Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un grand film qui célèbre les résistantes d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Marine Langlois
Evitant la tragédie avec un grand T, "Never Rarely Sometimes Always" se veut subtil sans pour autant perdre l’intensité de son propos. Une belle surprise de l’été.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
La scène bouleversante, filmée avec une grande pudeur, se situe dans l’ultime partie du film. Auparavant l’adolescente a dû surmonter de multiples obstacles pour parvenir à être écoutée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Constance Jamet
Un portrait poignant et sans idéologie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une approche frontale sans concessions ni fioritures, sans complaisance ni jugement, portée par deux actrices formidables.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Avançant sur une crête d'émotion sans pathos et toujours ascensionnelle, [...] c'est avant tout une affaire de corps, et c'est en cela que le film ne se réduit pas à son programme politique, par ailleurs limpide. La réalisatrice colle à la peau de son extraordinaire jeune actrice Sidney Flanigan. Ses films sont des œuvres de chair en lutte pour leur émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par E.M.
Poignant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un drame dépouillé qui va droit au but.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une chronique adolescente hyperréaliste dans l'Amérique d'aujourd'hui, sans pathos ni surjeu dramatique avec, au contraire, beaucoup de douceur.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une road movie social et tragique de deux adolescentes depuis la Pennsylvanie jusque New York, porté par des comédiennes formidables et un sens certain de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Axé sur la solitude d’Autumn (dont les secrets le resteront) et la sororité timide qui la lie à son accompagnatrice, le film est habité par le visage de Sidney Flanigan, dont la délicatesse taciturne rappelle celle de l’acteur Paul Dano.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Récit d'une adolescence bafouée doublé d'une critique des mouvements anti-avortement américains, « Never rarely sometimes always », film indépendant très bien interprété par ses deux jeunes comédiennes, est à l'image de son héroïne : dur, silencieux, mais aussi très touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Sophie Benamon
Mais l’essentiel est ailleurs. Dans l’émotion que suscite le visage tourmenté et obstiné de l’héroïne qui nous ramène vers un univers presque loachien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Raphaëlle Pireyre
Malgré la charge militante de son sujet, Hittman écarte le spectaculaire pour une violence plus insidieuse: la résignation avec laquelle Autumn et sa cousine encaissent les multiples agressions dont leur féminité fait l’objet quotidiennement.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Produit par Barry Jenkins (le réalisateur de Moonlight), ce film indépendant américain joue la carte du comportementalisme et du point de vue documenté de manière toutefois très atone, sans assez s’accorder le droit de faire décoller la machine filmique.
Libération
par Camille Nevers
Le troisième long d’Eliza Hittman est de ces films qui se déroulent tout seuls et sans nous. Autosuffisants et complets, sous leurs airs frêles ce sont des bulldozers. La bonne conscience du cinéma à sujet, limité, mal contraint, d’une paresse politique qu’évince son esprit de sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Un grand film qui célèbre les résistantes d'aujourd'hui.
Franceinfo Culture
Evitant la tragédie avec un grand T, "Never Rarely Sometimes Always" se veut subtil sans pour autant perdre l’intensité de son propos. Une belle surprise de l’été.
La Croix
La scène bouleversante, filmée avec une grande pudeur, se situe dans l’ultime partie du film. Auparavant l’adolescente a dû surmonter de multiples obstacles pour parvenir à être écoutée.
Le Figaro
Un portrait poignant et sans idéologie.
Le Journal du Dimanche
Une approche frontale sans concessions ni fioritures, sans complaisance ni jugement, portée par deux actrices formidables.
Les Inrockuptibles
Avançant sur une crête d'émotion sans pathos et toujours ascensionnelle, [...] c'est avant tout une affaire de corps, et c'est en cela que le film ne se réduit pas à son programme politique, par ailleurs limpide. La réalisatrice colle à la peau de son extraordinaire jeune actrice Sidney Flanigan. Ses films sont des œuvres de chair en lutte pour leur émancipation.
Télé 2 semaines
Poignant.
Télérama
Un drame dépouillé qui va droit au but.
Voici
Une chronique adolescente hyperréaliste dans l'Amérique d'aujourd'hui, sans pathos ni surjeu dramatique avec, au contraire, beaucoup de douceur.
aVoir-aLire.com
Une road movie social et tragique de deux adolescentes depuis la Pennsylvanie jusque New York, porté par des comédiennes formidables et un sens certain de la mise en scène.
L'Obs
Axé sur la solitude d’Autumn (dont les secrets le resteront) et la sororité timide qui la lie à son accompagnatrice, le film est habité par le visage de Sidney Flanigan, dont la délicatesse taciturne rappelle celle de l’acteur Paul Dano.
Le Parisien
Récit d'une adolescence bafouée doublé d'une critique des mouvements anti-avortement américains, « Never rarely sometimes always », film indépendant très bien interprété par ses deux jeunes comédiennes, est à l'image de son héroïne : dur, silencieux, mais aussi très touchant.
Première
Mais l’essentiel est ailleurs. Dans l’émotion que suscite le visage tourmenté et obstiné de l’héroïne qui nous ramène vers un univers presque loachien.
Cahiers du Cinéma
Malgré la charge militante de son sujet, Hittman écarte le spectaculaire pour une violence plus insidieuse: la résignation avec laquelle Autumn et sa cousine encaissent les multiples agressions dont leur féminité fait l’objet quotidiennement.
Le Monde
Produit par Barry Jenkins (le réalisateur de Moonlight), ce film indépendant américain joue la carte du comportementalisme et du point de vue documenté de manière toutefois très atone, sans assez s’accorder le droit de faire décoller la machine filmique.
Libération
Le troisième long d’Eliza Hittman est de ces films qui se déroulent tout seuls et sans nous. Autosuffisants et complets, sous leurs airs frêles ce sont des bulldozers. La bonne conscience du cinéma à sujet, limité, mal contraint, d’une paresse politique qu’évince son esprit de sérieux.