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Laurent T.
16 abonnés
53 critiques
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2,5
Publiée le 13 décembre 2020
On plonge dans un monde merveilleux...mais l'imagination du réalisateur est moindre que dans ses précédents films. Pour ma part, je trouve que c'est moyennement divertissant et fouillis.
Pfff quelle barbe !! Je ne m'attendais pas du tout à ça... quand j'ai lu le résumé et que j'ai vu que ça parlait d'un monde fantastique, du vent, de la pluie... je pensais voir un dessin animé fantastique, coloré & féerique et pas ce genre de fable écologique contemporaine & comique ! Les 2 filles ne font que de crier, les dialogues sont lourds, les doublages épouvantables et l'histoire pénible à suivre... bref le fiasco et j'en suis ressorti avec les nerfs en pelote par dessus le marché ! La cata en somme...
Vu dans le cadre du festival japonais au MK2 bibliothèque, un joli film poétique, beau, positif, kawaii parfois, mais manquant aussi d'originalité et reprenant une ambiance et des thèmes souvent utilisés dans les dessins animés japonais (l'écologie, l'irruption de l'imaginaire dans le réel), thèmes que je préfère toutefois largement à ceux "self-help industry" des productions US. Bien donc mais pas non plus très marquant.
Très loin des grands Miyazaki oniriques et engagés, c'est plus une japoniaiserie qu'autre chose. film décevant, scénario léger, ressort dramatique inexistant, images très inégales. dommage
A nouveau une oeuvre imaginative originale, très colorée et poétique de la part des japonais. On passe d'un quotidien soigné à une histoire un peu réglée comme du papier à musique avec pas mal de point de vue éducatifs au final.
J’ai souvent l’impression qu’une bonne moitié des Anime “familiaux” qui débarquent en Europe se reposent sur le schéma éculé de l’épopée initiatique : une fois de plus, il est question ici d’une grande quête à travers des contrées fabuleuses afin de ramener l’eau sur une Terre parallèle frappée par la sécheresse et, au-delà, comme on pouvait s’y attendre, l’aventure illustre l’occasion pour une ado ordinaire, proclamée déesse bienfaisante de ce monde, d’évoluer et de surmonter son manque de confiance en elle. Ne serait-ce des personnages aux traits un peu plus photoréalistes, on se croirait chez Miyazaki, que la familiarité provienne d’une fascination partagée pour la mécanique et la machinerie de l’ère industrielle ou de cette faculté à imaginer une Europe éternelle qui n’a jamais existé que dans les fantasmes des artistes nippons. Oscillant entre éléments magiques et steampunk, ‘Wonderland’ ne laisse qu’entrevoir un univers aux potentialités gigantesques, qui pourrait aisément contenir une série de plusieurs dizaines d’épisodes. Comme d’habitude, certains particularismes de la narration à la japonaise peuvent dérouter et donner l’impression que le récit est tour à tour elliptique, obscur dans sa signification et inutilement longuet en ce qui concerne certaines séquences qui auraient été expédiées en une poignée de secondes dans une logique occidentale. Reste que l’histoire reste particulièrement classique et a le mérite de ne pas obéir à des deus ex machina mystérieux à l’instar d’autres Anime récents, ce qui la rend assez simple à digérer. De toute façon, ce monde fantastique, dont on obtient un aperçu plus que correct au vu du grand nombre de paysages traversés en deux heures de temps est d’une beauté extraordinaire, et exerce une fascination esthétique qui fait oublier le classicisme un peu mou du scénario.
La France aime les mangas et les animes, le Japon et les distributeurs français l'on bien compris et nous gratifient de plus en plus de sorties cinémas de films d'animation venant du soleil levant. Un bonheur pour les fans car il y a quelques années encore on se prenait à espérer fébrilement une sortie française pour les grands succès et films des grands noms de l'animation japonaise. Aujourd'hui beaucoup de films moins connus arrivent chez nous, comprenant des petites pépites comme des déceptions, mais ne nous plaignons pas car nous avons un choix beaucoup plus grand et plus varié aussi. Ainsi Wonderland, le royaume sans pluie débarque dans nos salles obscures sans prétention avec son affiche des plus colorée et des plus aguicheuse. Ni une, ni deux, un coup d’œil sur la bande annonce qui promet monts et merveilles et on part au cinéma voir ça. L'introduction se passe dans notre monde, dans un univers réaliste, après une brève présentation des personnages principaux et de leurs caractères, nous sommes directement plongé dans Wonderland, un monde qui a besoin de l'aide de l'héroïne pour survivre. On se retrouve devant une énième quête initiatique comme le genre sait très bien le faire. Le courage, la confiance en soi, la confiance en l'autre, la peur de l'avenir mais aussi le message écologique si cher à Miyazaki ou les dérives de la société moderne ainsi que l'importance de la conservation des coutumes et traditions sont les thèmes principaux abordés. Nos héros tentent ainsi ce voyage avec comme point d'orgue sauver un prince et un monde entier comme beaucoup l'on fait avant elles. Mais les ombres au tableau vont vite apparaîtrent. Techniquement c'est très coloré et très agréable, l'imaginaire sans être dingue est très sympa même si des fois trop conventionnel. Le problème se pose principalement sur l'animation qui est bien un cran en dessous de ce qui se fait de mieux en ce moment. Les dessins peuvent aussi être en dents de scie. Quand ils pêchent sur la forme, beaucoup se rattrape sur le fond. Sur celui-ci et malgré les thèmes abordés, ça reste un peu trop sage, léger et classique. De plus rien n'est vraiment fait pour nous emballer et nous absorber dans l'histoire. C'est assez mou, le rythme est lent, ça prend trop son temps pour pas grand chose et quand on l'action vient enfin pointer le bout de son nez, elle se voit presque instantanément avortée. Cela rend malheureusement le périple moins dynamique et moins prenant qu'il ne devrait l'être. Les deux personnages principaux sont très réussis et ont des caractères opposés, ce qui donne des situations parfois cocasses. Pour ce qui est des personnages de Wonderland, leurs traitements est inégal et autant certains peuvent être fantastiques et emprunt de magie, comme d'autres plus oubliables car trop conventionnels, même jusque dans leurs designs. Le tout reste un peu trop gentillet et ne s'éloigne jamais trop loin des codes établis du genre. Wonderland reste un anime relativement sympa mais qui ne décolle véritablement jamais et beaucoup trop léger pour aller titiller les chefs d'oeuvre du genre.
Un film d'animation japonais moyen mais sans plus en raison d'un scénario qui manque d'originalité et des personnages stéréotypés. En outre, on a du mal à cerner l'importance que peut revêtir Akane, l’héroïne, considérée comme la déesse du Vent Vert mais qui se révèle plutôt fade comparativement aux autres personnages. Un manga très loin d'être inoubliable.
Un film magnifique, profond et coloré. Avant tout pour les jeunes spectateurs pour son côté kawwwwwaaaaiiiii mais aussi pour les adultes pour la beauté de sa mise en scène.
ce manga est plus pour les enfants, le scénario est simpliste, manque d'originalité.e début est prometteur , mais rapidement le manque de détails , d'envolé onirique ou encore plus imaginaire..donné un côté terre a terre et presque leçon de morale écologique sur le devoir de chacun pour sauver son monde.
Un joli conte écologique qui bénéficie d'une réalisation soignée et d'une animation aux petits oignons. L'atmosphère est prenante et l'univers proposé est riche. On regrette cependant quelques longueurs.
Et bien moi j'ai bien aimé ! Un pu long certes, mais l'histoire, les dessin, les personnages... tout était correcte et j'ai passé un bon moment. Pas au niveau d'un Myasaki, c'est sûr, mais je le recommande.