Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les gags délirants et les dialogues savoureux sont au rendez-vous de cette comédie belge.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
[...] Olivier Van Hoofstadt signe une nouvelle comédie désopilante et complètement barrée [...].
Closer
par La Rédaction
Dans Lucky, Foresti vaut à elle seule votre ticket !
Le Parisien
par La Rédaction
C'est électrique et truffé d'idées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Le scénario est malin, la mise en scène effrénée, et la galerie de personnages, joyeusement décadents, est menée tambour battant par Florence Foresti, Michaël Youn et Alban Ivanov.
Voici
par La Rédaction
Dikkenek + Turner & Hoch = Lucky. Oh oui !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Même si on ne rit que rarement aux éclats, Lucky réussit à imposer sa bizarrerie et son doux ridicule.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
En définitive, le film se rapproche plutôt d’un Marche à l’Ombre que d’un Snatch. Mais pour peu qu’on éprouve de la sympathie pour les losers invétérés et les personnages tout droit sortis des pages de la revue Fluide Glacial, on passera un moment sympathique avec Lucky.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Même si on ne rit que rarement aux éclats, Lucky réussit à imposer sa bizarrerie et son doux ridicule.
Le Journal du Dimanche
par E.M.
C’est parfois inégal et volontairement outrancier, mais l’ensemble séduit par son énergie foutraque et son casting emmené par le duo Michaël Youn-Alban Ivanov.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
On retrouve ici l'art de croquer les baltringues, mais pas le punch ni l'euphorie jubilatoire [de Dikkenek].
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il aurait été tout aussi inspiré d’écrire une histoire et de la mettre en scène pour que nous, spectateurs, n’en soyons pas réduits à attendre la fin de la récré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
Le réalisateur de Dikkenek offre une nouvelle galerie de bras cassés avant hélas de se concentrer sur une seule intrigue, et de perdre au fil du récit la douce dinguerie de ses premières minutes.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Deux minables bas du front, une inspectrice de police corrompue, une bourgeoise nymphomane, un dealer teigneux sont ainsi réunis autour d’une intrigue ténue, prétexte à un concours général de médiocrité imbécile. A ce prix-là, il n’est pas trop difficile de persuader le spectateur de sa supériorité intellectuelle.
Première
par Thierry Chèze
À partir de là, le récit patine, les situations attendues s’enchaînent, les gags tombent à plat et les comédiens sont poussés à forcer le trait pour arracher des rires. Sans doute l’attente était trop forte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Hélas, l’intrigue filandreuse sert juste de prétexte pour aligner les seconds rôles décadents (Corinne Masiero en artiste nymphomane, François Berléand en commissaire ripou), parfois réussis (Daniel Prévost en vieille carne garagiste, Estéban en baron de la drogue ahuri).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Les gags délirants et les dialogues savoureux sont au rendez-vous de cette comédie belge.
CNews
[...] Olivier Van Hoofstadt signe une nouvelle comédie désopilante et complètement barrée [...].
Closer
Dans Lucky, Foresti vaut à elle seule votre ticket !
Le Parisien
C'est électrique et truffé d'idées.
Télé Loisirs
Le scénario est malin, la mise en scène effrénée, et la galerie de personnages, joyeusement décadents, est menée tambour battant par Florence Foresti, Michaël Youn et Alban Ivanov.
Voici
Dikkenek + Turner & Hoch = Lucky. Oh oui !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Même si on ne rit que rarement aux éclats, Lucky réussit à imposer sa bizarrerie et son doux ridicule.
Filmsactu
En définitive, le film se rapproche plutôt d’un Marche à l’Ombre que d’un Snatch. Mais pour peu qu’on éprouve de la sympathie pour les losers invétérés et les personnages tout droit sortis des pages de la revue Fluide Glacial, on passera un moment sympathique avec Lucky.
Le Dauphiné Libéré
Même si on ne rit que rarement aux éclats, Lucky réussit à imposer sa bizarrerie et son doux ridicule.
Le Journal du Dimanche
C’est parfois inégal et volontairement outrancier, mais l’ensemble séduit par son énergie foutraque et son casting emmené par le duo Michaël Youn-Alban Ivanov.
Télé 7 Jours
On retrouve ici l'art de croquer les baltringues, mais pas le punch ni l'euphorie jubilatoire [de Dikkenek].
L'Obs
Il aurait été tout aussi inspiré d’écrire une histoire et de la mettre en scène pour que nous, spectateurs, n’en soyons pas réduits à attendre la fin de la récré.
Ouest France
Le réalisateur de Dikkenek offre une nouvelle galerie de bras cassés avant hélas de se concentrer sur une seule intrigue, et de perdre au fil du récit la douce dinguerie de ses premières minutes.
Le Monde
Deux minables bas du front, une inspectrice de police corrompue, une bourgeoise nymphomane, un dealer teigneux sont ainsi réunis autour d’une intrigue ténue, prétexte à un concours général de médiocrité imbécile. A ce prix-là, il n’est pas trop difficile de persuader le spectateur de sa supériorité intellectuelle.
Première
À partir de là, le récit patine, les situations attendues s’enchaînent, les gags tombent à plat et les comédiens sont poussés à forcer le trait pour arracher des rires. Sans doute l’attente était trop forte.
Télérama
Hélas, l’intrigue filandreuse sert juste de prétexte pour aligner les seconds rôles décadents (Corinne Masiero en artiste nymphomane, François Berléand en commissaire ripou), parfois réussis (Daniel Prévost en vieille carne garagiste, Estéban en baron de la drogue ahuri).