument solaire et positif, pour célébrer des valeurs telles que la résilience et l'altruisme.
Il manque peut-être à l’histoire d’amour post mortem la pincée de folie poétique, ou d’authentique douleur, qui aurait transformé un agréable mélo sentimental en grand film sur le deuil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
Une jolie romance fantastique.
20 Minutes
Mais quelle idée et quel beau film d’animation ! Ride Your Wave de Masaaki Yuasa, découvert au Festival d'Annecy, est une merveille de poésie.
Ecran Large
Avec Ride Your Wave, Masaaki Yuasa et Science SARU ne veulent toujours pas nous décevoir. La version fantastique et animée (et cent fois mieux) de P.S. : I Love You vaut largement le détour.
IGN France
À la fois lumineux et crépusculaire, Masaaki Yuasa signe un film d'un terre-à-à-terre presque confondante pour le bonhomme, et ça lui réussit : drame et fantaisie cohabitent, script et bilan technique sont largement au niveau dans ce film sincère et émouvant.
La Croix
Belle surprise de la rentrée, ce film d’animation détourne avec humour et fantaisie les codes des bluettes japonaises tout en évoquant avec délicatesse le travail de deuil d’une jolie surfeuse.
Les Fiches du Cinéma
Entre romantisme et onirisme, un film magnifique sur le deuil et l’épanouissement de soi.
Mad Movies
"Ride Your Wave" tient du miracle à condition de ne pas attendre de déchaînements à la "Mind Game" ou "Devilman: Crybaby". Le dynamitage du genre visité se fait plus diffus, serein.
Ouest France
Un nouveau sommet d'animation nippone.
Positif
Outre la ritournelle amère sucrée, cette histoire d’amour, de fantôme et d’adieu entre deux mondes assume de nombreux lieux communs du shojo (manga « pour fille ») sans s’y enfermer. L’idéalisation sentimentale même ne paraît pas si naïve, passée au tamis d’un humour farfelu traduisant habilement l’hébétude et le déni que provoque la mort.
Première
Voilà donc un ride qui est -comme on appelle une grosse vague dans le langage du surf- une vraie bombe.
L'Obs
Certes, le scénario frôle parfois la mièvrerie, mais un délicat sens de l’humour et un récit riche en rebondissements rectifient le tir. De même qu’une animation qui met en scène les éléments (le feu, la mer…) et la lumière avec maestria.
Le Journal du Dimanche
Ce drame romantique, auréolé de magie et inscrit dans la tradition animiste, demeure résolument solaire et positif, pour célébrer des valeurs telles que la résilience et l'altruisme.
Le Monde
Un pur "trip" qui se conjugue par sa propre émancipation.
Le Parisien
Plein de rebondissements, un peu guimauve mais résolument optimiste, le film devrait plaire à son public…
Libération
Une œuvre mineure mais attachante qui prend la forme instable d’une comédie romantique funeste et ensoleillée.
Télérama
Il manque peut-être à l’histoire d’amour post mortem la pincée de folie poétique, ou d’authentique douleur, qui aurait transformé un agréable mélo sentimental en grand film sur le deuil.